407 Otages
[Banque, bureau du banquier : Mr Davenport, Martha et Castle / Au poste : Beckett et Ryan]
Martha : C’est outrageant monsieur et vous… vous avez beau mettre une belle cravate, vous n’êtes qu’un requin. [Castle s’ennuie fermement]
Davenport : Madame Rogers, je vous assure qu’il s’agit d’un taux d’intérêt extrêmement compétitif. Et étant donné vos antécédents financiers. Cependant si votre fils cosigne…
Castle : [Du tac au tac] D’accord !
Martha : Non, non, non, non. C’est mon prêt, pas le sien. Pour payer les réparations de mon école d’art dramatique, pas la sienne.
Castle : Laisse-moi seulement cosigner le prêt ou alors je te donne l’argent dont tu as besoin.
Martha : Richard, je suis une femme d’affaire maintenant. Je ne veux ni de ton argent, ni de ta signature, merci infiniment. C’est un point capital.
Davenport : Non madame Rodgers, c’est une question d’intérêt.
Castle : Et je viens de perdre le mien, excusez-moi ! [Se levant]
Martha : Ohh… J’ai investi un million de dollars dans ce projet…
[Castle s’est éloigné pour téléphoner]
[Au poste le téléphone de Beckett sonne et elle décroche]
Beckett : Qu’est-ce que vous voulez Castle ?
Castle : Dites-moi que vous avez besoin de moi ?
Beckett : Je vous demande pardon ?
Castle : Je suis coincé à la banque à aider ma mère à obtenir un prêt de mon banquier. S’il vous plait dites-moi qu’il y a un meurtre à résoudre quelque part ? [Observant les gens dans la banque]
Beckett : Ah, désolé on a aucun meurtre, rien que de la paperasse, mais vous pourriez peut-être venir nous aider pour une fois !
Castle : Ce qu’il y a de pire que de moisir ici c’est de faire des tonnes de paperasse au poste.
[Castle regarde une femme habiller bizarrement entré dans la banque, il l’a suit du regard]
Beckett : Comment on peut être coéquipier quand je traque les méchants et que dès qu’il y a de la paperasse, je me retrouve en solo.
Castle : Oh, oh !
Beckett : Quoi ?
Castle : [Observant] Je crois que cette banque va subir une attaque à main armé !
Beckett : Vous vous ennuyiez réellement à ce point-là ?
Castle : Il y a un homme et une femme ici, qui porte des tenus médicales et tous les deux ont une bosse suspecte sous leur veste.
Beckett : Je crois que vous vous laisser emporter par votre imagination.
[Un 3ème homme entre et verrouille la porte]
3ème homme : Que tout le monde s’allonge par terre et vite.
[Beckett l’entend au téléphone]
Castle : Ce n’est pas mon imagination. Ce n’est vraiment pas mon imagination.
3ème homme : Plus vite !
Femme masqué : A terre, à terre, allez, allez !
Martha : Oh mon dieu Richard !
Castle : [Retournant vers elle pour la protéger] Cache toi mère !
B : Castle, qu’est-ce qui se passe ?
Martha : C’est horrible ! [Se cachant derrière le bureau]
3ème homme : A terre. Vite, vite !
Femme masqué : Vite !
3ème homme : Allez !
Beckett : Ou êtes-vous ?
Castle : A la banque New Amsterdam près de la gare sur Lexington.
Beckett : Esposito on a un 10-30 à la New Amsterdam près de la gare sur Lex. Lance un appel d’urgence.
Ryan : Un 10-30, depuis quand on reçoit les appels les braquages en cour ?
Beckett : Castle y est !
[Ryan et Esposito foncent sur leurs téléphones]
[A la banque : 3ème homme, La femme et Castle]
3ème homme : Envoyez tous vos téléphones par ici. Grouillez-vous aller ! Plus vite.
Femme masqué : Allez, lancer les par-là !
[Un homme qui s’exécute voit Castle au téléphone et celui-ci lui fait signe de se taire et l’homme acquiesce]
3ème homme : Plus vite magnez-vous ! Aller !
Castle : [Au téléphone] Je suis caché derrière un bureau avec ma mère, mais je peux tout voir !
3ème homme : Rester tranquille !
Castle : [Au téléphone] Ils portent des tenus de médecin, l’un d’eux est en train de vider les caisses. L’autre demande au directeur de la banque d’approcher. Il lui prend une clé. Il va vers le fond de la banque.
[Au poste : Esposito et Beckett]
Esposito : C’est bon Beckett, plusieurs patrouilles sont en route.
Beckett : [Au téléphone] Castle écouter très attentivement, combien sont-ils ?
[A la banque : Castle et 4ème homme / Au poste : Beckett]
Castle : [Au téléphone] Ils sont… 3 ! [Un des hommes arme un pistolet derrière sa nuque] Plutôt quatre en fait !
4ème homme : Alors c’est toi le héros avec lequel je vais faire un exemple ? [Prenant le téléphone des mains de Castle] Désolé votre copain ne peut plus vous parler ! [Voulant raccrochant mais entendant la voix de Kate]
Beckett : Je ne m’inquiète pas pour lui, je m’inquiète pour vous. J’ai plusieurs patrouilles qui sont déjà en chemin.
4ème homme : Vous êtes flic ? [A Castle] T’as appelé les flics ?
Castle : Non, nous étions déjà en ligne au moment où vous êtes entrée.
Beckett : Ecouter moi pour l’instant personne n’a été blessé et rien n’a été volé. Alors si vous quitter les lieux sans perdre une minute, vous pouvez disparaitre.
4ème homme : Vous allez me promettre de ne pas me rechercher ?
Beckett : Je ne recherche pas, je chasse. Et croyez-moi, vous n’avez pas envie de ça ! Partez maintenant et cette affaire ne fera qu’un petit article tout en bas des pages locales.
4ème homme : Désolé chérie, je préfère faire la une ! [Raccrochant et jetant le téléphone au sol et l’écrase]
[Au poste : Beckett]
Beckett [Au gars] : Allez en route !
[A la banque : 4ème homme, Doogie, Quinn et Huxtable]
4ème homme : Dr Doogie, Dr Quinn, les flics vont arriver plus tôt que prévu.
Doogie : Mettez-vous à plat ventre comme les autres. Allez, magniez-vous un peu.
Quinn : Dr Huxtable ont y va !
Huxtable : Ca y est les caméras sont coupés, les cartes mémoire sont détruites.
[Les sirènes retentissent, le 4ème homme va voir]
4ème homme : Les flics. Allez docteurs, on s’est entrainer pour ça, vous savez quoi faire ! On dirait qu’on va tous apprendre à mieux se connaitre !
[Martha terrifier prend la main de son fils]
[Dehors le SWAT armé, entoure le périmètre]
[Beckett arrive sur les lieux et regarde les unités se mètrent en place]
[Camion de communication : Peterson, Monfriez et Beckett]
Capitaine Peterson : Je veux les analyses du SWAT, un rapport complet et les plans du bâtiment dans 5min ! [A Beckett qui entre dans le poste de surveillance] Vous êtes qui ?
Beckett : Lieutenant Kate Beckett, criminel !
Peterson: Si quelqu’un meurt, je vous appellerais, mais pour l’instant sortez de mon poste.
Beckett : Non monsieur, mon équiper est dans cette banque.
Peterson : On a un de nos hommes à l’intérieur ?
Beckett : C’est un civil qui travaille avec nous. On était au téléphone quand ils ont attaqués la banque. Les braqueurs sont quatre et sont habillés en médecin, selon lui.
Peterson : Et y a autre chose à me dire ?
Beckett : Oui, j’ai parlé avec l’un des suspects.
Peterson : Très bien comment il était ?
Beckett : Calme, oui en fait très calme.
Peterson : Merci pour les infos, on va tout faire pour sortir votre équipier de là.
Beckett : D’accord, on fait quoi à présent ?
Peterson : Vous, vous allez simplement quitter mon poste de commandement.
Beckett : Euh…
Peterson : Vous voulez aider votre équipier ? Laissez-moi faire mon job. [Beckett est dégouté] J’ai besoin d’une ligne avec cette banque. Je veux parler à ce type.
Monfriez : Oui monsieur !
Peterson : J’ai été assez clair lieutenant, il me semble.
[Beckett acquiesce et part] [En sortant du camion, elle regarde autour d’elle s’en savoir quoi faire]
[Dans la banque : Huxtable et Castle]
Huxtable : Je vais vous dire ça très simplement. Vous bougez, vous mourez ! Compris !
Castle : [Aux otages] Quelqu’un est blessé ? [Personne ne répond] Bon rester calme. Faite ce qu’ils disent et tout va bien se passer. La police va nous sortir de là !
[Dans la rue : Ryan, Esposito, Monfriez et Beckett]
[Les gars arrivent, Beckett les rejoint]
Ryan : Qu’est-ce qui vous ont dit ?
Beckett : Qu’ils ne veulent pas de nos services. T’as encore des copains dans la brigade d’intervention ?
Esposito : Oui, bien sûr !
Beckett : Bien, je veux savoir ce qu’ils savent. [A Ryan] Renseigne-toi sur les gros délits pour voir s’il y a d’autre braquage avec le même mode opératoire. Plus on en saura sur ces gars-là et plus on aura de prise sur eux.
Monfriez : Lieutenant Beckett. Le capitaine Peterson voudrait vous parlez.
[Camion de communication : Peterson et Beckett]
[Beckett entre dans le poste de surveillance]
Peterson : Dite-moi, a quoi vous pensiez ?
Beckett : J’essayais juste d’aider monsieur.
Peterson : Ah oui et comment ? En charmant un braqueur de banque !
Beckett : Quoi ?
Peterson : On l’a eu en ligne, mais avant que je dise deux mots à ce gars, il a dit, et je cite « Je parlerais avec la femme flic uniquement, la femme avec cette belle voix sensuelle ». Alors vous vouliez en être et bien vous en êtes.
Beckett : Non monsieur, je n’ai vraiment pas été entrainé à ce genre de négociation.
Peterson : Bah, j’ai pas le temps de vous faire un cours approfondi. Alors voyez ça comme ça. Faite le contraire de ce que dit votre formation dans la criminelle, d’accord. Alors aucun cri, aucune brutalité, quoi qu’il en soit le menacer pas, il doit rester extrêmement calme. Lieutenant vous serez faire ça ?
Beckett : Oui. Oui absolument ! [Enlevant sa veste]
Peterson : Il est important de le faire parler. Vous devez crée un lien et le mettre en confiance. Tant qu’il est occupé à parler, il l’est pas en train de maltraiter les otages.
Beckett : D’accord.
Peterson : Sur ?
Beckett : Hum, hum !
[Dans la banque : Trapper/ Camion de communication : Beckett]
Trapper : [Décrochant le téléphone] Qui c’est ?
Beckett : C’est le lieutenant Kate Beckett, j’ai cru comprendre que vous ne vouliez parler qu’à moi ?
Trapper : Ouais, j’aime pas l’autre type.
Beckett : Bah moi non plus ! [Peterson fait une drôle de tête. Coupant le son du micro pour que seul Peterson entende] J’essaie de le mettre en confiance ! [Peterson laisse couler] [Au 4ème braqueur] Quel est votre nom ?
Trapper : Vous pouvez m’appeler Trapper !
Beckett : Un fan de M*a*s*h, c’est bien. Comment allez-vous ? Je peux vous aider peut-être ?
Trapper : Non, Kate, Kate, Kate, Vous suivez ses indications ridicule, hein. Qu’est-ce que le capitaine gros bras vous a dit ? Me maintenir calme, crée un lien, obtenir des informations ? Voilà comment ça marche. Vous me mentez, je tue les otages. Vous vous foutez de ma gueule, je tue les otages. Vous prenez d’assaut la banque, je tue les otages. Et Kate, je commencerais par votre petit copain ! [Raccrochant]
[Générique]
[Dehors la police essai de faire la circulation]
[Camion de communication : Peterson, Beckett et Monfriez]
Peterson : On a déjà appris une chose.
Beckett : A oui laquelle ?
Peterson : Ce n’est pas voyou qui a décidé en se levant de braquer une banque. Il sait ce qu’il fait. Il connait nos méthodes. Ce gars est un pro. [Au policier] Le SWAT c’est branché sur les caméras de la banque ?
Monfriez : Ils y travaillent toujours monsieur. Il y a une Susan Craig du siège de la banque sur la 4.
Beckett : [Se levant impatiente] Qu’est-ce que je peux faire monsieur ?
Peterson : Rien du tout !
Beckett : Je vous demande pardon ?
Peterson : C’est pas un meurtre lieutenant, il ne s’agit pas de suivre une piste ou d’essayer de trouver des indices. Ici ne rien faire est parfois ce qui a le mieux à faire. Laissons Trapper réfléchir bien tranquillement et ensuite on le rappellera.
[Beckett est vraiment frustré]
[Dans la banque : Castle, Sal Marino, Simone, Martha, Davenport, Trapper et Doogie]
[Castle observe les braqueurs, un à un]
Sal : [A Castle] Tout ça c’est de votre faute. [Les otages le regardent étonnés] Il a appelé les flics, c’est vrai je l’ai vu les appeler. S’il avait été là, les braqueurs seraient venu et seraient repartis et on serait tous loin d’ici.
Simone : Non, la police serait arrivée de toute manière. Les braqueurs se sont plantés à un moment, ils ont pris les billets du dessous en vidant les caisses.
Davenport : Ca déclenche immédiatement l’alarme silencieuse, vous comprenez ? Ce n’est de la faute de personne.
Martha : [La voyant caresser son ventre] Simone, a combien en êtes-vous ?
Simone : 32 semaines.
Femme Otage : On garde pas une femme enceinte en otage. Ils devraient vous relâcher.
Homme Otage : Non, ils vont pas la relâcher. En fait, ils vont relâcher personne. J’ai déjà vu ce film, je sais comment ça se termine. On va tous mourir
Castle : Ecouter, on ne va pas mourir. Tout va bien se passer. Je travaille avec la police et mon équipière va nous tirer d’affaire.
[Trapper revient de l’arrière de la banque]
Trapper : Dr Huxtable !
[Dr Huxtable lui lance des clés. Trapper prend un sac et repart]
Castle : Mr Davenport quelle pièce y a-t-il là-bas derrière ?
Davenport : Les toilettes, le poste de sécurité, la salle des coffres et la salle de repos du personnel.
Castle : Je les ai vus prendre la clé que vous aviez autour du cou. A quoi correspond-elle ?
Davenport : C’est ma clé de sécurité pour les coffres des particuliers.
Castle : Il se passe quelque chose d’étrange ici. Pourquoi ce type va dans les pièces du fond quand il y a une chambre forte rempli de billet juste là.
Martha : Oh Richard, je connais ce regard. Je t’en prie la curiosité est un vilain défaut.
Castle : Il se passe vraiment quelque chose de très bizarre ici. On doit découvrir ce que c’est et je sais exactement comment y arriver. [Martha soupire] Ne t’en fait pas mère. J’ai vu ça dans « piège de cristal ».
Martha : [Résigner] Très bien ! Très bien !
Castle : [Se levant] Mr Doogie, heu excusez-moi, Dr Doogie.
Doogie : Tu as une dernière volonté ?
Castle : Non, juste une toute petite vessie et malheureusement, j’ai l’impression qu’on va rester ici un moment, alors sauf si vous voulez qu’on se soulage ici, je crois qu’il serait temps de commencer à organiser des aller et venu au toilette. [Dr Doogie et Dr Quinn se font un signe de tête positif] Merci !
[Castle s’avance et Martha respire profondément de soulagement] [Castle est accompagné par le Dr Doogie au toilette et il observe Trapper sortir un coffre]
Castle : Alors pourquoi Doogie Howser, c’est vrai, il y a plein de médecin cool à la télé que vous auriez pu choisir. [Trapper sort des photos du coffre] Dr house, Dr Shepherd Dr Phil…
Doogie : Ferme là !
[Dans la rue : Esposito et Beckett]
Beckett : T’as quelque chose ?
Esposito : Que des mauvaises nouvelles. La brigade d’intervention ne peut ni voir ni entendre à l’intérieur. Les caméras de la banque sont coupées et les murs sont trop épais pour y percer des trous.
Beckett : Si jamais ils prennent d’assaut la banque ?
Esposito : Ils le feront à l’aveugle.
Beckett : Et d’après ton expérience, dans une telle situation quelles sont les chances des otages de s’en sortir vivant ?
[Esposito ne répond rien et Beckett est extrêmement inquiète]
[Dans la banque : Davenport, Martha, Doogie, Sal et Castle]
[Martha est nerveuse]
Davenport : Ecouter, je suis vraiment désolé pour tout à l’heure…
Martha : Oh, vous savez…
Davenport : Je suis les consignes, rien de plus.
Martha : Oui, bien sûr…
Davenport : En fait je suis un de vos fans. Le songe d’une nuit d’été, vous interprétiez Titania dans le cycle Shakespeare à Central Park.
Martha : C’était dans les années 80, comment est-il possible que vous vous souveniez de ça ?
Davenport : Oh vous êtes inoubliable !
Martha : Si je dois mourir, je serais contente de le faire près d’une personne qui admire mon travail. Merci !
[Ils se sourient. Castle revient]
Doogie : Bon quelqu’un d’autre à besoin d’y aller ?
Sal : [Se levant] Euh moi.
Martha : Tu as appris quelque chose ?
Castle : Deux choses, premièrement les toilettes de cette banque sont magnifiques. Sauf qu’elle manque cruellement de fenêtre ou d’autre moyen de s’échapper. Deuxièmement et le plus important, j’avais raison, il se passe quelque chose de très bizarre. J’ai vu Trapper dans la salle des coffres, il a ouvert un coffre, il a pris ce qu’il s’y trouvait, des lettres et des photos. Il n’a pas forcé le coffre, il s’est servi de 2 clés.
Davenport : Et bien l’une est ma propre clé et l’autre est forcément celle du propriétaire.
Martha : Est-ce vraiment le moment pour Trapper de vouloir récupérer des objets dans son coffre personnel ?
Castle : Oh ça ne doit certainement pas être le sien. Ces gars ont déclenché l’alarme dans un but précis. Ils voulaient qu’il y ait cette prise d’otage. On voit très bien que ce sont des professionnels, n’est-ce pas ? Ils savent qu’il ne faut pas prendre les derniers billets d’une caisse.
Davenport : Mais pourquoi ?
Castle : [Réfléchissant] Le temps, il n’y a pas de numéro graver sur les clés des coffres, alors si ce n’est pas sa clé, il a dû essayer toutes les serrures, jusqu’à ce qu’il trouve la bonne et ça prend du temps.
Martha : Ahhh…
Castle : Bon Mr Davenport, d’après ce que j’ai vu le coffre ouvert était sur le mur nord, 4ème colonne, 3ème ranger en descendant.
Davenport : Ça doit être le coffre, heu… numéro 120.
Castle : Très bien, si on arrive à qui il appartient, on pourra savoir ce que ces gens préparent réellement.
Davenport : Oui mais je crois pas qu’il nous laisserons regarder dans nos fichiers.
Castle : Et bien peut-être qu’on aura pas à le faire. Mère j’ai besoin que tu me prête ton bracelet.
Martha : Oh non, j’adore ce bracelet. [Castle lui fait de gros yeux et elle est résignée] Très bien, voilà !
[Camion de communication: Peterson, Monfriez et Beckett / Banque : Trapper]
Monfriez : Capitaine c’est lui !
Peterson : Rappelez-vous la stratégie.
Beckett : Oui ! [Décrochant le téléphone] Alors comment ça se passe ?
Trapper : Oh jusqu’ici tout va bien.
Beckett : Oui et comment vont les otages ? Je m’inquiète pour Simone, l’employer de la banque enceinte. C’est une situation stressante, vous pourriez peut-être la laisser sortir ?
Trapper : Non, non, non Kate. Vous devez donner avant d’obtenir quelque chose.
Beckett : D’accord qu’est-ce que vous voulez ?
Trapper : Un bus avec des vitres teintées, il nous conduira, moi, mes partenaires et mes otages à l’aéroport Teterboro. Là un avion nous attendra pour nous emmener dans le pays de mon choix. Vous faite ça et je vous donne la femme enceinte. Quand on aura atterri au paradis, je relâcherais le reste des otages… et Kate, vous avez trois heures. [Raccrochant]
Peterson : Monfriez trouver moi un bus avec des vitres tentées et faite le venir ici.
Beckett : Une petite minute, vous allez réellement lui donner ce qu’il demande ?
Peterson : Bien sûr que non, ce type sortira de cette banque avec les menottes au poignet ou les pieds devant, mais si on doit en arriver là, j’utiliserais le bus pour faire sortir les braqueurs afin que nos hommes les éliminent.
Monfriez : [Regardant les caméras] Qu’est-ce que c’est que ça ? [Des lumières clignotent sur le plafond à l’extérieur de la banque] Vous voyez ça ?
Beckett : [Regardant] C’est un message en morse !
[Dans la banque : Martha]
[Castle fait du morse avec le bracelet et la lumière]
Martha : [A Castle] Non, arrête une minute.
[Le Dr Quinn passe et Castle s’arrête]
Martha : La voie est libre !
[Castle reprend le signal]
[Camion de communication : Beckett, Peterson et Monfriez]
Beckett : [Ecrivant] SDB 120, encore et encore. Vous savez ce que ça peut être ?
Peterson : Des initiales ou un code. Somme déposé en banque.
Beckett : [Essayant les différentes possibilités sur son calepin] Sécurité…
Peterson : Sortez des donner bancaire…
Beckett : Attendez, attendez… Ça pourrait être… Salle, SDB, salle des dépôts bancaires. Un coffre-fort qui porte le numéro 120, c’est ça. [Monfiez vérifie sur l’ordinateur]
Peterson : Qu’est-ce qu’un coffre a à voir dans cette histoire ?
Beckett : J’en sais rien, mais si Castle a pris le risque d’envoyer ce message, ça veut dire quelque chose.
Peterson : Comment vous savez que c’est lui ?
Beckett : Croyez-moi, c’est lui !
Monfriez : Alors le coffre numéro 120 appartient à un couple Agnès et Gideon Fields.
Peterson : Rien de spécial sur ce coffre ?
Monfriez : Non apparemment, ils y ont tous les deux accès, une fois par mois.
Beckett : Je dirais à mes hommes de vérifier.
[Dans la banque : Martha, Castle et Sal]
Martha : Richard, prend un air innocent. Tu vas te faire repérer. [Le Dr Quinn les observe] Tu es trop tendu. [Le Dr Quinn passe entre les otages] Tu sais même un profane peut repérer une interprétation peu inspirer.
Castle : Oui mère.
Sal : [Revenant sur les nerfs] Ecouter, en revenant pas ici, j’ai jeté un petit coup d’œil dans leur sac de sport. Il y avait des briques blanche avec des fils et des minuteries attacher dessus. Je crois que c’est du C4.
Martha : Du C4, vous en êtes sur ?
Sal : Oui, ils ont prévu de nous faire exploser !
Castle : Calmez-vous, s’il vous plait. Rester calme !
Sal : Comment je peux rester calme, j’ai ma famille qui m’attend !
Martha : Nous avons tous une famille. Alors calmez-vous un peu !
Castle : Comment vous appelez-vous ?
Sal : Sal, Sal Martino !
Castle : D’accord Sal. Est-ce que vous avez une femme ? Des enfants ?
Sal : Oui, j’ai un fils.
Castle : Quel est son nom ?
Sal : Connor !
Castle : Je parie que la seule chose à laquelle vous pensez, c’est de le revoir, n’est-ce pas ?
Sal : Vous avez pas idée !
Castle : Bien… continuez de penser à ça. Vous devez penser que vous allez très bientôt revoir Connor. Parce que je vais trouver un moyen de nous sortir d’ici. Je vous le promets !
Sal : J’ai besoin d’air. Pourquoi il y a pas d’air dans cette pièce.
Castle : Enfin qu’est-ce qui se passe ici ?
Martha : Je n’en sais rien.
Castle : Je croyais qu’il venait vider un coffre. Ils n’ont pas besoin de C4 pour ça.
Martha : Ils veulent peut-être que personne ne sache ce qu’ils ont volés dans cette banque et le C4 est là pour s’assurer que ce soit vraiment le cas.
[Appartement des Fields : Esposito et Ryan]
Esposito [Frappant à la porte] Monsieur et Madame Fields, ouvrez s’il vous plait, c’est la police !
Ryan : Ca n’a aucun sens, qu’est-ce que le coffre d’un vieux couple a à voir avec ce qui se passe dans cette banque.
Esposito : [Lisant un sms] Peut-être plein de chose, la banque a dit qu’Agnès et Gideon avait accès à leur coffre une fois par mois. [Ryan acquiesce] Je viens d’avoir un texto du poste, Gideon Fields est mort il y a quatre ans, alors celui qui allait à la banque était un autre type.
Ryan [Frappant] Agnès. C’est la police ouvrez s’il vous plait !
Esposito : La radio est allumée ! [Sortant son arme]
Ryan : Non, non, non, non, on a pas le droit d’entrée, on a pas de mandat et aucune raison valable d’entrée.
Esposito : La vie de Castle en dépend tu sais !
Ryan : T’as entendu ?
Esposito : Hum !
Ryan : Je crois que quelqu’un a crié, à l’aide police.
Esposito : [Prenant une voie suraigüe] A l’aide police ! [Reprenant sa voix] A ouais t’as raison !
[Défonçant la porte]
Ryan : Police Agnès ! [Ils se bouchent le nez en entrant et trouve le cadavre d’une femme] Ouais, c’est Agnès !
Esposito : Mais qu’est-ce qui se passe ?
[Appartement des Fields : Esposito et Ryan / Devant la banque : Alexis et Beckett]
[Les gars cherchent dans les papiers de l’appartement]
Esposito : [Au téléphone avec Beckett] La propriétaire de notre coffre-fort est morte depuis à peu près une semaine. Elle a des marques de ligature sur le cou indiquant une strangulation.
Beckett : [Devant la banque à tourner en rond] Qu’avez-vous trouvé sur les lieux du crime ?
Esposito : L’appart a été retourné, le tueur cherchait un truc j’imagine. Ah je vois une chaine casser autour du cou de la victime, mais sans pendentif.
Beckett : D’accord. Bon ça devait être là qu’elle gardait la clé du coffre, à mon avis.
Esposito : Je comprends pas, il s’agit d’une ancienne employé de bibliothèque. Que pourrait bien contenir son coffre pour que quelqu’un veuille faire tout ça ?
Ryan : La fusion à froid, l’or des nazis, une carte pour Atlantis.
Esposito : Hey, Castle junior, tu veux bien penser en flic, s’il te plait !
Ryan : C’est ce que je fais.
Esposito : T’es sur ?
Ryan : Ça devait être quelque chose d’énorme, si ça valait la peine de la tuer, pas vrai ? [Regardant par terre] Hey, super flic, regarde ça ?
Beckett : Qu’est-ce que c’est ?
Ryan : C’est un mouchard, ça vient pas d’une boutique d’espion. On dirait un truc de pro.
Beckett : [Voyant Alexis arriver] D’accord, je veux que vous trouviez tout ce que vous pouvez sur Agnès Fields. Je dois y aller ! [S’approchant D’Alexis]
Alexis : [Dans tous ses états] Ils sont dedans, n’est-ce pas ? Mon père et ma grand-mère sont là, je sais qu’il devait aller dans cette banque…
Beckett : Alexis…
Alexis : Ils ne répondent pas au téléphone. Mon père prend toujours mes appels…
Beckett : Ecoute moi…
Alexis : Et vous êtes là…
Beckett : Ecoute, t’en fait pas, tout va bien se passer, d’accord ? Et oui, ils sont dans cette banque.
[Dans la banque : Martha, Castle, Sal et Quinn]
Martha : Qu’est-ce qu’il y a ?
Castle : Il faut que j’aille prêt des baies vitré, transmettre un message à Beckett à propos du C4.
Martha : Voyons, ne fait pas ça. Je t’en prie, Richard. C’est dangereux, on est des otages, comporte toi en tant que t’elle, je t’en prie !
Femme : [A Simone qui n’est pas bien installer] Ca va allez !
Martha : [Castle se lève] Non, Richard, je t’en prie !
Castle : Heu, euh Dr Quinn ?
Quinn : [Pointant son arme sur lui] T’as un problème ?
Castle : Heu, et, et bien vous savez, d’où je viens Dr Quinn on ne fait jamais assoir des femmes enceintes par terre. Vous voulez bien que j’aille prendre des coussins du canapé pour elle ?
Quinn : Ok, mais fait vite prince charmant.
Castle : Merci !
[Castle va vers les fenêtres en prenant quelque chose dans sa poche]
Quinn : [Pointant son arme] Arrête, bouge pas !
Martha : [Terrifier] Oh…
Quinn : Arrête, arrête ou je te descends ! Hey, hey…
Sal : [Se levant brusquement] De l’air !
Quinn : Bouger pas !
Sal : [Allant vers les portes] De l’air !
Castle : Non, non, non, ne tirer pas, ne tirer pas ! [Sal enlève sa veste complètement désorienté] Sal il faut vous rassoir
Quinn : Je vous avais prévenu.
Castle : Non, non, non, ne tirer pas !
Quinn : Ne bouger pas où je vous descends. Rester ou vous êtes… [Sal tombe à terre] Arrêter ça tout de suite ! Je vais vous descendre, Vous entendez, je vais vous descendre…
Castle : Ne tirer pas. Il a des convulsions. Sal doucement… [Regardant le bracelet à son poignet] A super un épileptique. Il faut aider cet homme.
Quinn : Alors va-y ! Aide-le !
Castle : Ecouter, il vient de faire une crise d’épilepsie Dr Quinn, alors sauf si vous êtes vraiment femme médecin, il doit aller à l’hôpital tout de suite.
Quinn : [A Doogie] Va chercher Trapper ! Magne-toi !
Castle : Magnifique, le faux médecin appelle un autre faux médecin pour une consultation !
[Devant la banque : Alexis, Beckett et Monfriez]
Alexis : Qu’est-ce que je dois faire alors ?
Beckett : Rien du tout, on fait ce qu’on peut pour réglé ça !
Alexis : Non attendez, ils sont tout pour moi. Vous comprenez, ils sont tout pour moi…
Beckett : D’accord, aller, écoute-moi. Je te promets que ça ira, tu m’entends, ils vont s’en sortir.
Alexis : Je l’espère !
Monfriez : Beckett, le type appel !
Beckett : Très bien, je dois y aller ! [A un officier] Rester avec elle ! [Partant vers le camion de communication]
Alexis : [Appelant Ashley au téléphone et tombant sur son répondeur] Je sais que tu es occupé, mais j’ai besoin de toi. Mon père est … Il faut que tu me rappel très vite, dès que tu as ce message. [Pleurant] J’ai vraiment besoin de toi !
[Camion de communication : Beckett, Peterson et Monfriez / Banque : Trapper]
Beckett : [Au téléphone] Beckett !
Trapper : Ecouter Kate, l’un des otages à fait une crise d’épilepsie, il s’est évanoui. Normalement je m’en fouterais mais ça commence à agiter les autres otages et je ne veux pas que l’un d’eux essaye de jouer les héros. Alors voilà le truc, vous envoyer un ambulancier pour le récupérer et en échange de ma générosité vous faite venir mon bus devant la banque dans 20minutes.
Beckett : Ça laisse pas assez de temps !
Trapper : Pour moi si. Emmener ce gars maintenant et mettez mon bue devant la banque dans 20min, où je commence à descendre les otages. [Raccrochant]
Beckett : [A Monfriez] Dans combien de temps on aura ce bus ?
Monfriez : 35 minutes !
Peterson : Faut lui demander plus de temps.
Beckett : Il va jamais vouloir !
Peterson : Alors on prendra d’assaut la banque.
Beckett : On peut pas donner l’assaut. On s’est pas à quel endroit précis, ils sont. Si on entre là-dedans, des otages vont s’en doute se faire tuer.
Peterson : Si on veut en sauvez un certain nombre, on a pas d’autre choix.
Beckett : Peut-être que si. On pourrait utiliser cet otage malade, à notre avantage. Au lieu d’envoyer un ambulancier, on envoie un flic possédant un entrainement tactique. Il recueillera des infos qui seront utiles quand le SWAT fera irruption dans la banque.
Peterson : Il y a surement un flic auquel vous pensez !
[Dans la banque : Trapper, Quinn, Castle et Beckett]
[Les faux docteurs ouvrent la porte. Un brancard est rouler à l’intérieur et c’est Beckett qui entre en le poussant. Castle est très surpris]
Trapper : Fouille-la !
[Le Dr Quinn l’a fouille très soigneusement] [Castle prend une feuille de papier et écrit rapidement quelque chose]
Quinn : C’est bon !
Trapper : Faite vite !
Beckett : [A Castle en s’agenouillant devant Sal] Comment va-t-il ?
Castle : Pas bien. [Pliant le papier] Il s’appelle Sal Martino. Il est épileptique. Je crois que sa crise est due au stress.
Beckett : Bonjour Sal, vous m’entendez ? Comment allez-vous ? Sal écouter moi, je veux que vous sachiez qu’il y a des personnes dehors qui tiennent beaucoup à vous, alors continuez à respirer ! [Prenant la main de Castle, se trouvant sur la poitrine de Sal, dans la sienne] Je vous promets que je vais vous sortir de là ! [Regardant Castle intensément]
Huxtable : Hey, arrêté de le dire et faite le. Et toi, aide la, à le mettre sur ce brancard, tout de suite !
Castle : Sal, vous êtes prêt ? On va vous relever à 3. Un, deux, trois ! [Sal se plaint] Doucement, doucement, allonger vous, voilà ! [Le sanglant avec l’aide de Beckett et sous le regard de Trapper] Ca va aller ! [Remettant prudemment le mot qu’il a écrit à Beckett] Voilà !
[Beckett et Castle se jettent un dernier long regard avant que les portes ne se referment]
[Devant la banque : Beckett et Alexis / Au téléphone : Ashley]
[Alexis attend Beckett. De vrai ambulancier prennent Sal en charge]
Beckett : Je vous le laisse ! [A Alexis] Ton père va bien. [Ouvrant le mot] Ta grand-mère aussi ! [Lisant le mot] Oh merde !
Alexis : Qu’est-ce qui se passe ?
Beckett : Alexis, je veux que tu ailles là-bas, derrière ce cordon jaune, tout de suite ! [A un officier] Emmenez là derrière le cordon !
Alexis : [Surprise. L’officier la pousse gentiment plus loin] Mais… [Son téléphone sonne et décroche] Ashley, mon père…
Ashley : Désolé Alexis je peux pas te parler maintenant…
Alexis : Ashley tu m’entends ?
[L’officier essaie de l’éloigner mais elle résiste]
Ashley : Mais je te rappel tout à l’heure.
Alexis : Non, non, me rappel pas tout à l’heure
Ashley : Je dois raccrocher. Je t’entend plus.
Alexis : Faut que je te parle tout de suite. Quoi ?
Agent : [La poussant] Allez, mademoiselle !
Alexis : Ashley attend ! [Il a raccroché]
[Camion de communication : Peterson et Beckett]
Peterson : Il y a du C4 dans la banque ?
Beckett : J’en ai pas vu, mais si Castle dit qu’il y en a, c’est qui en a !
Peterson : Donc on va pas pouvoir entrer en force. Je vais pas envoyer mes hommes là-dedans si tout peut péter. Faudra avoir ces gars dans le bus.
Beckett : Le bus est encore à 20min d’ici et il ne nous en reste que 5 avant qu’il commence à tuer les otages.
Peterson : Alors il faut gagner encore un peu de temps Beckett !
[Banque : Trapper, Martha et Castle / Camion de communication : Peterson et Beckett]
[Dans la banque le téléphone sonne]
Trapper : [Décrochant] Ou est mon bus ?
Beckett : Il va arriver. Il devrait être là dans 20min.
Trapper : Les otages seront morts dans 2.
Beckett : Il n’est pas nécessaire que quelqu’un soit tué, d’accord. Il va arriver, c’est juste que ça circule pas très bien.
Trapper : On avait des règles Kate. J’ai dit que je ne tuerais personne et vous avez dit que j’aurais mon bus. J’ai rempli ma part du marché.
Beckett : Et moi je vais remplir la mienne dans 20 min.
Trapper : Je vous avais dit de ne pas vous foutre de ma gueule. J’ai été clair à propos des conséquences. Je dois vous prouver que je ne plaisante pas, c’est ça ?
Beckett : D’accord, je crois vraiment qu’on devrait tous les deux respirer et en parler calmement.
Trapper : [Hurlant] J’en ai marre de parler ! [Tirant en direction de Castle]
Beckett : Qu’est-ce que c’était ?
Trapper : [L’ordinateur derrière Caste se mets à fumer] Un coup de semonce Kate. Le prochain sera pour tuer. [S’approchant vers Castle]
Martha [Voulant s’interposer] Ne le toucher pas. Sale petite vermine !
Castle : Retenez-la, Mr Davenport! Ça, ça va aller ! [Trapper lui met son pistolet sous le menton]
Martha : Laisser le tranquille, vous entendez !
Trapper : [Armant son arme en s’énervant encore plus] Je vais faire de belle trace rouge avec votre petit copain Kate. J’ai mon arme sur sa gorge et je vais peindre un Jackson Pollack avec ses entrailles…
Peterson : Vous devez le calmer.
Beckett : [Furieuse] Ecouter espèce de dégénérer, j’y peux rien s’il y a des embouteillages alors vous devez me laisser 20min.
Trapper : Il vous reste qu’une minute !
Beckett : Non, il m’en reste encore 20 ! [Martha est terrifiée et Castle tient le regard de Trapper sans broncher] Compris ? 20, parce que si vous presser cette détente, je vais franchir cette porte pour aller personnellement vous mettre une balle dans le crane !
[Pause sous tension]
Trapper : [Relâchant son arme de sous la gorge de Castle] D’accord Kate. Vous avez encore 20min ! [Raccrochant]
Peterson : Vous avez une sacrée manière de négocier. [Beckett souffle]
Trapper : [A Castle] Ta petite amie est une vraie tigresse.
Castle : Et bien voyez-vous, ce n’est pas ma petite amie.
Trapper : Elle est trop libérée pour toi ?
Castle : Ha. Alors pourquoi cambrioler cette banque ?
Trapper : La loi de Sutton. Quand on a demandé à Sutton pourquoi il braquait les banques, il a répondu « Parce que c’est là que se trouve l’argent »
[Huxtable reçoit un appel et s’éloigne pour répondre]
Castle : Sauf que Will Sutton n’a jamais dit ça. C’est un journaliste qui a inventé cette réplique. Nous les écrivains nous sommes vraiment doué dans l’art d’altérer la réalité, pour avoir l’histoire qu’on veut. Et dans l’histoire que vous racontez ici, on voit que ce n’est pas l’argent la priorité.
Trapper : Ah vraiment ?
Castle : Vous et votre équipe ne porter pas de gant. De toute évidence, vous ne craigniez pas de laisser vos empreintes donc vous n’êtes pas fiché. Et vos attitudes, vous êtes des mercenaires, ce qui veut dire que vous êtes trop malin pour monter dans ce bus, alors qui avait-il dans ce coffre ? Pourquoi du C4 ? Et enfin tant qu’on y est, qu’aller vous faire de nous ?
Trapper : [Riant] Je t’aime bien toi ! C’est pour ça que je vais te tuer en dernier.
[Martha pleure]
Huxtable : Trapper, on peut y aller ! [Il acquiesce] Très bien tout le monde debout. Dépêchez-vous aller, aller, aller, aller ! [Les otages s’exécutent]
Castle : Qu’allez-vous faire ?
Trapper : T’es intelligent. Tu vas trouver ça tout seul !
[Les faux médecins attachent très serrer les otages avec des cordons en plastique]
[Camion de communication : Beckett, Peterson et Monfriez]
Peterson : [Montrant sur une carte les instructions] On a encore 18min, je veux tout le monde en position. Le SWAT peut intercepter le bus sur la 49ème, ils peuvent se mette ici. [Beckett n’écoute pas et réfléchit] Je veux des tireurs là, là et là. Appeler mon Roman.
Beckett : Pourquoi est-ce qu’il ne m’a rien demandé ?
Peterson : Quoi ?
Beckett : Monsieur, il vient de me donner 20min et il n’a rien demandé. Rien exiger en échange. S’il voulait vraiment garder le contrôle, il aurait au moins réclamé quelque chose. Je veux dire, tout ça c’est vraiment trop facile.
Peterson : Savourez la victoire lieutenant.
Beckett : Non monsieur, il se passe un truc bizarre. On ne doit pas se poser les bonnes questions. C’est vrai, pourquoi on-t-il apporté du C4 pour braquer une banque ? Qu’est-ce que le meurtre d’Agnès Fields vient faire dans toute cette histoire ?
Monfriez : Capitaine, j’ai le sergent Roman.
Peterson : [Au téléphone] Ouais Roman.
[Dans la banque : Castle et Martha]
[Les faux médecins sortent les pains de C4 avec des minuteurs d’un sac et tout le monde a peur]
Castle : Mère, je ne suis plus du tout satisfait du service client de cet établissement. On devrait changer de banque crois-moi.
Martha : [Se penchant sur l’épaule de son fils en pleurant] Je suis vraiment désolé. Pardonne-moi de t’avoir entrainé dans cette…
Castle : T’inquiète pas. Tu n’y es pour rien. [Martha lui sourit] Je t’aime Mère !
Martha : Moi aussi je t’aime chérie. [Se regardant]
[Camion de communication : Beckett / Appartement des Fields : Ryan et Esposito]
Beckett : [Au téléphone] Vous avez trouvé quelque chose sur Agnès ?
Esposito : [Sur haut-parleur] On a épluché ces relever téléphonique et bancaire. Parler à ses voisins, ça n’a rien donner.
Beckett : Bon et concernant le coffre d’Agnès à la banque. Un homme se faisait passer pour son défunt mari et y accédait tous les mois, une piste ?
Ryan : Rien jusqu’à présent.
Beckett : Elle avait de la famille ?
Esposito : Heu, Agnès n’avait vraiment plus aucun parent en fait. Son mari est mort et sa fille et son petit fils sont morts dans un accident de bateau il y a un an.
Ryan : Son seul parent encore en vie c’est son ex-gendre. Ron Brandt, on lui a laissé un message, il nous a pas rappeler.
Beckett : On a pas le temps d’attendre qu’il se décide à nous rappeler, alors trouver le et …
[Une explosion retentie et sous le choc Beckett sort du camion au ralentit pour voir la banque complétement souffler par l’explosion]
[Dans la banque : Beckett, Castle, Martha, Davenport et Peterson]
[Le SWAT entre dans la banque suivie de Beckett]
Beckett : Castle ! [Cherchant partout] Castle ? Castle ?
Castle : Beckett !
[Beckett trouve Castle et les otages enfermés dans la salle des coffres. Il lui fait un signe de la main et elle est soulagée]
Beckett : Ils sont là !
Castle : Je vous l’avais dit ! [Riant]
Martha : Oh Dieu merci !
[Beckett heureuse, s’agenouille prêt de Castle et lui sourit en sortant une pince coupante]
Beckett : Attention, prêt… [Castle acquiesce] On y va ! [Coupant le lien] Comment allez-vous ? [Passant sa main sur son col et ne le lâchant pas des yeux]
Martha : Il n’est pas le seul ici vous savez ! [Montrant ses mains liées à Beckett en souriant]
Beckett : Oh désolé ! [Castle est dégouté que sa mère est ruiné leur moment] Je suis vraiment désolé Martha. Excusez-moi, comment allez-vous ?
[Les otages sortent de la salle des coffres]
Martha : J’ai les oreilles qui bourdonnent.
Castle : Moi aussi mère.
Peterson : Tout le monde est sain et sauf ?
Davenport : On est tous là et on va tous bien.
Beckett : Alors qu’est-ce qui est arrivé au braqueur ?
Peterson : Ils sont morts. Ils se sont fait exploser eux même.
Beckett : Quoi ?
Peterson : Apparemment le C4 faisait partie de la stratégie de sortie. Ils ont fait un trou juste au pied de la chambre forte et ouvert un passage sur la station de métro abandonné en dessous. Un super plan si, il l’avait fait foirer. Ils ont dû déclencher l’explosion avant d’être à couvert et ils en ont fait les frais.
Martha : Ohhh !
Castle : C’est impossible, le C4 est un explosif très stable, il exploserait pas accidentellement. Et ces types n’était pas de simple petit bandit, ils étaient entrainer avec une précision militaire. Ils n’auraient pas déclenché l’explosion si tôt.
Peterson : Vraiment j’ai un assortiment de morceau de corps qui disent pourtant le contraire.
Beckett : Allez sortons d’ici !
[Devant la banque : Esposito, Ryan et Beckett]
[Les otages sortent de la banque. Martha et Castle aident Simone a marché. Mr Davenport donne sa carte à Martha en lui parlant joyeusement. Castle voit Alexis qui vient se jeter dans ces bras, Martha vient les rejoindre pour un câlin familial. Beckett les regarde attendri et lorsqu’elle croise le regard plein de gratitude d’Alexis, elle lui sourit.]
[Les gars arrivent et Beckett leur fait signe]
Esposito : Tout le monde va bien ?
Beckett : Oui ça va, il fait qu’il récupère.
Ryan : Il parait que tous les suspects sont morts.
Beckett : Tout ça n’a vraiment aucun sens. Une vieille dame est tuée pour les clés de son coffre en banque auquel son défunt mari y a encore accès tous les mois et ensuite ça. [Montrant la banque] Un truc nous échappe c’est sûr. Qu’est-ce que tu disais à propos d’Agnès Fields et de son dernier parent en vie ?
Ryan : Son ex-gendre Ron Brandt. On lui a laissé un message mais il traite des affaires à l’étranger. Il est peut-être même pas dans le pays. [Montrant la photo de Ron sur son téléphone] Il a un appartement dans l’Upper East Side. On peut aller le voir si on…
Beckett : [L’interrompant] Attend une seconde. C’est lui le gendre ?
Ryan : Oui pourquoi ?
Beckett : C’était l’un des otages, il a fait une crise d’épilepsie et … oh non… [Décrochant son téléphone] Ici le lieutenant Kate Beckett, police criminel, je m’intéresse à un patient arriver chez vous après un braquage de banque, il s’appelle Sal Martino. [Ecoutant la réponse] Quoi ? C’est vrai ? [Raccrochant] Il a signé une décharge contre avis médical et il est parti. C’est lui, il a orchestré toute cette histoire.
[Au poste : Esposito, Ryan, Castle et Beckett]
Esposito : Ron Brandt dirige une société qui fournit du matériel militaire aux forces spéciales opérant un petit peu partout dans le monde.
Castle : Voilà ce que je crois, Brandt utilise ses contacts militaires pour engager ce groupe de mercenaire et pour éviter tout désagrément, il fait en sorte que le C4 explose en avance.
Esposito : Il les élimine de sang-froid.
Beckett : Et il a fait tout ça pour récupérer ce qu’Agnès gardait si précieusement. Castle vous disiez que le coffre contenait des photos et des lettres, n’est-ce pas ?
Castle : Oui, d’après moi Trapper a dû les remettre à Brandt quand il est revenu des toilettes. Parce que juste après, il a simulé une crise et a pu s’en aller.
Beckett : Mais pourquoi ? Que pouvait-il y avoir de si spécial dans le coffre de son ex-belle-mère ?
Castle : Quoi, une ex-belle-mère vous dites ?
Esposito : Ouais, Brandt était marié à la fille d’Agnès, Tania. Elle et son fils Connor ont été tués dans un accident de bateau, il y a un non.
Castle : Non, non, non. Brandt a parlé de Connor, il n’en parlait pas comme si il était mort. Connor est toujours en vie.
Esposito : Je ne sais pas quoi vous dire Castle. Là c’est marqué que Connor est mort.
Ryan : Je suis pas sûr que ce soit le cas. Il s’avère que ni le corps de sa femme Tania, ni celui de Connor n’ont été retrouvés.
Castle : Pourquoi la femme simulerait leur mort ?
Ryan : Son mari était du genre violent. [Beckett regarde des photos de Tania avec le visage tuméfier] Cela dit Brandt avait des relations et les moyens d’éviter les poursuites.
Castle : Le système ne l’a pas protégé. Elle et Connor ne pouvait échapper à cette brute donc elle a simulé leurs morts et ils ont disparus.
Beckett : Oui mais en disparaissant, elle a dû faire une croix dans son ancienne vie.
Castle : Couper les liens avec absolument tout ce qu’elle avait connu.
Beckett : Sauf qu’elle ne pouvait pas et en particulier avec sa mère Agnès.
Castle : Voilà à quoi servait le fameux coffre-fort. C’était un moyen de communication. Comme une boite de dépôt pendant la guerre froide dans un roman de John Le Carré. Seulement… Tania ne prendrait pas le risque de faire les dépôts. Alors qui pourrait le faire pour elle ?
Ryan : Notre monsieur mystère prétendant être le mari d’Agnès qui était mort. Il servait d’intermédiaire.
Beckett : Ok donc Tania envoie les photos et les lettres à l’intermédiaire et l’intermédiaire va les déposer dans le coffre d’Agnès à la banque. Le coffre sert de boite postale.
Castle : Sauf que c’est mieux qu’une boite postale, vu que c’est enfermer dans une banque.
Ryan : Brandt a dû deviner qu’ils avaient simulé leurs morts et il a mis l’appart sur écoute.
Esposito : Et quand il a su pour le coffre à la banque, il l’a tué pour avoir la clé.
Castle : Et comme l’horloge tournait, il a engagé cette équipe de faux braqueur de banque pour ouvrir le coffre avec cette clé.
Beckett : Et ces photos et ces lettres vont lui dire exactement où sa femme et son fils se cache. Il est en chemin maintenant et on sait ce qu’il fera une fois qu’il y sera.
Castle : Il va kidnapper son fils et tué sa femme.
[Devant le tableau]
Castle : Identifier l’intermédiaire est le seul moyen qu’on a de retrouver Tania et Connor. Alors que sait-on ? Il se présentait à la banque comme le mari d’Agnès. [Ecrivant au fur et à mesure sur le tableau les possibilités]
Beckett : Ça devrait être quelqu’un que Brandt ne soupçonnerait pas.
Esposito : Ca élimine les amis, les voisins et les collègues.
Beckett : Et c’est surement une personne en qui ils avaient confiance.
Esposito : Il peut très bien avoir été payé. On peut peut-être retrouver des payements ?
Beckett : Je crois qu’ils étaient surement assez malins pour avoir payé en liquide. Ce qui est in-traçable.
Ryan : Sauf si des payements par chèque pouvait suffisamment brouiller les pistes. En fait à partir de la mort présumé de Connor et Tania, elle s’est mise à envoyer un chèque à l’église St Abigail chaque mois.
Castle : Et qui correspond mieux au profil qu’un prête ?
Ryan : Et il y en a un a qui ont devrait aller parler en 1er. Le prête qui officiait à leurs enterrement, le père Sean McCaskey.
[Eglise St Abigail : Beckett, Père McCaskey et Castle]
Beckett : Père McCaskey je suis le lieutenant Beckett et voici Richard Castle, on a besoin de savoir ou Tania et Connor Brandt se cache ?
McCaskey : Je ne sais pas de quoi vous parler. Tania et Connor sont décédés déjà depuis plus d’un an.
Castle : Mon père vous ne comprenez pas. Agnès Fields a été assassiné, Ron Brandt a le contenu de son coffre à la banque et maintenant il est sur leurs pistes.
McCaskey : Quoi, comment ça ? Comment ça a pu arriver ? Ce coffre-fort devait servir à protéger cette famille.
Beckett : Ca a échoué mon père mais on peut le faire, pour ça on doit connaitre leur adresse.
McCaskey : Oui bien sûr. Ils vivent au 14rue Cascadilla à Ithaca.
Castle : Ithaca c’est seulement à 4h d’ici. Brandt y est peut-être déjà. [Au prête] Merci !
McCaskey : Je vous en prie.
[Beckett sort son téléphone]
[Domicile de Tania : Brandt et Tania]
[On frappe à la porte, on ouvre]
Brandt : Chérie c’est moi !
[Tania est apeuré, elle essaie de refermer la porte mais il l’a bloque et réussi à l’ouvrir. Tania prend une batte de baseball et le menace]
Tania : N’avance pas. Je vais te tuer !
Brandt : Voyons Tania est-ce que c’est une manière d’accueillir ton mari.
[Elle veut le frapper mais il contre le coup en attrapant la batte et lui en met un coup dans la tête et tombe]
Brandt : Oh non chérie tu t’es cogné la tête. [Tania pleure par terre en se tenant le visage] [Ron part dans le couloir et trouve Connor dans sa chambre] Hey, salut. Salut mon grand. Ton papa t’a manqué ?
[Au poste : Beckett, Esposito, Ryan et Castle]
[Tous attendent sur les nerfs]
Beckett : [Au téléphone, attendant une réponse] Allez, allez, allez !
Esposito : Pourquoi ça prend si longtemps ?
Ryan : J’arrive pas à croire qu’il nous fasse attendre.
Castle : Beckett s’il met la main sur le gosse !
[Domicile de Tania : Connor, Tania et Brandt]
[Brandt porte Connor qui se débat]
Connor : Ahh… maman !
Tania : Ne l’emmène pas, je t’en prie !
Connor : Maman…
[Brandt sort un pistolet et le braque sur Tania]
Tania : Non ! [Pleurant] Pas devant lui ! [Il arme son pistolet]
Connor : Maman !
Tania : Mon fils !
[Brandt appui sur la gâchette mais le coup ne part pas et elle pleure de plus belle]
Brandt : Pourquoi je te tuerais ? Je veux que tu vives une longue, longue vie en sachant que tu ne pourras jamais revoir Connor, jamais. Maintenant c‘est à mon tour de disparaitre, mais contrairement à toi, je sais me cacher.
Connor : Maman !
Tania : Nonnnn…
Brandt : Vient Connor on s’en va ! [Sortant de l’immeuble] Ca va aller tu verras !
Policier : Plus un geste, ne bouger plus ! [Entourant Brandt en pointant leurs armes]
Policer2 : Rester ou vous êtes !
Policier3 : [Arrivant derrière Brandt] Réfléchissez bien à ce que vous allez faire ?
[Au poste : Beckett, Esposito, Ryan et Castle]
Beckett : [Au téléphone] Quoi ? [Ecoutant] D’accord, merci ! [Au trois garçon] Ils sont arrivés à temps ! [Castle saute de joie] Tania a besoin de point de suture, mais Connor va bien !
Esposito : [A Ryan] Vient on va les chercher !
Ryan : A Ithaca ?
[Les gars partent et Beckett est extrêmement soulagé]
Castle : Même quand je suis retenu en otage, je vous aide à résoudre des meurtres. [Beckett sourit] Je crois que vous teniez l’équipier parfait.
Beckett : [Riant] Oui sauf qu’il rechigne à faire de la paperasse.
Castle : Touché !
Beckett : Alors le Old Haunt, je vous paye un verre ?
Castle : Non, mais je vais vous offrir mieux !
[Loft des Castle : Martha, Alexis, Castle et Beckett]
[Castle et Beckett entre dans le loft]
Martha : Oh Kate… [La prenant dans ses bras] ma chère, vous avez pu vous joindre à nous qui êtes une magnifique créature. Entrée, entrée !
Beckett : [Surprise en voyant le festin sur la table] Oh Martha, vous… vous… vous avez… oh vous vous êtes vraiment donner du mal.
Martha : Affronter la mort demande de célébrer ensuite la vie. Ce soir on fait la fête !
Castle : Ou est Alexis ?
Martha : Oh euh, elle est euh… [Montrant le bureau de ma main]
Castle : [A Beckett] Excusez-moi une minute !
Beckett : Oui !
Martha : [A Beckett] Alors un verre ?
Beckett : Oui merci !
Martha : Ohh !
[Partant toutes les deux vers la cuisine]
[Dans le bureau de Castle]
Alexis : [Au téléphone] Ashley s’est pas pour aujourd’hui, c’est pour les 100 derniers jours. [Castle entrouvre la porte et écoute] T’es jamais là pour moi. C’est pas parce que tu es en Californie que je devrais retenir mon souffle, croiser les doigts et espérer recevoir un message de toi. Hum, à nouveau des excuses. Ashley j’en ai assez là, sincèrement. C’est fini ! [Raccrochant]
Castle : [Frappant à la porte et se racle la gorge] Ça va ?
Alexis : Non. Redemande le moi demain !
Martha : [Criant de la cuisine] Alexis chérie, vient m’aider pour le canard à l’orange, s’il te plait !
[Castle fait un câlin à sa fille et elle rejoint sa grand-mère]
[Beckett s’approche de Castle avec un verre de vin et le lui tend]
Castle : [Le prenant] Oh merci et je n’ai pas eu l’occasion de vraiment vous remercier pour m’avoir sauvez la vie.
Beckett : Oh mais ce n’est pas la peine Castle. On fait équipe, on veuille l’un sur l’autre.
Castle : Oui et l’un de nous plus que l’autre, ça va de soi. [Voulant trinquer mais elle se ravise au dernier moment]
Beckett : Quoi ? Qu’entendez-vous par là ?
Castle : Seulement que c’est la 8ème fois que vous me sauvez la vie alors que j’ai sauvez la vôtre 9 fois.
Beckett : D’abord, premièrement je n’arrive même pas à croire que vous comptiez les points et deuxièmement vous n’avez pas pu me sauvez la vie plus que je n’ai sauvez la vôtre. 9 fois pitié !
Castle : [S’avançant vers la table pour rejoindre Martha et Alexis] Et bien revoyons ça ensemble. La 1ère fois j’ai fait diversion avec une bouteille de champagne quand ce fou nous tirait dessus et oui ça vous a sauvez la vie. Vous l’avez admis vous-même. La 2ème fois c’était avec euh… le tueur en série qui avait qui avait mis une bombe dans votre cuisine pendant que vous preniez une douche.
Martha : [A Alexis] Remue la salade chérie !
Castle : J’ai dû vous entré dans un enfer pour vous sortir de votre baignoire. Oula je ne suis pas prêt de l’oublier !