413 Une vie de chien
[Concours canin : Maitre de cérémonie, Reporter, Kay Cappuccio et Francisco Pilar]
[Des chiens concours en musique]
Maitre de cérémonie : Mesdames et messieurs le moment du couronnement approche. Alors que le dresseur mondialement connu, Francisco Pilar passe une dernière fois les finalistes en revu, une seule question demeure. Qui sera cette année la bête de scène.
[Une star de télé-réalité arrive avec son petit chien et les flashs se déchainent]
Reporter : Je suis dans le public avec la star de télé-réalité, Kay Cappuccio et son manageur et petit ami, Reggie Starr. Kay vous et Reggie allez-vous marié ?
Kay Cappuccio : Ohh…
Reporter : Vous avez déjà choisi votre robe ?
Kay Cappuccio : Je tiens seulement à dire que je salut tous mes fans qui regarde et je leur rappelle également que dans moins d’un mois mon nouveau parfum sera en vente. Kay Cappuccio lance « Désir coupable ». Faite en sorte que son désir, le culpabilise.
Maitre de cérémonie : Francisco est prêt à annoncer sa décision.
Francisco Pilar : [Tendant la main vers le chien désigniez] 1er, 2ème, 3ème.
Maitre de cérémonie : Et voilà, mesdames et messieurs, les jeux sont fait. Cette année notre bête de scène est le seul, l’unique…
[Loft des Castle : Castle, Alexis et Martha]
Castle : Bouton ? [Alexis hoche la tête] Tu as une amie qui s’appelle Bouton ? Une amie humaine ?
Alexis : Sa mère l’appelait comme ça quand elle était petite et c’est resté.
Castle : Et bien maintenant ça doit lui peser.
Alexis : Bouton et moi on n’a pas été accepté à Stanford. En fait on a souvent postulé dans les mêmes écoles, alors on a projeté de visiter des campus ensemble ce week-end. On part faire une petite viré.
Castle : Houla, très bien, bon. Ou vas-tu dormir ? Qui prend le volant ? Qui va chaperonner ?
Alexis : On va prendre ta grosse voiture et aller retrouver des mecs qu’on a connus sur un site de rencontre.
Castle : Pas cool.
Martha : Chérie ne soit pas toujours aussi rabat-joie. Je suis sûr que la mère de Bouton, va les accompagniez.
Alexis : Exact et c’est une femme responsable.
Castle : Oui sauf pour attribuez des surnoms, bien sûr !
Alexis : Si tu veux je dirais à Mme Douton que tu aimerais bien la voir pour lui parler un peu.
Castle : Oui, ça serait vraiment une … son nom de famille c’est Douton ? [Alexis acquiesce] Ton amie s’appelle Bouton Douton !
Martha : Ça c’est fâcheux c’est certain.
Alexis : Qu’est-ce qu’il y a de mal à ça ?
Castle : C’est comme si je me faisais appeler, Épagneul ou l’linceul ou rince l’œil Castle. [Répondant au téléphone] Allo ! Non je faisais une mise au point. [S’éloignant] S’il vous plait de m’appeler pas comme ça !
[Concours canin, loge : Esposito, Beckett, Lanie, Green et Castle]
Esposito : La victime est Francisco Pilar, juge du concours canin. On l’a trouvé comme ça dans sa loge. Il avait toujours de l’argent sur lui, son portefeuille, son téléphone et une sorte de carte magnétique.
Beckett : La cause de la mort est ce qu’elle semble être ?
Lanie : Oui quelqu’un a mis une laisse autour de son cou et à beaucoup tirer.
Beckett : On a déjà pu estimer l’heur de la mort ?
Esposito : J’ai établi un créneau horaire.
Lanie : Excuse-moi, tu fais mon boulot maintenant. Je savais pas que t’étais médecin légiste.
Esposito : Euhhh…
Lanie : Mais allez-y docteur Esposito.
Esposito : Euh, très bien. Le dernier à avoir vu Francisco en vie, à quitter cette pièce à 17h15 pour aller lui chercher un truc à manger. Et monsieur Greene l’a trouvé comme ça, vingt minutes plus tard.
Beckett : D’accord, merci !
[Un peu éloigniez du corps]
Beckett : Bonjour ! [Serrant la main]
Greene : Bonjour, Adam Greene, c’est moi l’organisateur de ce concours.
Beckett : Monsieur Greene vous connaissiez bien la victime, Francisco ?
Greene : Francisco était notre juge depuis pratiquement 2 décennie. Personne ne se souciait plus des chiens que lui.
Beckett : Il avait de la famille à qui on pourrait parler ?
Greene : Royal était sa seul famille.
Castle : Oh c’est un très beau chien.
Greene : Francisco l’aimait énormément. En vérité, il s’entendait avec les chiens nettement mieux qu’avec leurs maitres.
Castle : Donc il était l’ami des chiens, mais pas vraiment celui des humains.
Beckett : Il a eu des problèmes avec certain de ces maitres ?
Greene : Qu’est-ce que vous voulez dire ?
Beckett : Il a été tué une demi-heure à peine après fait part de sa décision.
Greene : Oui les maitres des chiens de concours sont un peu passionné parfois, mais pas à ce point-là.
[Lanie montrant la marque sur le cou de la victime]
Castle : Quelqu’un lui a enroulé cette laisse autour du cou.
Beckett : Il nous faudra la liste de tous les concurrents, ainsi que les noms de tous ceux qui pouvait avoir accès à cette pièce.
Greene : Oui bien sûr !
[Couloir du concours : Castle, Greene, Beckett et Ryan]
[Royal gratte sur le sol avec fougue]
Castle : [Sortant et le voyant faire] C’est lui le chien de Francisco Pilar ?
Greene : Oui c’est Royal. On a préféré le laisser hors de la loge.
Castle : Pourquoi fait-il ça ?
Greene : Il faisait aussi la même chose près du corps quand on l’a trouvé. C’est peut-être une façon de faire son deuil. Je vais vous chercher cette liste de nom.
Beckett : Merci !
Castle : Donc le chien était sur le lieu du crime au moment du meurtre.
Beckett : Que voulez-vous qu’on fasse, l’embarqué pour l’interroger ?
Castle : Est-il possible que le meilleur ami de l’homme ne réagisse pas quand son maitre se faire attaquer ?
Beckett : Et s’il a pris sa défense, peut-être qu’il a des traces d’ADN sur lui qui pourrait nous conduire à l’assassin.
Ryan : Moi j’ai peut-être un nom. L’un des perdants a réagi et il vient de faire appel de la décision de Francisco. Un certain David Hernand, il parait qu’il était si énerver que la veine de son front n’arrêtait pas de trembler. Apparemment les concours canin c’était toute sa vie.
[Salle de toilettage du concours : Hernand, Beckett et Castle]
Hernand : Est-ce que la mort de Francisco m’affecte ? Bien sûr, mais je suis plus affecté par le verdict qu’il a rendu. Ce ruban appartenait à ma Max.
Beckett : Mr Hernand, ou vous trouviez vous exactement entre 17h15 et 17h35 ?
Hernand : Ici même à mon poste de toilettage je préparais… je l’ai pas tué, croyez-moi c’est clair. Vu dans quoi il c’était fourrer, il s’est infligé ça lui-même.
Beckett : Ah, mais dans quoi il s’était fourré au juste ?
Hernand : D’après ce qu’on dit, il en croquait en fait.
Castle : Vous insinuez qu’il prenait des pots de vin pour falsifier ce genre de concours ?
Hernand : Pariez sur des concours canin c’est un méga businesse et il a été vu avec des gens vraiment très louche. Des types qui viennent de Vegas.
Beckett : Ce sont des accusations sérieuses. Vous avez une preuve de ce que vous affirmez ?
Hernand : Vous voulez une preuve ? C’est ça que Francisco a déclaré vainqueur du concours. [Beckett se tourne et vois le chien qui à remporter la médaille] Regarder cette horrible chose. Maintenant regarder mon Max et cette mocheté. C’est la seule preuve qu’il me faut.
[S’éloignant tout deux du participant]
Beckett : Il y a vraiment beaucoup d’argent à se faire sur des concours canins ?
Castle : En fait je trouve ça très ingénieux, on c’est bien que le football, le basketball, les courses de chevaux sont observés à la loupe pour trouver des signes indiquant des parie suspects. Qui surveille les concours canins ?
Beckett : Je vais dire à Ryan de regarder, de vérifié aussi son alibi.
Esposito : Quoi que vous fassiez, ça peut attendre une minute. Madame répéter lui ce que vous m’avez dit, s’il vous plait ?
Kelly Gunther : J’étais en coulisse après le concours quand j’ai vu une femme sortir de la loge de Francisco.
Beckett : Vous avez une description ?
Kelly Gunther : J’ai encore mieux que ça, j’ai fait une vidéo avec mon téléphone. Elle avait une capuche et des lunettes de soleil, mais je l’ai reconnue tout de suite. C’était Kay Cappuccio !
Castle : La vedette de télé-réalité ?
[Kelly donne son téléphone à Beckett et elle regarde la vidéo]
Esposito : Regarder l’heure sur l’écran. En plein milieu du créneau horaire du meurtre !
[Générique]
[Dans la rue : Castle, Beckett et Paparazzo]
Castle : Il y a une chose que je ne comprends pas. Pourquoi Kay Cappuccio voudrait tuer Francisco Pilar ?
Beckett : Moi ce que je ne comprends pas, c’est comment cette femme peu avoir sa propre ligne de parfum, une horde de paparazzi devant chez elle, des millions de fan qui la suive, des tas de unes de magazine chaque mois, le tout sans véritable talent pour justifier ça ?
Castle : Moi ce qui me rend plus perplexe, c’est pourquoi sur presque toutes les photos, elle pose comme ça ? [Faisant une pose lascive et des flashs crépites de partout] Houla les gars, désolé j’ai pas le temps de faire des photos.
Paparazzi 1 : Par ici ! [Flashs crépitent]
Castle : D’accord, mais une seule !
Paparazzi 2 : Hey, mais c’est qui ce pauvre type ? [Les autres paparazzis cri des « Ohh » vigoureux et arrête de prendre des photos]
Castle : Oh ça devient lassant ! [Beckett rie]
[Shooting photo : Kay Cappuccio, Reggie Starr, Beckett et Castle]
Kay Cappuccio : Tu es adorable. [Donnant le chien à son assistante] Je crois qu’il est temps de la sortir.
[Beckett et Castle sortent de l’ascenseur et vois l’effervescence autour de Kay]
Reggie Starr : Oh vous deviez surement être les gens des boissons sans alcool ?
Beckett : En fait, non pas du tout. On est de la police, on est là pour parler à Kay Cappuccio.
Reggie : Autant pour moi, euh, allez-vous trouver une place dans un coin.
Beckett : Pardon ?
Reggie : Phoebe vous apportera un jus de baie de Goji
Beckett : Et bien je crois que j’ai une meilleure idée. [A tous en sortant sa plaque] Vous tous, 5min de pause.
Reggie : Oh, non, non, non, Kay Cappuccio n’a pas 5min à perdre.
Castle : Oui mais là on parle de 15 à 20 ans, mais ce jus de baie de Goji à l’air très bon.
[Salon : Kay, Castle, Beckett]
Kay Cappuccio : Bien sûr je connaissais Francisco, je l’ai engagé pour 2 semaines de dressage comportemental pour ma chienne. On reprend bientôt le tournage de l’émission et Lolita à quelque pointe d’agressivité que je voulais corriger.
Castle : Cette chienne si charmante, à vrai dire j’ai un peu de mal à le croire. [Approchant la main du chien et elle grogne en se jetant sur lui] Il vous a remboursé finalement, j’imagine.
Kay : Je ne l’ai pas payé. Il m’a rendu Lolita hier matin après seulement quelques jours. Il a dit qu’il ne voulait pas travailler avec moi. On a fini là, parce que j’ai des essayages, des présentations et plusieurs tapis rouge ou je dois me montrer.
Beckett : Et moi j’ai un témoin qui vous place sur le lieu du meurtre, alors asseyez-vous !
Kay : Ah, d’accord.
Beckett : Pourquoi êtes-vous allé voir Francisco après le concours hier soir ?
Kay : Je voulais qu’il m’explique pourquoi il ne voulait pas de Lolita.
Castle : Que vous a-t-il répondu ?
Kay : En fait, j’aimerais mieux ne pas aborder ce sujet-là.
Beckett : On a une vidéo ou on vous voit quitter la loge de Francisco à peu près à l’heure du meurtre, alors ne pas aborder ce sujet, n’est pas une option.
Kay : Très bien. Bon alors on n’a parlé de rien, parce que là, il était déjà mort.
Beckett : Vous avez trouvé le corps ?
Kay : Oui…
Beckett : Et vous n’avez pas appelé la police ?
Kay : Mais si je l’ai fait, dès que je suis entré dans la limousine. C’est pas grave n’est-ce pas ?
Beckett : Vous avez fui le lieu d’un crime Kay !
Kay : D’accord, est-ce que vous connaissez l’expression, rien ne vaut une mauvaise presse ? Seulement être prise en photo auprès d’un type mort, c’est la seule exception, je dois vraiment faire très attention à mon image. Mon image est tout ce que j’ai dans la vie.
Castle : Oui on en parlait justement !
Beckett : Quand Francisco vous a rapporté votre chienne hier matin, est-ce qu’il avait un comportement étrange ?
Kay : Oh, j’en sais rien, je l’ai pas vu. Il est venu pendant mon entrainement de 10h.
Phoebe : C’est moi qui est ouvert et j’ai récupéré Lolita, mais c’est vrai il avait l’air assez bizarre. Il répétait : « pour qui est-ce qu’elle travaille, je sais qu’elle travaille pour quelqu’un ». Il semblait vraiment parano.
Castle : Bon et s’avez-vous de quoi il voulait parler ?
Kay : Aucune idée. C’est pour ça que j’ai décidé d’aller le voir.
Beckett : Très bien, bon je crois qu’on a fini dans ce cas, pour l’instant, mais ne quitter pas la ville.
Kay : Oh comme si je pouvais aller quelque part. Je peux pas faire un seul pas sans qu’un million de personnes me prennent en photo !
[Au poste, bureau : Beckett, Castle, Ryan, Esposito et Lanie]
Beckett : [Marchant vers son bureau] C’est pas surprenant qu’une personne ne veuille pas faire des affaires avec Kay, mais pourquoi est-ce que Francisco pensait qu’elle travaillait pour quelqu’un ?
Castle : Surtout quand sa vie consiste à ne pas travailler. Et qu’est-ce qui pouvait le rendre aussi parano à propos d’elle ?
Ryan : Peut-être un truc à cacher. On dirait bien qu’il y a un peu de vrai dans ces rumeurs de pot de vin.
Esposito : J’ai épluché les finances de Francisco et ces comptes en banque, il a fait des dépôts en liquide l’année dernière, chacun d’un montant de 10mille dollars. Alors j’ai étudié les derniers concours qu’il a jugé, ce mec avait un faible pour les toquards.
Ryan : Comme le concours d’hier, sa cote à Vegas plafonnait à 50 contre 1. Un vrai corniot !
Castle : Euh mais ça n’a vraiment aucun sens. S’il touchait bien des pots de vin, pourquoi le tué ?
Ryan : Il voulait peut-être arrêter ?
Esposito : Ou plus de fric ?
Ryan : Son agenda indique des rdv hebdomadaire avec une thérapeute, le docteur Patty Barker. Ils avaient une séance le jour de sa mort, peut-être qu’elle arrivera à combler les blancs ?
Beckett : D’accord, amener la ici !
Lanie : [Arrivant avec Royal] Je vous amène un visiteur !
Castle : [Le caressant] Oh regarder qui est là. Tu es un bon chien !
Beckett : [Le caressant] Oh regarder le, il est adorable !
Lanie : Oui adorable, on a fait une recherche d’ADN dans sa gueule, mais je n’ai pas tellement d’espoir et même s’il y en avait avec toute cette bave, il y a longtemps que les traces on disparut.
Castle : Et, mais qu’est-ce qu’il va lui arriver à Royal ? Je veux dire Francisco n’avait pas de famille.
Lanie : Je n’ai pas eu le cœur d’appeler la fourrière.
Ryan : Une copine de Jenny dirige un refuge.
Castle : Ou alors, on pourrait le garder au poste, on aurait bien besoin d’une mascotte.
Esposito : Je croyais que vous étiez la nôtre ?
Castle : C’est… [Parlant au chien] Tu disais ? Va y répète, le sens de l’humour d’Esposito est proche du néant !
Esposito : Ça c’est…
Castle : [A Beckett] S’il vous plait !
Beckett : [Regardant le chien] D’accord très bien, mais seulement jusqu’à ce qu’on lui trouve un endroit convenable.
Lanie : T’as intérêt à trouver ce qu’il veut manger parce qu’il n’a pas touché à ce que je lui ai proposé.
Beckett : Il y a surement ce qu’il faut pour lui chez Francisco. Bon alors qui est prêt à y faire un tour ?
Esposito : Chercher de la bouffe pour chien ? Castle !
Castle : Ryan !
Ryan : Esposito !
Esposito : Euh…
Castle : Bien, on règle ça entre homme messieurs ?
Esposito : D’accord !
[Castle et Esposito fond « pierre » et Ryan fait « ciseaux » et perd]
Ryan : Deux sur trois ?
[Castle et Esposito fond « ciseaux » et Ryan fait « feuille » et perd]
Esposito : C’est couper !
[Salle des familles : Dr Patty Barker, Beckett et Castle]
Patty : Oh c’est mon patient depuis des années. Il vient me voir, chaque fois que ces voyages lui permettent de le faire.
Beckett : pour quel genre problème suivait-il une thérapie ? N’a-t-il jamais montré des signes de paranoïa ?
Patty : Non une légère période de dépression passagère qui a conduit à une faible estime de lui-même, puis ensuite à une boulimie et…
Castle : Des troubles alimentaires ? On n’imaginerait pas en le voyant.
Patty : Il se nourrirait de façon horrible. Il mangeait des restes provenant d’ordures ménagères, des oiseaux mort, ces excréments parfois aussi.
Castle : Oh euh, mais attendez, on ne parle pas de Francisco là, n’est-ce pas ?
Patty : Vous, vous pensiez que c’était de Francisco dont je m’occupais ? [Riant] Non, non, non, mon patient c’est Royal. Je suis thérapeute canin exclusivement. Pour moi soigner les êtres humains se serait complètement fou.
Castle : [Se moquant en riant] Des êtres humains, se serait vraiment dingue !
Beckett : Doc Barker… Mme Barker comment était Francisco lors du dernier rdv de Royal ?
Patty : Et bien en fait il l’a annulé.
Beckett : Il a dit pourquoi ?
Patty : Quelque chose c’était présenter subitement et il fallait qu’il parte quelque part en urgence.
Beckett : D’accord, c’est… très utile, vraiment.
Castle : [Regardant sa montre et se lève] Bon !
Beckett : Merci, on vous recontactera si on a besoin d’autre chose. [Partant vers la porte]
Patty : Comment va Royal ? C’est vrai qu’il était sur le lieu du crime et qu’il a été témoin du meurtre ?
Castle : Oui c’est ce que nous pensons.
Patty : Il pourrait avoir vu certaine chose. Des choses qu’il essai de communiquer à propos du crime. Si vous me laissez le voir, je peux essayer de savoir qu’elles sont ces choses.
Castle : [Tout bas] Francisco avait toute confiance en elle, on pourrait lui accorder quelques minutes.
Beckett : [Tout bas] De votre temps, bien sûr !
Castle : Je vais le chercher !
Patty : D’accord !
Beckett : [Répondant au téléphone] Beckett !
Ryan : J’ai trouvé assez de nourriture pour que Royal soit gros et heureux un bon moment. J’ai trouvé également un truc intéressant, un détecteur de micro espion et il a l’air ressent.
Beckett : Pour repérer des dispositifs d’écoute.
Ryan : Hum, hum. Parano ou pas, Francisco pensait être sous surveillance !
[Devant le tableau : Beckett et Esposito]
Beckett : Francisco pensait qu’il était espionné. Ça on le sait et à peu près vers 11h hier matin il s’éclipse. Ce qui correspond à l’heure ou l’assistante de Kay dit qu’il avait l’air parano.
Esposito : Et quelques heures plus tard, il meurt.
Beckett : Alors ou est-il allé entre-temps ?
Esposito : Vous savez son portable est enregistré comme pièce à conviction. Avec son GPS on sera peut-être ou il était exactement.
[Salle des familles : Patty, Castle]
Patty : [Parlant à Royal] Oui c’est vrai, je sais, oh je sais ce que tu ressens. [S’installant par terre et s’adressant à Castle] Ce chien est complètement traumatiser. Comment était-il quand vous l’avez trouvé ?
Castle : Il grattait le sol près du corps de son maitre. D’après l’organisateur du concours, c’était pour faire son deuil.
Patty : [Au chien] Royal, Royal regarde bien ce que je fais. [Grattant le sol et le chien reste prostré aux sols] C’est bien, oui ça je le sais. [A Castle] Il essayait de dire quelque chose, une chose vraiment importante.
Castle : Vraiment ? Vous pouvez le dire d’après…
Patty : Royal, regarde-moi, je sais, je sais que tu souffres. Tu es bouleversé. Tu as l’impression d’être abandonné, oh… [A Castle] Il y a une grande remise en question à faire, ça risque de prendre un peu de temps, je pense !
Castle : Euh, dite-moi, est-ce que Francisco vous a déjà observé pendant vos séances ?
Patty : Non, il attendait à l’extérieur, pourquoi ?
Castle : Oh pour rien !
[Devant un entrepôt : Esposito, Beckett et Jack Patterson]
[Beckett et Esposito sortent de la voiture]
Esposito : D’après son téléphone, c’est ici que Francisco est venu hier, avant le concours canin. Peut-être pour retrouver les types avec qui il magouillait ?
Beckett : Il pouvait pas le faire par téléphone ?
Esposito : Pas s’il était espionner ! [Beckett essai d’ouvrir la porte, mais elle est verrouillée] Et… vous vous rappeler ce que Francisco avait dans sa poche ? [Sortant une carte magnétique, la passant dans le lecteur ce qui déverrouille la porte]
[Ils entrent et avance dans l’entrepôt avec leur lampe de poche]
Esposito : C’est quoi cet endroit ?
Beckett : On dirait une sorte de chenil.
Esposito : Oui il y a… des cages, mais où sont les… [Des grognements de chiens se font entendre derrière eux, ils se retournent] Des bergers Allemands ! [La peur s’installe] Ecouter un de mes copains en avait un, ils sentent si on a peur. Ne reculez pas, quoi que vous fassiez, surtout… [Les chiens attaquent] courez !
[Les chiens les suivent, ils courent vite, Beckett hurle]
Esposito : Courez ! [Beckett hurle] Plus vite ! [Ils s’arrêtent et les chiens aussi, un homme arrive]
Jack Patterson : Qu’est-ce que vous faite dans mon entrepôt ?
Beckett : [Montrant sa plaque] Lieutenant Beckett et Esposito, on est de la police !
Jack : Vous avez un mandat ?
Esposito : Qui êtes-vous ?
Jack : Jack Paterson, je bosse pour Francisco Pilar. Enfin je bossais. Qu’est-ce que vous voulez ?
Beckett : On vient enquêter sur son meurtre. C’est quoi ça ? Qu’est-ce qui se passe ici ?
[Arrivant dans une autre partie de l’entrepôt]
Jack : Francisco élevait une nouvelle race de chien hybride. Le Pilar Retriever, je dirigeais l’opération quand il voyageait. C’est une vraie tragédie. Il a passé toute sa vie à créer cette race de chien, il était quasiment près à la dévoiler.
Beckett : Et vous connaissiez bien Francisco ?
Esposito : Il avait peut-être la passion du jeu ? Peut-être qu’il a touché des pots de vin avec les mauvaises personnes ?
Jack : Francisco n’avait qu’une seule passion, son boulot et rien d’autre et c’était un boulot vraiment honnête.
Esposito : Le truc c’est que Francisco a fait un paquet de dépôt très important sur son compte.
Jack : Laissez-moi deviner, 10 mille dollars à chaque fois ? Il y avait eu des fuites sur le Pilar Retriever. Des gens arrêter Francisco dans les concours et lui donnait des espèces pour réserver l’un des premiers chiots qui allait naitre.
Beckett : Vous savez pourquoi il s’est précipité ici hier ?
Jack : Oui je le sais. Il a fait le tour du bâtiment avec un détecteur de mouchard.
Beckett : Pourquoi quelqu’un voudrait mettre un chenil sous surveillance ?
Esposito : Aucune idée !
Jack : Ces méthodes d’élevage et de dressage était gardé secrète et les autres éleveurs professionnels commençaient à être vraiment nerveux.
Beckett : Quelqu’un en particulier ?
Jack : Sur le coup je trouvais ça dingue, mais il pensait qu’un client dont il dressait le chien bossait avec des gens essayant d’infiltrer notre opération.
Beckett : Et est-ce qu’il a nommé ce client ?
[Poste, devant le tableau : Castle, Beckett et Ryan]
Castle : Kay Cappuccio ? Pourquoi voudrait-elle lui volé ses petits secrets ?
Beckett : On n’est pas sûr du tout qu’elle l’ait fait. En fait on ne sait pas vraiment s’il était espionné par qui que ce soit.
Ryan : Bah maintenant on le sait. Son détecteur de micro à une mémoire et il repéré un système d’écoute hier matin.
Castle : Et on sait qu’il est allé chez Kay à ce moment-là et qu’il demandé pour qui elle travaillait. Ça n’est sans doute pas une coïncidence si ça c’est passer le jour même où on l’a tué.
Beckett : J’ai le sentiment que Kay Cappuccio en sait nettement plus qu’elle ne le dit. On va devoir lui reparler et cette fois c’est elle qui va venir à nous.
[Poste, couloir : Beckett]
[Kay sort de l’ascenseur avec son manageur et toute son équipe à ses trousses]
Beckett : Par-là Melle Cappuccio ! [Lui indiquant la salle d’interrogation et arrêtant les autres] Rien qu’elle !
[Castle tient Royal qui jappe]
[Lorsque Kay passe à côté du bureau de Ryan le détecteur de micro se déclenche]
[Salle d’interrogation : Beckett, Kay et Ryan]
Beckett : Je ne regarde pas la télé-réalité Melle Cappuccio, vous voulez savoir pourquoi ?
Kay : [Lolita grogne] Un petit bisou, oh oui !
Beckett : [Reprenant après un regard ahuri] Parce que je ne trouve pas que tout ce qu’on voit à l’air vrai. Et je n’aime pas les choses ou les gens qui présentent la fiction comme la réalité. En fait je trouve que c’est une belle perte de temps.
Kay : D’accord, c’est pour ça que vous m’avez fait venir ici, pour insulter mon émission ?
Beckett : Il ne s’agit pas de votre émission, je veux vraiment savoir ce qui c’est passer avec Francisco. Cette fois, la vérité !
Kay : Je vous ai dit la vérité.
Beckett : Selon votre assistante, Francisco voulait à tout prix savoir pour qui vous travaillez. Qu’est-ce que ça veut dire ?
Kay : Ca j’en sais rien, je vous l’ai déjà dit.
Castle : Vraiment ? Vous ne saviez pas qu’il venait de monter un élevage, que ces nombreux concurrents mourraient d’envie de percer à jours. Est-ce que l’expression « espionnage industriel » signifie quelque chose pour vous ?
Kay : Non ! [Ils l’observent] Non sérieusement, je sais pas ce que ça veut dire!
Ryan : [Entrant] Euh, je pourrais… vous voir une petite seconde ?
[Salle d’observation : Ryan, Beckett, Castle, Esposito et Kay]
Ryan : Le détecteur vient de s’allumer.
Beckett : Quoi ?
Ryan : Le détecteur de micro était sur mon bureau, quand elle est passée, il s’est déclenché.
Castle : Vous croyez qu’elle porte un micro ?
Esposito : Regarder cette robe, ou est-ce qu’elle pourrait le mettre ?
Castle : Et bien en étant un peu créatif, je crois [Se tournant vers Beckett qui lui lance un regard noir] que c’est sans importance.
Ryan : On est allé au labo pour isoler la fréquence sur lequel le micro transmettait et on a fini par, par tomber sur… [Bégayant]
Esposito : Montre-leur !
[Ryan met une vidéo en marche et on voit les seins de Kay en gros plan]
Kay [Parlant à son chien dans la salle d’interrogation] Oh mon bébé, maman va bientôt te ramener à la maison.
Beckett : Des seins, bon et après ?
Esposito : Pas les seins de n’importe qui, les siens ! [Indiquant Kay]
Castle : C’est dans le collier. [Regardant la vidéo] Il y a une caméra dans l’une des pierres du collier de Lolita. Cette chienne l’a suit toujours partout, c’est bien ça ?
Esposito : Hum, hum !
Beckett : Ce qui veut dire que Francisco ne devait pas être la personne qui était en réalité sous surveillance.
Castle : Non, c’est Kay Cappuccio, on dirait !
[Salle vidéo : Kay, Castle, Beckett, Esposito et Ryan]
Kay : [Regardant la vidéo en direct] J’arrive pas à croire que quelqu’un me surveille de cette manière.
Castle : Melle Cappuccio, quand vous dites que votre chienne est avec vous en permanence…
Kay : Oh mon dieu… il a pu me voir sous la douche, il a pu me voir avec Reggie au lit, il a pu me voir sans maquillage le matin. Je me sens comme violer !
Beckett : Les paparazzis sont… agressifs, mais piéger un collier de chien c’est se donner beaucoup de mal juste pour avoir une célébrité en vidéo.
Kay : Oh on ne parle pas du tout d’une quelque conque célébrité en vidéo. Je veux dire on m’a déjà offert 1 million de dollars pour poser nu pour un grand magazine.
Esposito : Selon moi, c’est un prix encore trop bas.
Kay : Oh vous êtes trop gentil ! [Esposito sourit bêtement]
Ryan : Euh, 1 million de dollars c’est une super motivation je trouve.
Kay : Oui !
Beckett : Quand avez-vous eu ce collier ?
Kay : Euh, il y a quelque semaine environ.
Castle : La caméra a dû être installée depuis, ce qui signifie qu’ils ont dû avoir accès à votre chienne.
Kay : Lolita n’est pratiquement jamais très loin de moi, sauf quand elle va faire sa promenade ou qu’elle est chez le toiletteur.
Beckett : Il va nous falloir très rapidement les noms de tous les gens que vous employez. On va devoir éplucher leur antécédent.
Castle : Et on devra laisser la caméra collier en marche pour que ceux qui ont mijoté ça ne sache pas qu’on est sur leur piste.
Beckett : Donc vous ne devez surtout pas changer vos habitudes.
Castle : Essayer de garder votre moment privé… plutôt privé !
Esposito : Oui !
[Devant le tableau blanc : Beckett, Castle et Esposito]
Beckett : Si Kay était véritablement la cible de la surveillance, qu’est-ce tout ça à avoir avec le meurtre de Francisco ?
Castle : Et bien peut-être que… Francisco découvre la caméra dans le collier, il va rendre la chienne à Kay, mais il n’a pas l’occasion de la voir et de s’expliquer avec elle, mais la personne qui la surveille en espérant la voir nu entend Kay dire qu’elle a l’intention de parler à Francisco après le concours.
Beckett : Alors ils l’ont tué pour l’empêcher de parler ?
Esposito : Les paparazzis n’ont pas de limite, chacun de ces vautours serait prêt à tuer pour se faire un paquet de fric.
Beckett : Donc si on arrive a trouvé qui a piégé ce collier, on arrivera peut-être à trouver notre tueur.
Castle : On pourrait passer en revue les dernières photos de Kay publier dans les tabloïdes, sur les sites web à scandale et voir si elle peut identifier celle étant prise avec la caméra collier.
Beckett : On aura peut-être une piste qui nous mènera tout droit au coupable. On doit trouver quelqu’un pour inspecter toutes ces photos.
Esposito : Je m’en occupe !
Castle : Alors ça y est, vous êtes complétement subjugué, Esposito !
Esposito : [Riant] Quoi ?
Beckett : Tu sais qu’elle a déjà un petit ami ?
Esposito : Qui ça, Reggie ? [Castle acquise] C’était qu’un minable danseur dans sa vidéo de fitness, c’est vrai, je sais même pas ce qu’elle fait encore avec ce type. Bon… [Partant] je vois pas pourquoi je discute avec vous.
[Beckett rie aux éclats]
Castle : [Voyant Royal regarder pas la vitre de la glace] Oh … on dirait qu’Esposito n’est pas le seul ici à avoir des yeux de chien battu. Qui l’a enfermé là-dedans ?
Beckett : Oui fallait qu’il dorme, mais il peut pas passer la nuit ici.
Castle : Je pourrais l’emmener chez moi, Alexis est partie pour le week-end ça me ferait un petit peu de compagnie.
Beckett : Ou alors je pourrais l’emmener chez moi. En fait, je pensais justement me prendre un chien ça pourrait être l’occasion de voir ce que ça donne.
Castle : [Déçu] Oh… bon très bien vous pouvez le prendre dans ce cas.
Beckett : Oh mais je veux pas que vous vous sentier seul.
Castle : On peut le faire à pile ou face ?
Beckett : Pas à, pierre feuille ciseaux ?
Castle : A vrai dire pour vous se serait un vrai désavantage, vu que je suis très doué à ce jeu.
Beckett : C’est bon Castle, allons-y !
Castle : Très bien ! Sachez qu’il y a certaine stratégie dans ce jeu qu’il est utile de… [Beckett fait ciseaux et coupe la feuille de Castle] Deux sur trois ?
Beckett : Hum !
[Beckett fait pierre et casse les ciseaux de Castle]
Castle : 3 sur 5 ?
Beckett : Bien sûr ! [Castle perd à nouveau] il y a un autre moyen de mettre tout le monde d’accord !
[Appartement de Beckett : Beckett et Castle]
[Castle arrive avec Royal et le laisse entrer sans même enlever la laisse. Castle rie en entrant à son tour]
Beckett : Normalement vous deviez être là il y a une heure. C’est une garde partagé, pas une garde débouler quand vous voulez, Castle !
Castle : Oui je pensais avoir toutes ces affaires, mais à la dernière minute je ne trouvais pas monsieur Squiky. Pas la peine de le nourrir il a mangé la cote de bœuf que j’avais du mal à finir.
Beckett : Vous lui avez donné de la viande ?
Castle : Et on a fait un peu d’exercice, on a joué à va chercher la balle dans le couloir après on a regardé « le Chiwawa de Beverly-Hills ». Ce chien est très câlin !
Beckett : Vous l’avez certainement monté sur le canapé, hein ?
Castle : Euh…
Beckett : Ca fait rien, vous pouvez être le plus sympa et moi la rabat joie, [Parlant à Royal] parce qu’il est hors de question que tu laisses tes poils sur mon canapé.
Castle : Oh non il est vraiment ravi d’être ici et il adore si vous le caresser longuement entre les yeux en faisant des cercles avec votre pouce [Prenant la main de Beckett pour lui faire la démonstration] comme ça pas trop fort, juste … [Ils se regardent intensément pendant qu’il continu sa caresse]
Beckett : Castle ! [Il arrête précipitamment]
Castle : Des cercles… avec votre… j’y vais… amusez-vous bien, hein. Et t’ennui pas trop de moi, le chien hein pas vous ! [Sortant de l’appartement en riant]
[Beckett s’assoie sur le canapé et Royal l’a regarde désespérer]
Beckett : D’accord c’est bon, allez vient ! [Royal accoure vers elle, monte sur le canapé et lui lèche le visage tout content] [Elle rit] T’es un gentil chien !
[Poste, salle vidéo : Kay et Esposito]
Kay : J’aurais jamais pensé dire ça un jour, mais j’en ai marre de me regarder. Je peux pas imaginer ce que vous pouvez ressentir.
Esposito : Oh ne vous en fait pas pour moi. On reprend ? [Montrant des photos] Celle-ci ?
Kay : Hum… ça c’est ce que je portais jeudi, ce qui veut dire que Lolita était chez le toiletteur donc non, c’est pas son collier qui a pris cette photo.
Esposito : J’en reviens pas que vous puissiez identifier un jour de l’année d’après ce que vous portiez.
Kay : Et d’après les gens je n’ai pas de talent.
Esposito : Oh n’écouter pas tous ces jaloux, combien de ces personnes ont leur propre ligne de cosmétique, hein ? Et celle-ci ?
Kay : Non. Oh je me souviens de ça, il y avait cet horrible photographe qui m’espionnait entre deux voitures. Oh c’est dépriment…
Esposito : Ne vous inquiétez pas on l’aura !
Kay : Non je veux dire ma vie c’est… du shopping, des fêtes et encore plus de shopping. C’est déjà assez malsain pour que des gens se batte pour me prendre en photo en train de faire toutes ces choses idiotes, mais … vous pensez que Francisco a vraiment été tué à cause de ça ?
Esposito : Si c’est le cas, ce n’est pas votre faute.
Kay : Il avait une famille ?
Esposito : Euh, non. Il avait seulement son chien.
Kay : Oh alors on n’était pas si différent.
Esposito : Mais de quoi vous parlez. Vous vous avez Reggie, Phoebe et tous vos amis ! Regarder ces photos, vous n’êtes jamais seule !
Kay : [Tristement] Les photos sont parfois assez trompeuses.
Esposito : On continue !
Kay : Attendez ! Celle-là !
Esposito : Celle-là ? Elle a été prise en hauteur !
Kay : Non, non, ça c’était la semaine dernière. C’est le jour ou Lolita c’est échapper et est monté sur cette colline. Et c’est l’endroit exact où elle c’était mise.
Esposito : Tout ce que j’ai à faire c’est appeler Celebrity Report et il devrait nous conduire à …
[Devant le tableau blanc : Esposito, Castle et Beckett]
Esposito : [Posant la photo sur le tableau] Marcus Hiatt, toutes les photos prise grâce à la caméra collier nous ont mené à lui.
Castle : Il était devant chez Kay avec la meute de paparazzi.
Esposito : C’est une pourriture de la pire espèce, harcèlement, effraction, violation de domicile. Il semble que ce gars ne reculait devant rien pour avoir une image choc et il avait l’opportunité pour le meurtre parce qu’il avait une accréditation pour ce concours.
Beckett : Je me demande ou il peut-être maintenant !
[Dans la rue, devant un immeuble :]
[Esposito toque à la fenêtre de la voiture de Marcus. Beckett entre par la porte passagère et lui prend le récepteur de la caméra des mains]
Beckett : Donnez-moi ça !
Castle : [Regardant Kay faire du sport] Qu’elle genre de bouquet télé avez-vous souscrit ? Parce que moi cette chaine, je ne l’ai pas !
[Esposito sort Marcus de la voiture et le menotte]
[Poste, salle d’interrogation : Beckett, Esposito, Castle et Marcus]
Beckett : [Lui montrant une photo] Vous reconnaissez votre œuvre Marcus ?
Esposito : Kay Cappuccio l’a fait, ainsi que ce tabloïde auquel tu l’as vendu.
Beckett : Comment avez-vous eu accès à sa chienne ? Vous avez payé quelqu’un ?
Marcus : Et vous êtes à côté de la plaque là, ok, c’est pas ce que vous croyez !
Esposito : Non, moi je crois que si tu savais que Francisco allait voir Kay à propos du collier, elle aurait foncé au FBI et t’aurait vu ton monde s’effondrer en moins de deux.
Marcus : J’ai pas tué ce Francisco déjà et j’ai pas piéger ce collier non plus.
Beckett : Marcus on vous a…
Castle : [A Royal dans la salle d’observation] Alors qu’est-ce que t’en penses toi, hein ? Qu’est-ce que t’en penses ? Marcus est un type bien ? Au non c’est pas un type bien, c’est un méchant garçon !
Marcus : …Je pourrais peut-être trouver des photos ou elle serrait à poil, mais là d’un seul coup je tombe sur ce signal vidéo. Kay Cappuccio qui laisse tomber sont peignoir par terre pour aller prendre une douche. Je sais que les gens dire qu’elle n’a aucun talent, mais croyez-moi cette fille à plus de talent que toute une…
Esposito : Hey… surveille tes paroles.
Beckett : Vous espérez nous faite gober que vous avez accidentellement capté ce signal vidéo ?
Marcus : Et, je sais pas d’où ça venait, mais franchement j’en n’avait rien à cirer. J’avais trouvé une énorme mine d’or, seulement j’avais rien pour enregistré au départ alors j’ai été me cherché du matos, mais ils ont envoyé la chienne chez ce dresseur dans l’après-midi.
Beckett : Et bien c’est une très belle histoire, Marcus !
Marcus : Ecouter, si vous voulez trouver qui a tué ce type, trouver qui faisait du business avec lui et je ne suis pas en train de parler de son jolie petit businesse de dressage.
Beckett : De quoi êtes-vous en train de parler ?
Marcus : Je suis retourné là-bas pour vérifier le signal, je pensais que je pourrais découvrir quand la chienne allait revenir chez Kay. J’ai entendu ce Francisco dire des trucs suspect, oui il faisait des trucs pas clair, c’était évident.
Esposito : Sérieusement, t’es assis là et t’oses dire qu’un autre mec était pas clair ?
Marcus : Ecoutez-moi bien d’accord, ce gars passait son temps à parler de chargement provenant d’Argentine qui allait passer la douane. De valeur marchande.
[Bureau des gars : Castle, Ryan, Beckett et Esposito]
Castle : De la drogue ?
Ryan : Ca correspondrait à ses déplacements, en plus de ses voyages à l’étranger, il a pris des tas de vol pour Boston, la nouvelle Orléans, Seattle, long Beach, Miami…
Castle : Des villes portuaires !
Ryan : Exact !
Beckett : Des voyages à l’étranger en tant que juge de concours canin c’est parfait comme couverture.
Castle : Notre dresseur de chien était en plus une mule. Normal qu’il soit si parano à propos d’une mise sur écoute.
Beckett : Cet entrepôt isolé qu’on a visité ?
Esposito : Pour l’élevage de chien, mes fesses !
[Salle d’interrogation : Beckett, Jack Patterson et Castle]
Beckett : Le Pilar Retriever ?
Jack Patterson : Une belle histoire, n’est-ce pas ? Et je devais vous faire partir !
Beckett : Mr Patterson je ne crois pas que vous compreniez à quel point c’est sérieux. On est sur le point d’obtenir un mandat. On va fouiller cet entrepôt en inspectant chaque millimètre.
Castle : Et on a une petite idée de ce qu’on va trouver à l’intérieur.
Jack : Je vais vous dire tout de suite ce que vous trouverez. Des valises avec des doubles fonds pour passer de la drogue en entrant dans le pays. Au moins 2kilos d’héroïne pur d’Argentine et les meilleurs chiens renifleur de drogue qu’on puisse avoir. Je m’appelle pas Jack Patterson, Kenny Weizer, je suis agent des douanes. Vous auriez du café ?
[Poste, salle de repos : Beckett, Kenny Weizer et Castle]
Beckett : Donc Francisco dressait des chiens renifleurs de drogue.
Kenny Weizer : Ces méthodes étaient surprenantes. Il gérait le déploiement dès qu’on pensait qu’un chargement arrivait.
Castle : Ce qui explique tous ces déplacements dans ces villes portuaires et les payements et les secrets.
Kenny Weizer : Oui désolé de vous avoir mené en bateau à l’entrepôt, mais quand on a affaire au cartel on n‘est jamais trop prudent.
Beckett : C’est pour ça que vous avez parlé de Kay Cappuccio alors, vous pensiez qu’elle avait mis Francisco sur écoute ?
Kenny Weizer : Oui on pouvait pas lancer la moindre enquête sans mettre en péril toute l’opération Vasquez, alors je vous ai filler un nom pour voir ce que ça donnerait.
Beckett : Les Vasquez, ceux d’Argentine c’est ça ? [Kenny acquiesce] C’est une énorme famille de trafiquant d’héroïne.
Castle : Agent Weizer que fond les chiens dressés par Francisco quand il repère de la drogue ?
Kenny Weizer : Il se mette à gratter le sol, pourquoi ?
Castle : Parce que c’est ce que Royal faisait. La thérapeute pour chien avait raison, il voulait nous dire un truc important, il a senti de la drogue sur le tueur.
Kenny Weizer : C’est assez logique, les Vasquez avaient beaucoup à gagner avec Francisco mort. Son programme leurs coutaient une petite fortune en cargaison intercepté.
Beckett : C’est pour ça qu’il voulait surveiller Francisco, afin de savoir comment procédait les douanes.
Castle : Mais une fois que Francisco c’est rendu compte qu’il était surveillé, ils ont su qu’il était après eux.
Kenny Weizer : Et ils ont envoyés quelqu’un le supprimer. Probablement la même personne qui a mis cette caméra sur le collier de la chienne.
[Bureau de Beckett : Castle, Beckett, Ryan et Esposito]
Castle : [Marquant en même temps sur le tableau blanc] Celui qui a piégé le collier de Lolita devait avoir 3 choses. Premièrement, un accès à la chienne, deuxièmement, savoir que Francisco allait dresser cette chienne, troisièmement, avoir des relations avec la famille Vasquez. L’intersection de ces 3 cercles contient l’identité de notre tueur. [Royal gratte par terre] Regarder il le fait encore !
Beckett : Oui, mais j’ai pas d’héroïne sur moi Castle !
Castle : Pourquoi réagirait-il comme ça si… Beckett vous portez du parfum ? Oh et juste pour info j’aime beaucoup « Fracas » !
Beckett : Arrêter de flatter votre égo démesurer. J’ai seulement testé cet échantillon qui était dans le coffret cadeau que Kay a envoyé.
Castle : Pourquoi il serait-il sensible ?
Beckett : [Lisant la composition du parfum] Parce que le principal ingrédient est l’essence de pavot des Flandres.
Esposito : L’héroïne vient de la morphine issue des capsules de pavot à opium.
Castle : Alors peut-être que sur le lieu du crime, il n’a pas gratté le sol à cause de la drogue, mais à cause de l’essence de ce parfum.
Beckett : Oui, mais ce parfum n’est pas encore commercialisé alors qui pourrait le porter ?
Castle : Une seule et unique personne !
Esposito : Pas Kay !
Castle : Elle se trouvait sur place.
Esposito : Castle on ne parle pas de paparazzi et de célébrité, on parle d’une bande de trafiquant de drogue.
Castle : D’accord bien, rappelons-nous ce qu’on chercher. Premièrement avoir accès à Lolita, gagné. Deuxièmement savoir que Francisco entrainait la chienne, gagné. La seule chose qui nous manque c’est un lien avec le cartel.
Ryan : En fait, là je pense avoir notre lien. Kay Cappuccio a tourné une pub en Argentine il y a 6mois de ça.
Esposito : Et alors, l’Argentine est un grand pays non ? Pour moi ça veut pas dire qu’elle soit liée au Vasquez.
Ryan : Mais ça oui. Elle a séjournée dans la propriété de Junior Vasquez, le 1er lieutenant du Cartel.
Beckett : Kay est notre tueur !
[Castle écrit Kay en plein milieu du tableau et le souligne]
[Salle d’interrogation : Kay, Castle, Beckett, Ryan et Esposito]
[Tous regarde la vidéo de Kay au défiler du concours canin]
Kay [A l’écran] Je veux juste vous dire que je salut tous mes fans qui regardent. Toi, aussi dit bonjour Lolita et je vous rappelle aussi que dans moins d’un mois mon nouveau parfum sera en vente. Kay Cappuccio lance « désir coupable », fait en sorte que son désir le culpabilise ! [S’aspergeant de parfum]
Castle : [Eteignant la vidéo] Désir coupable ou juste coupable ?
Kay : Qu’est-ce que cette vidéo à avoir avec votre enquête ?
Beckett : C’était environ 15min avant que vous passiez voir Francisco Pilar dans sa loge.
Kay : Et alors ?
Beckett : Et alors on a de bonne raison de penser que notre tueur portait votre parfum.
Kay : Et bien c’est totalement impossible parce qu’il n’est même pas encore en vente. Je suis la seule à l’avoir.
[Dans la salle d’observation]
Ryan : Elle se rend compte qu’elle vient de s’incriminer toute seule ?
Esposito : Elle est très sympa, mais elle n’est peut-être pas très maligne.
Agent de police : L’agent Weiser des douanes pour le lieutenant Esposito.
Esposito : Merci.
Ryan : Qu’est-ce qu’il te veut ?
Esposito : Je lui ai demandé de m’appeler s’il trouvait une preuve que Kay Cappuccio et le clan Vasquez était vraiment lié.
[Bureau des gars : Reggie et Esposito]
[Esposito marche vers son bureau]
Reggie : [L’interpellant] Salut vous savez si ça va durer longtemps ? On a un mec de Vanity Fair qui passe chez nous tout à l’heure. Elle va faire la couverture.
Esposito : Ah, je sais pas vraiment, mais bonne chance quand même. [S’asseyant à son bureau et prenant l’appel] Esposito !
[Salle d’interrogation : Beckett, Kay, Esposito et Castle]
Beckett : Quelles sont vos relations avec Junior Vasquez ?
Kay : Junior ? Il est génial, c’est vraiment un ange. Mon émission est diffusée en Argentine et Junior est l’un de mes fans.
Beckett : Vous savez que la famille Vasquez est le 1er fournisseur d’héroïne pur de toute l’Amérique du sud ?
Kay : Quoi ? Oh mais non, je vous jure que je le savais pas.
Esposito [Rentre et chuchote à l’oreille de Beckett] Je viens d’avoir une info très intéressante !
Beckett : Excusez-moi ! Je reviens tout de suite ! [Se levant et sortant de la pièce avec Esposito]
Kay : Oh c’est un cauchemar, héroïne, meurtre, j’aimerais ne jamais avoir entendu parler de Francisco.
Castle : Kay comment avez-vous entendu parler de lui ?
Kay : Reggie, il a lu un truc sur lui dans un magazine. Je crois bien qu’il a dit que c’était le meilleur et il a insisté pour que je l’appel.
Castle : C’est Reggie qui a eu l’idée d’envoyer Lolita chez Francisco pour un dressage ?
Kay : Oui !
[Castle remet la vidéo de Kay en lecture au moment où Kay envoie du parfum et se rend compte que Reggie en a reçu aussi]
[Bureau au poste : Beckett, Castle et Esposito]
Beckett : T’en ai bien sûr ?
Esposito : Affirmatif, il y a bien un lien entre Kay et la famille Vasquez, c’est vrai, c’est Reggie. Il est allé à l’école avec l’un des enfants Vasquez. C’est lui qui est lié à eux, pas Kay. [Interpellant un agent de police et lui chuchote] Et rend moi un petit service, tu vois le gars qui boit un café ?
[Reggie regarde dans la direction d’Esposito et s’enfuit en courant en essayant de sortir de l’étage, au détour d’un couloir il se retrouve bloquer par Castle et Royal qui lui aboie dessus]
Castle : [A Royal] Attrape le Royal ! [Défaisant sa laisse]
[Royal se lance à la poursuite de Reggie quand celui-ci essai de partir]
[Esposito le choppe et une bagarre éclate. Esposito le balance à terre et le menotte]
[Royal puis Lolita lui aboie dessus]
[Bureau de Beckett : Beckett, Castle, Kay et Esposito]
Beckett : [Arrivant pendant que Castle caresse Royal] Il a fait des aveux complets. Les Vasquez ont commencés à soupçonner Francisco de dresser des chiens pour les douanes et quand Kay a eu besoin d’un dresseur pour sa chienne, Reggie l’a dirigé vers Francisco et à piéger le collier de Lolita.
Castle : Mais Francisco l’a découvert et Reggie a paniqué. Il pensait devoir protéger le cartel.
Beckett : Oui et Reggie voulait rester proche du cartel. Il savait que son temps à vivre au crochet de Kay était quasiment fini en dépit des rumeurs disant qu’il allait bientôt se marier.
Castle : Houla, attendez une minute, les tabloïdes avaient tords ?
Beckett : Oui, hum… j’avais également tords à propos d’un truc. Je crois qu’avoir une mascotte au poste serait vraiment très utile.
Castle : Je pensais que pour ce soir vous pourriez l’emmener chez vous et moi je passerais le prendre à peu près vers 21h30.
Beckett : Oh franchement Castle, toute cette histoire de garde partager, je sais pas si à long terme c’est une bonne solution.
Castle : Alors quoi, des nuits alternés ? Les semaines et les week-ends ?
Beckett : Oh non, je crois que ça ne ferait que l’embrouiller.
Castle : Il a déjà eu sa dose de thérapie.
Beckett : Je crois qu’il lui faut un seul foyer.
Castle : Oh je sais où ça nous mène. [Se préparant à Pierre-Papier-Ciseaux]
Beckett : Ah non. Non, non, non, non, pas de cette façon.
Castle : Vous avez une meilleure idée ?
Beckett : On devrait laisser Royal décider. On va chacun d’un côté de la pièce et on voit lequel il choisit, c’est tout.
Castle : Ça marche ! [Se levant] Allons-y ! [A Royal] Assis, assis, bon chien, reste là ! Reste là ! Très bien ! [S’agenouillant]
Beckett : Prêt ?
Castle : Prêt ! Allez vient me voir !
Beckett : Aller vient par-là Royal !
Castle : Vient là Royal !
Beckett : Vient vite, vient par ici !
Castle : C’est un choix difficile mais…
Beckett : Qui t’aime beaucoup Royal ?
Castle : Je sais que tu prendras la bonne décision.
Beckett : Approche, mon canapé est super confortable.
Castle : Allez Royal…
Beckett : Vient, vient là Royal…
Castle : Tu sais au fond de toi…
Beckett : Allez Royal. Tu es un bon chien, vient là…
Castle : Les mecs sont plus sympa…
Beckett : Vient par ici…
Castle : Les mecs…
[Royal accoure vers Kay]
Kay : On dirait qu’il a fait son choix et c’est moi. Oh tu as vraiment très bon gout Royal. T’es un bon chien et tu as bon gout hein Royal ?
Beckett : [Les rejoignant] Vous êtes sur de vouloir le prendre ?
Castle : On peut peut-être faire un 2/3
Kay : Oh Lolita et moi on a besoin d’un homme fort à la maison. En particulier un qui soit aussi loyal que celui-là. Royal tu es officiellement un Cappuccio, maintenant. Et vous lieutenant, vous avez été tellement gentil.
Esposito : [Riant faussement embarrasser] Ecouter je sais que les paparazzis peuvent être très vicieux parfois, alors si vous avez besoin de quelque chose, je veux dire de quoi que ce soit. Vous n’avez qu’à m’appeler.
Kay : On sait jamais, peut-être qu’un jour je le ferais ! [L’embrassant sur la joue]
Beckett : Bon et bien c’est sans doute ce qu’il y a de mieux. Chez moi ce serait moins bien, il aurait pas de copain de jeu.
Castle : Ouais, chez moi non plus et ils ont l’air de bien s’entendre !
[Les chiens se reniflent la truffe]
[Loft des Castle : Castle et Alexis]
Castle : Oh te voilà mon ange. C’était bien ton voyage ?
Alexis : Oui c’était bien, je t’ai manqué ?
Castle : Oh ça il y a pas de doute, mais j’ai réussi à prendre du bon temps sans toi. Avec mon nouvel ami, Royal le chien !
Alexis : Tu as un chien ?
Castle : Non, mais ce week-end je me suis occupé de lui et ça m’a fait réfléchir. Toutes ces fois quand tu étais petite ou tu m’as supplié d’avoir un chien et que j’ai refusé parce que…
Alexis : Tu disais que ce serait toi qui devrais le nourrir en fin de compte. Et que c’était déjà assez dur de penser à me nourrir chaque jour.
Castle : Voilà… Je me souvenais pas de la dernière partie ?
Alexis : C’était implicite, pas tant que ça !
Castle : Quoi qu’il en soit, je veux me rattraper. Je veux que tu ais un chien, le tout est de savoir quel genre de chien ? Comment va-t-on l’appeler ? Dans quelle chambre il va aller dormir ?
Alexis : Oh, oh, oh du calme. Je pars bientôt à l’université, tu te souviens, on ne peut pas avoir de chien dans sa chambre ?
Castle : C’est vrai. Hum, d’accord dans ce cas je m’occuperais de lui et tu viendras le voir quand tu pourras.
Alexis : Donc ce chien que tu veux avoir, tu sais, pour moi. Ce serait pas une ruse pour me faire revenir à la maison plus souvent, hum ?
Castle : N’essaie pas d’être plus maligne que moi. Je t’ai enseigné l’art de l’implicite, jeune fille.
Alexis : T’en fait pas je vais revenir te voir si souvent que t’en aura marre de moi.
Castle : Promis ?
Alexis : Oui, il fait bien que quelqu’un te fasse à manger quelque fois !
Castle : En parlant de ça j’ai comme qui dirait un petit creux moi !
Alexis : De la pâté pour chien ?
Castle : Beurre de cacahuète à la cuillère ?
Alexis : [Riant] Chinois ?
Castle : Oh j’aimerais bien un sandwich
Alexis : Ohh !
Castle : Bienvenue à la maison !
Alexis : Merci !
FIN