405 L'art de voler
[Le poing du capitalisme est exposé entouré de caméra de sécurité. Une silhouette sombre roule sur le dos à travers la ventilation et met en place un système électronique pour se connecter au réseau et désarme le système de sécurité, glisse une corde du plafond dans la pièce et se dirige vers la statue.]
[Au Cosmopolitan Art Museum, la directrice du développement du musée discute avec des donateurs lors du 4e gala annuel des bienfaits]
Myrna Ramsey : Monsieur et Madame Mathieu quel honneur. Sans votre soutient, jamais ce musé ne serait devenu une institution de renommé mondial qu’il est devenu. La prochaine saison va être extraordinaire. Mr Hayes se fera un plaisir de vous parler des expositions disponible pour un partenariat. [Se retournant vers son assistante] Où est-il ?
Alyssa Lofters : Je ne sais pas !
Myrna : Allez le chercher, vite ! [Reparlant à ses bienfaiteurs] Je suis certaine que Mr Hayes sera là dans une seconde.
Alyssa : [Parlant dans un micro] Owen, Myrna est au bord de la crise de nerf, ou est Mr Hayes ?
Owen : Il n’est pas dans la galerie Est. Je vais aller voir dans les toilettes. Continue à chercher.
Alyssa : Heu… excusez-moi ! [Trouvant un cadavre empalé sur une statue de la tête de la statue de la liberté]
[Loft des Castle : Martha et Castle]
Castle : [Ecrivant sur son ordi dans son bureau] « Son corps sanglant » !
Martha : Chérie…
Castle : Une seconde ! [Levant le doigt pour l’arrêter] Le temps que mon personnage saute, du pont de Brooklyn !
Martha : Ah je vois et bien je suis persuadé que… Carter Damien apprécierait que tu lui réserve une mort moins cruel.
Castle : Trop tard, il vient de faire un plat. Alors de quoi avais-tu besoin ?
Martha : J’ai invité quelque élève de mon cour de théâtre à venir répéter ici, « maison de poupée » d’Henrik Ibsen.
Castle : D’accord je me ferais discret. Merci de m’avoir prévenu.
Martha : Non, non, non, chérie, ça nous serait très profitable de soumettre notre jeu au jugement d’un auteur. Ta présence est indispensable.
Castle : Qu’est-ce que tu manigance ?
Martha : Il y a une jeune femme que je voudrais te présenter.
Castle : Oh non mère, tu ne vas pas encore essayer de me casé. Le dernier fiasco ne t’a pas servi de leçon ?
Martha : Un fiasco ? Tu t’es marié avec elle !
Castle : Et d’après toi, comment ça s’est terminée ?
Martha : J’essaie seulement de te venir en aide. Alors admet que ta vie sociale est proche de l’encéphalogramme plat.
Castle : Et bien je n’ai plus qu’à sauter moi-même du pont de Brooklyn !
Martha : Reconnait que ces derniers mois tu n’as fait que te consacré à l’écriture et au enquête avec Beckett. Un RDV arrangé te ferait le plus grand bien. Sauf si…
Castle : Sauf si quoi ?
Martha : Tu avais de bonne raison de ne pas être disponible ?
[Le téléphone de Castle sonne. Martha voit que c’est Beckett et jette un coup d'œil malicieux à Castle]
[Au musé : Beckett, Castle, Esposito, Ryan, Myrna, Alyssa et Serena]
[Castle se regarde dans des dizaines d’écrans de télévision formant une œuvre d’art]
Beckett : [Arrivant] Prêt pour le gros plan Castle ?
Castle : Heu, je tente de discerner le sens caché, le message. Est-ce le progrès technologique où notre proportion au narcissisme ? Ou bien un lot de télévision en trop ?
Beckett : Il faut peut-être pas trop cogiter, peut-être seulement ce dire que c’est… de l’art.
Castle : De quel sens de la distance vous faite preuve. Laisser moi deviner ? Histoire de l’art à l’université.
Beckett : Non ce qui c’est le plus rapprocher d’un cour sur l’art, ça a été mes séances de pose en tant que model.
Castle : Comment ça ? Vous avez posé…
Beckett : Nu comme un vers ! [Castle visualise la scène ravi et suit Beckett jusqu’au corps]
Esposito : Je vous présente Brian Hayes. 39 ans, directeur du musée.
Castle : On lui a donné et la liberté et la mort.
Beckett : Une idée de l’heure à laquelle ça s’est passé ?
Esposito : Il a été vu pour la dernière fois à 22h par une certaine Myrna Ramsey, responsable du développement du musée. Le corps de Hayes a été découvert à 22h21. Le tueur a donc dû agir dans ce créneau.
Beckett : Le tuer en plein gala c’était extrêmement risqué.
Esposito : Je parie qu’il a été témoin du 2ème crime, commis dans la soirée.
Myrna : La main du capitalisme, une virulente dénonciation du consumérisme de notre culture.
Castle : On leur a volé, la main du capitalisme. Mais on-t-il toujours la fesse du socialisme.
Beckett : Combien valait cette œuvre Mme Ramsey ?
Myrna : 50 millions de dollars. Rien que les diamants dont elle était sertie en valait 30. De plus on nous l’avait prêté. Mr Hayes s’était engagé à la rendre dès que possible.
Beckett : J’ai remarqué vos caméra de surveillance, vous avez donc un système de sécurité. Alors pourquoi l’alarme ne s’est pas déclenchée ?
Myrna : C’est ce qui aurait dû se passer à la minute où quelqu’un est entré ici. La sécurité est en train d’essayer de comprendre pourquoi.
Beckett : Très bien, il me faut la liste des personnes qui ont assisté au gala et les vidéos des caméras de surveillance.
Myrna : Bien sûr !
Beckett : Qui a trouvé le corps ? Nous souhaitons lui parler.
Alyssa : J’ai du mal à réaliser. C’est le jour le plus horrible de ma vie.
Ryan : Vous étiez proche de Mr Hayes ?
Alyssa : Je travaillais avec lui. On a préparé cette exposition ensemble. C’était un homme adorable et il aidait énormément les jeunes artistes comme moi.
Ryan : Ah vous êtes une artiste !
Alyssa : Je travaille ici pour payer les factures, mais l’art est ma passion. Mr Hayes a même exposé une de mes installations.
Ryan : Est-ce que vous savez si, il avait de la famille ?
Alyssa : Sa mère dans l’Idaho, je crois.
Ryan : Bon à votre avis, qu’est-ce qu’il fabriquait dans une pièce isoler ? Il était pas censé s’occuper du public ?
Alyssa : Il se faisait un sang d’encre pour « la main du capitalisme ». Surtout avec le gala, avec le nombre de personne qui allait circuler dans le musée.
Ryan : Une minute. Il craignait que quelqu’un lui vole cette œuvre en particulier ?
Alyssa : Depuis qu’elle était arrivée. Il a même revu les enregistrements des caméras d’il y a 15 jours quand on nous l’a apporté. Je le trouvais un peu trop parano, seulement… il savait peut-être des choses.
Castle : 50 millions de dollars, c’est pour ça qu’il avait déserté le gala. Il est revenu pour garder un œil sur la main…
Beckett : Seulement le voleur était déjà en train de s’enfuir avec…
Castle : En remontant cette galerie. Ou il est tombé sur Hayes…
Beckett : Qui tente de l’arrêter. Il se batte et le voleur pousse Hayes sur les pointes…
Castle : Et notre voleur devient un meurtrier…
Beckett : Qui a réussi à s’introduire dans le musée, grâce à la foule du gala…
Serena Kaye : [L’interrompant en arrivant] C’est peu probable ! Tous les invités ont du passé par deux postes de sécurité et leur identité a été contrôlée. A mon avis, le voleur c’est introduit ici par le toit, surement par un conduit d’aération et a débrancher les alarmes.
Beckett : Excusez-moi, vous êtes qui ?
Serena : Je suis Serena Kaye, c’est moi qui mène l’enquête pour l’assurance.
Beckett : Si le tueur est entré par l’aération, par où est-il sorti ?
Serena : Par la zone de chargement. Les gardiens contrôlaient uniquement les personnes qui arrivaient. Ils ne les contrôlaient pas à la sortie. Le voleur a pu s’enfuir dans le faux camion d’un traiteur.
Castle : Elle est douée !
Beckett : En théorie, où sont vos preuves dans tout ça ?
Serena : Je n’en ai pas besoin, j’ai raison, point. C’est mon travail. Et si vous voulez, je peux vous aider.
Beckett : Et comment ?
Serena : Je touche 1%, sur la valeur des œuvres que j’aide à retrouver. Je veux cette main. Vous voulez le tueur, faisons équipe. Vous pourriez profiter de ma perspicacité.
Castle : C’est une idée séduisante.
Beckett : Non, merci ce ne sera pas nécessaire.
Serena : Comme vous voudrez, qui ne tente rien n’a rien. Mr Castle, lieutenant Beckett ! [Partant]
Castle : [Lui regardant les fesses] Elle pourrait vous être très utile. Elle a de très beau atout ! [Beckett lui lance un regard noir] Non pas ceux-là !
Beckett : Elle nous gênerait, c’est évident.
Castle : Vous croyez ? Et si elle avait raison pour le camion ?
Beckett : [Roulant des yeux et décrochant le téléphone] Ryan, vérifie si le traiteur a récupéré tous ses camions. Et interroge le personnel pour voir s’il non rien vu de bizarre sur la zone de chargement.
Castle : [Se souriant] Ca n’a pas été facile, hein ?
[Au poste : Castle, Beckett, Ryan et Gates]
Castle : Donc pour une raison inconnue, Hayes c’est dit que « la main du capitalisme » risquait de disparaitre. On ne sait pas pourquoi, mais il va vérifier et il finit par le payer de sa vie.
Beckett : Sauf que d’après les caméras de surveillance, il ne sait absolument rien passer.
Castle : Mais que voit-on ?
Beckett : La main intacte, bien sagement à sa place. Le voleur a réussi à introduire des images pré enregistré dans le système de surveillance. Par ailleurs, la scientifique a trouvé du gel pour cheveux.
Castle : Du gel ? Où ont-ils trouvés ça ?
Beckett : L’aération !
Castle : L’aération ? Exactement ce que Serena…
Beckett [L’interrompant] Elle a eu de la chance !
Ryan : [Arrivant] Comme pour le camion du traiteur.
Beckett : Quoi comment ça ?
Ryan : Deux personnes se souviennent d’une camionnette qui était du même model et de la même couleur que les autres camionnettes, mais qui n’avait pas le moindre logo.
Castle : Et bien vous voyez !
Beckett : Un signalement des occupants ?
Ryan : Non, mais j’ai lancé un avis de recherche.
Gates : [De la porte de son bureau] Beckett !
Ryan : Qu’est-ce qui va nous tomber dessus ?
Beckett : [Chuchotant] La ferme ! [Allant dans le bureau de Gates]
[Castle crache son café sur Ryan lorsqu’il aperçoit Serena dans le bureau de Gates]
[Bureau de Gates : Gates, Beckett et Serena]
Gates : Lieutenant vous connaissez, Serena Kaye je crois ?
Serena : Comment ça va ?
Beckett : [Retenant sa colère] Qu’est-ce que vous faite là ?
Gates : Mademoiselle Kaye, m’a soumis une proposition, des plus alléchantes.
Beckett : Oui je sais en quoi consiste sa proposition.
Gates : Et je l’a trouve intéressante, contrairement à vous.
Beckett : Heu, capitaine Gates…
Gates : [L’interrompant] L’expertise de Mademoiselle Kaye ne sera pas de trop dans cette affaire.
Beckett : Chef, je préfère travailler avec mon équipe.
Gates : Ah oui celle qui inclut le touche à tout, qui n’a aucune espèce de compétence, hormis faire des traits d’esprit. Serena nous sera précieuse, ce qui n’est pas le cas de tout le monde.
Serena : J’ai hâte de travaillé avec vous ! [Se levant pour serrer la main de Beckett qui finit par capituler]
[Générique]
[Bureau de Beckett : Beckett et Serena]
Beckett : [Sortant du bureau de Gates] Et bien, il faut au moins reconnaitre que c’est pas le culot qui vous manque.
Serena : Mes hypothèses ne se sont pas avérer exact ? Alors reconnaissez que je peux vous être utile. Seuls les résultats m’intéressent lieutenant. [Castle et Ryan les espionnes depuis la salle de réunion] La réunion de nos efforts nous rendra plus efficace, voyez ça comme une fusion.
Beckett : Non je prends ça comme une prise de pouvoir abusive. Le lieutenant Ryan va vous briefer.
[Salle de réunion : Ryan, Castle, Beckett, Serena et Esposito]
Ryan : [Montrant une carte des installations du musée] Il a trafiqué les caméras des sécurités ici et ici. Ensuite, enfin d’après ce qu’on en sait, [Castle regarde Serena qui lui sourit] il s’est enfuit par la zone de chargement dans une camionnette bleu. Et voilà c’est … [Beckett surprend Castle a flirté et lui lance un regard noir et il perd son sourire] c’est tout ce qu’on a pour le moment !
Castle : Et les enregistrements vidéos d’il y a 15 jours que Hayes a visionné ? Si le tueur a repéré les lieux ou se trouvait exposer la main, peut-être est-il dessus.
Ryan : Peut-être mais il y a un problème, la sécurité enregistre toutes ces vidéos sur des clés usb et celle que Hayes a consulté, à justement disparue. Elle n’est pas dans son bureau et elle n’était pas non plus sur lui.
Castle : Peut-être parce qu’on l’a volé. Le tueur savait qu’il était dessus.
Serena : Alors qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
Beckett : La brigade des affaires sensibles nous a envoyé le nom des receleurs susceptible de racheter cette œuvre et c’est cette piste que nous allons suivre.
Serena : L’œuvre est lié à un meurtre alors il y a peu de gens qui serons intéresser. Le voleur vendra peut-être les diamants, mais pas aux gens de cette liste. Ils sont déjà grillés depuis longtemps.
Beckett : Vous avez une meilleure idée ?
Esposito : [Arrivant] J’ai trouvé quelque chose, j’allais voir les mecs de la sécurité quand… [S’interrompant en voyant Serena]
Castle : Oh lieutenant Esposito, voici Serena Kaye, membre de l’équipe ! [Beckett fait les gros yeux. Serena sourit]
Esposito : Ok. Alors euh, on a trouvé ce truc raccordé sur les câbles de sécurité. En gros ça annule le signal de l’alarme avant qu’il atteigne le processeur central. C’est un ISI…
Serena : [Le prenant des mains d’Esposito] Un interrupteur de signal inductif. Celui-là a été fait sur mesure. Je connais ce truc.
Beckett : Comment ça ?
Serena : Il était mentionné dans un rapport sur le Vermeer volé à Bruxelles en 1992. Le même voleur a volé notre main et ça c’est sa signature. Je sais qui a fait le coup, c’est Falco.
Beckett : Falco quoi ? Il a un nom de famille ?
Serena : Aucune idée, il n’a jamais été arrêté. C’est un des plus grands voleurs d’objet d’art en Europe, mais ça faisait des années qu’il n’était plus dans la course. Je pensais qu’il avait arrêté.
Castle : Rien de mieux que 50 millions pour vous ramener à la vie active.
Serena : Cette nouvelle piste va nous fournir des témoignages.
Beckett : Super allons-y !
Serena : Non pas vous !
Beckett : Ecouter, vous êtes peut-être une experte et tout ce que vous voulez, sauf que c’est mon enquête.
Serena : Ces suspects-là ne parlerons pas à la police, mais à moi oui. [Castle veut suivre Serena]
Beckett : Où est-ce que vous allez ?
Castle : Heu… je…je…je ne suis pas de la police. Euh… euh… alors je…
Beckett : Bien ! [Fâcher]
Esposito : Elle est avec nous ?
Beckett : Contacter Interpol, il me faut toutes les infos disponible sur ce Falco.
[Dans un restaurant : Castle, Serena et Finn]
Serena : Passionnant. Chasseur de criminel le jour, auteur de romain policier la nuit.
Castle : Vous n’êtes pas moins passionnante. Allons-nous rencontrer l’un de vos informateurs secret ?
Serena : Oh votre belle gueule n’est pas votre seul atout on dirait. Ce bar est aussi mal fréquenté qu’anonyme.
Finn : Serena ! Pourquoi tu ne me donne plus jamais de tes nouvelles ? Tu m’aimes plus ?
Serena : Oh non, Finn, je suis occupé c’est tout.
Finn : Ah oui et avec qui ? La version efféminée de James Bond ?
Castle : Que dire de ce sous Johnny Deep.
Serena : Ecoute, j’ai pas de temps à perdre avec ces conneries. On a cherché à écouler des diamants pur de type D.
Finn : A quel période ?
Serena : Ils sont dispo depuis hier soir.
Finn : Ils sont chauds bouillant ?
Castle : Comme une plaque électrique, mais à votre âge, vous ne mettez plus la main dessus.
Finn : Désolé ma belle. [Serena sort une enveloppe et l’a lui donne] A vrai dire, il y a eu un type qui est venu me voir. Il y a pas très longtemps, 2 ou 3 jours. Du genre méfiant, tu vois. Il a essayé de me sonder pour tout un lot de diamant, des purs, tous de type D. Sertit dans une espèce de main, une œuvre d’art.
Serena : Et il ressemblait à quoi ?
[Salle de repos du poste : Esposito et Beckett]
Esposito : Serena a raison, Falco est un gros poisson. Le dossier qu’Interpol à sur lui est aussi lourd que mes altère. Il a piqué un Renoir au musée Pouchkine, à Moscou en 96. Et un Monet en 99.
Beckett : Mais jusqu’à présent, on dirait qu’il a pas tué grand monde.
Esposito : Faut une première fois à tout.
Beckett : Surtout si on s’interpose entre lui et 50 millions.
Esposito : D’après Interpol, Falco ne vole pas pour lui-même. Il agit seulement sous contrat. Si quelqu’un veut un Picasso, Falco lui en vole un.
Beckett : Ca, c’est une 2ème piste. On peut essayer de savoir qui est le commanditaire du vol de la main et remonter jusqu’au tueur.
Joy Mchugh : [Entrant] Je peux vous dire qui est le commanditaire. Anton Mchugh. La belle ordure qui me sert de mari.
[Salle de famille : Joy Mchugh, Esposito et Beckett]
Joy : En fait la main nous appartient à tous les deux. C’est une des œuvres que nous avons prêté au musée.
Beckett : Pourquoi votre mari la volerait ?
Joy : Parce qu’il veut me plumer.
Esposito : Mais cette œuvre lui appartient.
Joy : Il n’en possède que la moitié.
Beckett : Je vois, vous êtes en plein divorce.
Joy : Oh nous sauvegardons les apparences, puisque nous sommes tous les deux particulièrement attacher à notre appartement de la 5ème avenue. Seulement cette fois Anton est allé trop loin.
Beckett : Donc vous vous disputé cette œuvre ?
Joy : Ca place est évidement dans un musée. Une œuvre d’art est faite avant tout pour le public.
Esposito : Mais votre mari ne partage pas cette opinion !
Joy : C’est le moins qu’on puisse dire. Lors de notre toute dernière rencontre avec nos avocats, il a hurlé qu’il ne reculerait devant aucun moyen pour récupérer ce qui est à lui.
Beckett : Votre mari ne fait que réclamer ce qui lui appartient, ça ne fait pas de lui un voleur.
Joy : Oh si c’est lui. Parce qu’il a déjà tenté de la volé.
[Salle d’interrogatoire : Beckett, Anton Mchugh et Ryan]
Beckett : Mr Mchugh, un curieux incident s’est produit il y a 15 jours lorsque « la main du capitalisme » est entrée au musée. Deux faux employés de la société de transport ont tentés de l’intercepter.
Anton : A mon avis, il ne s’agit que d’une simple méprise.
Beckett : Vous n’avez pas porté plainte, mais ces deux hommes sont des criminels notoires.
Anton : Je n’ai rien à voir avec cette histoire. Je ne les connais pas. Pas plus que je n’ai eu de contact avec eux.
Ryan : Mais votre avocat a pourtant téléphoné à ces hommes que vous ne connaissiez pas, avant cette simple méprise.
Beckett : Où est Falco ?
Anton : Falco ?
Beckett : Votre 1ère tentative pour vous emparer de la main s’étant solder par un échec, vous avez fait appelle à Falco. L’ennui c’est qu’il a tué Brian Hayes en même temps.
Ryan : Ce qui vous rend complice d’un meurtre.
Anton : Quoi ? Vous avez perdu la tête ? Attendez, je paris que ma femme est derrière tout ça.
Beckett : Croyez-moi, Mr Mchugh, votre divorce sera bientôt le dernier de vos problèmes si vous nous dite pas où est Falco.
Anton : Je n’ai jamais entendu parler de ce Falco et je n’ai pas volé la main. Je m’en fiche moi de ce truc infâme qu’il appelle de l’art. Je voulais juste faire croire le contraire.
Beckett : Et pourquoi ça ?
Anton : Parce que si ma femme avait cru que la main m’intéressait vraiment, elle m’aurait donné la vigne à la place. Maintenant qu’on l’a volé, cette loutre pleine de toxine botulique ne lâchera plus un copeck.
[Bureau au poste : Ryan, Beckett, Serena et Castle]
Ryan : Alors à votre avis ? Il dit la vérité ?
[Castle se lève de la chaise de Beckett en la voyant arrivé]
Beckett : Que je le crois ou non, on n’a pas assez de charge après lui pour avoir accès à ses comptes et …
Serena : [L’interrompant] Falco ne travaillait pas avec Mchugh.
Beckett : Alors il travaillait avec qui ?
Castle : Avec le directeur du musée, Brian Hayes.
Beckett : Notre victime ?
Castle : Un homme qui correspond au signalement de Hayes a joint le contact de Serena pour lui parler de diamant pur, de type D.
Ryan : Alors Hayes aurait engagé Falcon pour qu’il comète le vol de la main ?
Castle : Mais Falco a voulu la garder pour lui.
Serena : Et il a tué Hayes.
Beckett : Si Hayes était complice, il peut nous conduire à Falco. [A Ryan] Jette un œil sur son compte bancaire.
Ryan : Comme d’habitude.
Beckett : Ouais.
Ryan : Ouais ! [Partant]
Serena : Je vais me renseigner de mon côté. J’aurais peut-être du nouveau.
Castle : Oh une autre virée dans les bas-fonds de Manhattan. Je vous suis !
Serena : Désolé, je n’ai pas besoin d’assistant. Je vais seulement passer 2 ou 3 coup de fils. On se rattrapera !
Castle : Je l’espère bien !
[Beckett se retourne et roule des yeux énerver et s’en va, alors que Castle suit des yeux Serena]
Castle : Et heu… [Se retournant vers Beckett qui n’est plus là]
[Loft des Castle : Martha et Castle]
Martha : Une enquêtrice au service d’une compagnie d’assurance.
Castle : Une enquêtrice canon et peut-être un bon personnage pour mon prochain roman.
Martha : En tous cas, cette fille ne te laisse pas indifférent.
Castle : Euh, je la trouve… impressionnante !
Martha : Comment est-elle ?
[Bureau du psy : Dr. Carter Burke et Beckett]
Beckett : [En colère et debout] Elle est têtu, borné, arrogante et en plus, elle croit tout savoir.
Burke : Mais son travail elle le fait bien ?
Beckett : Castle en est persuadé.
Burke : Et ça vous embête ?
Beckett : Bien entendu que ça m’embête.
Burke : Pourquoi ?
Beckett : Parce que Castle est censé être mon … [S’asseyant dépiter]
Burke : Votre quoi ?
Beckett : Mon partenaire. Il est censé faire partie de mon équipe et pas se laisser émoustiller par le 1er jupon venu.
[Loft des Castle : Martha et Castle]
Castle : Emoustiller ? Comme tu y vas ! Intriguer, serait plus juste !
Martha : Comment vas-tu monté à l’assaut ?
Castle : Monter à l’assaut ?
Martha : Enfin soit réaliste. Beckett t’as fait comprendre qu’elle n’était pas prête, pour l’instant. Et tu viens de rencontrer cette femme brillante, extrêmement séduisante, qui t’intrigue alors pourquoi tu n’irais pas sa conquête ?
Castle : Heu… c’est compliqué !
[Bureau du psy : Dr. Carter Burke et Beckett]
Burke : Pourquoi est-ce compliqué ?
Beckett : vous savez très bien pourquoi !
Burke : Vous ne m’en avez pas assez dit pour que je le sache. De quoi avez-vous peur exactement ? Qu’il n’attende pas que vous soyez prête ? Ou au contraire, qu’il vous attende ?
[Bureau de Beckett : Castle, Beckett, Esposito et Ryan]
[Beckett réfléchi assise à son bureau. Castle arrive par l’ascenseur]
Castle : Bonjour !
Beckett : Salut, heu… je vous croyais avec Serena !
Castle : Non elle devait voir ces patrons ce matin.
Beckett : Oh vous l’avez déjà vu ce matin ?
Castle : Pas du tout, elle m’a envoyé un sms. Oh vous pensiez qu’elle et moi on…
Beckett : Evidemment, on voit bien qu’elle est tombée sous votre charme.
Castle : Ah oui…
Beckett : Um, hum…
Castle : Alors vous croyez que je devrais… me lancer ?
Beckett : Heu, c’est vous qui voyez !
Esposito : [Arrivant] Beckett, vous savez la camionnette. Le voleur l’a abandonné dans une ruelle du Queens.
Beckett : Des empreintes ?
Esposito : Non, il les a effacés. Très professionnel, mais la scientifique a retrouvé des traces de gel sur l’appui tête. On cherche le fabriquant, on sait jamais.
Ryan : [Arrivant] J’ai du nouveau sur Hayes. Sa mère a une longue et couteuse maladie. Hayes c’est littéralement ruiné en payant les factures. Financièrement parlant il était pris à la gorge.
Castle : Il s’est peut-être dit que voler la main était la seule solution.
Ryan : Il a aussi envoyé des e-mails suspects depuis son ordinateur portable à propos du système de sécurité des musées. L’adresse à laquelle il les a envoyé est anonyme.
Castle : Falco sait couvrir ces traces.
Ryan : Il se serait pile la veille du vol.
Beckett : Faudrait savoir où exactement. Il y a peut-être des témoins qui ont vu Falco.
Ryan : Je pense que ça a seulement du se passer entre midi et 14h, parce que sinon Hayes n’a pas bouger du musée.
Esposito : Une minute, j’ai les relevés de téléphone pour ce jour-là. A 11h06, il a passé un appel d’une petite minute à l’Escana, un restaurant.
Castle : Pour réserver une table. Combien vous pariez que c’était pour deux ? Falco et lui.
[Restaurant l’Escana : Serveuse, Beckett et Castle]
Serveuse : [Regardant une photo de Hayes] Je me souviens très bien. Ils étaient à une table à l’écart. C’était il y a 3 jours.
Beckett : Vous confirmez qu’il était accompagniez ?
Serveuse : Absolument. Ils ont parlés d’une affaire qui avait l’air très sérieuse.
Beckett : Vous pouvez nous donner le signalement de son invité ?
Serveuse : Euh, elle était plutôt grande, blonde, très séduisante !
Beckett : Quoi c’est avec une femme qu’il était ?
Serveuse : Heu, oui. La 30ème mais encore sexy.
Castle : Heu une minute, [Cherchant la photo dans son téléphone] est-ce que ce serait cette femme ?
Serveuse : Oui c’est elle !
[Castle montre à Beckett une photo de Serena et lui souriant]
Beckett : Serena ! Notre voleur !
[Castle est contrit]
[Au poste : Ryan, Esposito, Castle, Beckett et Gates]
[Beckett et Castle arrive]
Ryan : [Au téléphone] Non, non, non merci ! [Raccrochant] Ah, j’étais avec l’assurance qui emploi Serena, devinez ce qu’elle faisait avant de travailler pour eux ?
Castle : Assistante maternelle ?
Esposito : Voleuse d’œuvre d’art.
Ryan : Une voleuse présumé.
Esposito : Bien sûr !
Ryan : Suspecter de plusieurs vols entre 2001 et 2006 au musée du Prado, de Florence, de Houston. Mais les preuves ont toujours fait défaut.
Beckett : Et elle travaille pour une assurance ?
Esposito : Il y a 5 ans elle a décidé de mettre son expérience à leur service. Elle leur a même donné des conseils en sécurité.
Beckett : Laisser moi deviner et elle a dû leur dire, « faisons équipe » !
Castle : Et bien au moins elle est constante.
Beckett : Et nostalgique, elle a repris ces vieilles habitudes.
Ryan : En y ajoutant, le meurtre.
Beckett : Elle a su comment le voleur si était pris, puisque c’était elle la voleuse.
Esposito : Et après, elle nous a orienté sur le mythique Falco.
Castle : Elle m’a manipulé.
Beckett : C’est pas grave, vous n’êtes pas le seul. [Voyant Gates sortir de son bureau]
Gates : Elle est dans le coup ?
Beckett : On en est sûr à 100% chef, mais tout porte à croire que…
Gates : Je la veux sous les verrous dans les 24h.
Beckett : Nous n’avons aucune preuve contre elle.
Gates : Débrouillez-vous lieutenant. Il n’est pas question que le service des homicides soit humilier sous ma direction.
Beckett : Oui chef ! [Gates claque la porte de son bureau] Et où est-elle ?
Castle : A son hôtel ! [Beckett le regarde sévèrement] Elle m’a invité à boire un verre !
Esposito : Sans blague. Alors elle ne comptait pas s’enfuir ?
Castle : Heu…
Beckett : On a un tout petit temps d’avance sur elle, on va le mettre à profit. Elle ne sait pas qu’on est après elle. On va donc lui tendre un piège.
Ryan : Un piège de quel genre ?
Beckett : Simple !
[Hôtel de Serena : Beckett, Castle et Serena]
[Serena arrive en robe et talon] [A chaque fois que Beckett dit quelque chose en voix off, on voit la scène se dérouler]
Beckett : [En voix off] Castle l’invite à diner.
Castle : [Voix off] Quoi ?
Beckett : [Voix off] C’est bien ce que vous vouliez ? Tout ce que vous avez à faire c’est de l’éloigniez de sa chambre. Vous l’emmener diner au restaurant de l’hôtel. C’est tout. Vous lui faite passer un bon moment !
Castle : [Au serveur du restaurant ou il vient de s’assoir avec Serena] Merci !
Beckett : [Voix off] Et pendant que vous l’occupez. On entre dans sa chambre !
Castle : Et qu’est-ce que je dois faire ? J’essaie de la prendre en défaut ? De la faire avouez ?
Beckett : [Au poste] Non, vous faite diversion. Vous sortez des blagues, des banalités. Bavasser comme d’habitude ! [Voix off] L’essentielle c’est qu’elle ne rentre pas dans sa chambre pendant qu’on la fouille ! [Au poste] Alors c’est dans vos cordes ? Prêt à la charmer pendant une heure ?
Castle : [Au restaurant] Vous êtes sérieuse ?
Serena : Mais bien entendu. Vous aviez encore 24h !
Castle : Et vous m’auriez invité à diner ?
Serena : Hum, hum. Je ne reste pas les deux bras croisés quand je veux quelque chose.
Castle : Oui, je vois ça !
Serena : Et puis je n’ai pas caché je fais que vous me plaisiez, comme vous n’avez pas caché que je vous plaisais aussi.
Castle : On dirait que nous ne sommes pas très doués pour garder un secret ! [Ils trinquent]
[Chambre de Serena : Esposito et Beckett]
[Beckett fouille les affaires]
Esposito : Rien de mon côté. Vous trouvez quelque chose ?
Beckett : [Trouvant des dessous affriolant] Non !
Esposito : Vous voulez pas la rater, hein ?
Beckett : Non, c’est mon boulot en même temps, alors j’ai pas d’état d’âme.
Esposito : D’accord, mais… c’est plus personnel cette fois, non ?
Beckett : [Lui lançant un regard noir] Continue de chercher ok !
[Au restaurant de l’hôtel : Castle et Serena]
Castle : Pourquoi êtes-vous devenu enquêtrice au service d’une compagnie d’assurance ? Ce n’est pas vraiment une vocation à laquelle on aspire quand on est petite.
Serena : Oh, c’est un ressent changement de carrière.
Castle : Ah oui, que faisiez-vous avant ?
Serena : J’étais une voleuse d’œuvre d’art.
Castle : Très drôle.
Serena : Enfin c’est comme ça que les musées m’appelaient, mais je préférais me voir comme une robin des bois.
Castle : Et pourquoi cela ?
Serena : Je m’attaquais qu’aux œuvres volés à leur propriétaire. Volé par les nazis, les despotes, les gouvernements. Une œuvre n’appartient pas forcement au musée ou elle se trouve.
Castle : Vous êtes sérieuse ?
Serena : Je restituais celle qui avait été volé à leur propriétaire légitime. J’ai commencé par un Rembrandt, qu’un SS avait volé à mon grand-père.
Castle : Si je comprends bien vous étiez une sorte de version féminine, d’Indiana Jones. Sans le fouet, ni le chapeau.
Serena : Seulement, sans le chapeau.
Castle : Ah… j’ai chaud tout d’un coup ! [Ils rient]
[Chambre de Serena]
[Beckett regarde son téléphone et le pose pour continuer à chercher dans un secrétaire. Esposito fouille le dressing. Beckett tombe sur la tablette de Serena et regarde dedans]
[Au restaurant de l’hôtel : Serena et Castle]
Serena : [Fermant le menu de Castle] J’ai une idée. Et si on ne prenait pas de dessert ?
Castle : Oh, on aurait tort de se privée. Il parait que leur fraisier est un vrai délice.
Serena : Vous ne préférez pas prendre un verre dans ma suite ?
Castle : [Mal à l’aise] J’ai entendu dire, que leur crème fouetté vos tous les sacrifices !
Serena : Très bien, dans ce cas, faisons monter le dessert. Avec d’avantage de crème !
[Castle est sans voix. Elle part et il s’empresse d’écrire un sms à Beckett « Sortez »]
[Chambre de Serena : Esposito et Beckett]
[Beckett regarde les mails de Serena et ne vois pas le sms de Castle s’afficher]
Beckett : Je crois qu’on la tient cette fois ! [Allant voir Esposito] Des e-mails entre Serena et tout un tas de receleur. Devine qui veut revendre des diamants pur de type D ?
Esposito : [Ouvrant une valise] J’ai aussi trouvé quelque chose. Ces outils de travail. Dont un interrupteur à signal inductif.
[Couloir de l’hôtel : Serena et Beckett]
[Castle envoi un nouveau sms à Beckett. « Partez maintenant, on arrive »]
Serena : La voici, la suite horizon !
[Lorsqu’il entend quelque chose derrière la porte, Castle plaque Serena contre le mur pour l’embrasser fougueusement. Beckett les vois et s’arrête surprise]
Beckett : [Enerver] Ça suffit !
Serena : [Surprise] Mais qu’est-ce que vous faite là ?
Beckett : [Enerver] Serena Kayes, je vous arrête pour vol et pour meurtre !
[Au poste, devant la salle d’interrogatoire : Beckett, Castle, Serena, Esposito et Ryan]
Beckett : [En colère] Quoi alors maintenant vous pensez que cette femme est parfaitement innocente ?
Castle : Dans le cas contraire, pourquoi aurait-elle avouez son passé de voleuse ?
Beckett : Pour que la pilule passe un petit peu mieux, elle vous a livré juste une once de vérité, c’est tout !
Castle : Je crois qu’elle n’y est pour rien.
Beckett : Vous pensez avec autre chose que votre tête !
Castle : Un baiser, ce n’est rien et puis j’ai fait ce que vous m’aviez demandé. La tenir occuper afin que vous puissiez tranquillement fouiller sa chambre.
Beckett [Enerver] Oui justement, et qu’est-ce qu’on a trouvé dans sa chambre. Le matériel qui lui a permis à volé la main et des e-mails à un tas de receleurs.
Castle : Je crois qu’on devrait lui laisser une chance de s’expliquer.
Beckett : Comment ça on ? Je ferais mieux de l’interroger sans vous !
Castle : Oh je vous en prie, c’est …
Beckett : [L’interrompant] Je suis désolé, mais compte tenu de vos propos et de votre comportement à l’hôtel, il est évident que vous vous êtes sérieusement compromit ! [Entrant avec fougue dans la salle d’interrogatoire]
Castle : Je n’ai fait que ce que… [La porte claque sans pouvoir finir sa phrase] Vous m’aviez demandé !
[Castle est énervé contre Beckett et rentre furieux dans la salle d’observation ou il est surprit de trouver Ryan et Esposito]
Castle : Je la laisse faire pour une fois !
Esposito : Hum, hum !
Beckett : Il faut vous rendre justice, votre capacité à embobiner votre entourage est vraiment… impressionnante. Vous faire engager par une compagnie d’assurance en leur faisant croire que vous voulez vous amender tout en continuant à voler.
Serena : Est-ce que vous parlez sérieusement ?
Beckett : Le seul hic, c’est que cette fois, il vous fallait l’aide de Hayes et vous saviez qu’il ne vous laisserait pas vous en tirer, alors vous l’avez tué et vous avez intégré mon équipe afin de couvrir vos traces.
Serena : Je croyais que le seul romancier de votre équipe c’était Rick ?
Ryan : Rick ? Vous en êtes déjà au petit nom, vous deux ?
Esposito : Ah ouais, c’est vrai ça, après tout vous vous êtes seulement rouler une pelle !
Castle : Beckett m’avait demandé de la retenir…
Esposito : Et de mettre la langue aussi ?
[Castle ne sait quoi répondre]
Beckett : Oh je suis pas en train de raconter des histoires. On vous a vu en grande conversation avec Brian Hayes la veille du vol.
Serena : Oui il était inquiet au sujet de la sécurité pendant le gala
Beckett : Inquiet ? Non il était impliqué !
Serena : J’ignorais qu’il me mentait sur toute la ligne.
Beckett : Si votre rencontre était innocente, pourquoi vous n’en avez pas parlé ?
Serena : Parce que je n’étais pas particulièrement fière de n’avoir pas vu clair dans son jeu. Si je l’avais fait, la main serait toujours là et il ne serait pas mort dans l’histoire.
Ryan : Elle nous l’a joue vraiment voleuse au grand cœur.
Castle : Mais peut-être qu’elle dit vraie.
Esposito : Elle n’a pas l’air d’être déstabiliser.
Ryan : Elle est étrangement calme. Peut-être qu’elle y est pour rien après tout. Ou alors c’est une vraie psychopathe. Dans tous les cas, vous savez les choisir ! [Riant de Castle]
Beckett : On a trouvé le matériel qui vous a permis d’entrée dans le musée. La corde, le grappin, les crochets, l’interrupteur.
Serena : Je récupère ce qui a été volé. Les compagnies d’assurance se moque pas mal de savoir comment.
Beckett : On peut donc dire que vous volé ?
Serena : Je récupère, je ne vole pas.
Beckett : Est-ce que ça implique également d’écouler sur le marché noir, des diamants de grande pureté ?
Serena : Je savais bien que c’était l’intention de Falco alors j’ai tenté de débusquer ces recéleur. A-moi de vous poser une question maintenant. Vous êtes un excellent flic avec un très bon instinct et en cet instant, votre instinct vous dit que je n’y suis pour rien, seulement vous refuser de l’écouter. Pourquoi ça ?
Beckett : Et bien sachez que je n’ai pas à me justifier vis-à-vis d’une femme suspecté d’avoir commis un meurtre.
Serena : Si aucune considération personnel n’est en jeu alors pourquoi vous ne me demander pas si j’ai un alibi ? D’ailleurs pour info, le soir du meurtre, je participais à une réunion avec mes supérieurs. Vous pouvez vérifier.
Beckett : Si vous dites la vérité, pourquoi nous avoir caché tout ça ?
Serena : Parce qu’on avance moins vite quand on a la police dans les pattes. Ma mission était de récupérer la sculpture pas de jouer franc jeu, mais c’est vrai que ce meurtre change la donne et que je dois en tenir compte. Donc je vous promets qu’à partir de maintenant je vous dirais tout.
Beckett : Ce n’est pas nécessaire, notre collaboration est terminée !
Serena : Est-ce que vous changeriez d’avis si je vous disais que je sais qui est Falco ?
[Salle vidéo : Serena, Beckett, Castle et Esposito]
[Serena installe une clé usb sur l’ordinateur du poste]
Serena : C’est ce que les caméras du musé ont filmé lors de l’exposition il y a 15 jours.
Beckett : Alors c’est vous qui avez volé la clé usb de Hayes ?
Castle : Je vous rappelle qu’on essaie de vous faire confiance.
Serena : Quand vous m’avez embrassé, je vous faisais confiance moi. De toute façon vous n’auriez rien vu. Vous voyez ce type-là, près de main. Il est en repérage.
Castle : A quoi vous le voyez ?
Serena : Croyez-moi je le vois !
Beckett : Donc d’après vous c’est…
Serena : C’est Falco !
Beckett : Mais pourquoi vous nous l’avez pas dit plus tôt ?
Serena : Je n’en ai pas eu le temps.
Beckett : Vous étiez occupé à …
Castle : D’accord, d’accord, je propose qu’on se concentre sur le moyen de le retrouver.
Beckett : Ca va être difficile. On ne connait même pas son nom. On peut seulement lancer un avis de recherche et prévenir le département des transports pour qu’il renforce la surveillance des gares et des aéroports.
Esposito : [Arrivant] Et si je vous disais dans quel hôtel il est. Le gel dans le conduit d’aération et sur les appuis tête. On l’a identifié. C’est une formule déposé, faite exclusivement pour le Wessex hôtel.
Castle : Il y en a qu’un seul à New-York.
Beckett : On montre sa photo aux employés. Si jamais l’un deux le reconnait, on le tient.
Esposito : Allez ! [Partant]
[Hôtel Wessex : SWAT et Esposito]
[Ryan, Esposito et le SWAT sont dans l’ascenseur avec le responsable de l’hôtel][Ils entrent et fouillent la chambre d’hôtel]
SWAT1 : Police !
SWAT2 : Police mains en l’air !
[L’homme dans le lit se réveille en sursaut]
Esposito : Salut Falco !
[Salle d’interrogatoire : William Holt, Beckett et Castle]
William Holt : Falco ? Je n’ai pas la moindre idée de ce que vous me voulez. Moi je m‘appelle William Holt.
Beckett : Oui on a vu, William Holt, passeport Britannique, ça fait deux semaines que vous êtes à New-York. On sait aussi que vous étiez à Bilbao, il y a 10 ans quand le Pissarro a disparu. Et aussi à Berlin il y a 15 ans quand c’est un Greco qui a disparu.
Holt : Je n’ai rien avoir avec tout ça.
Beckett : Vous perdez votre temps Falco. On vous voit ici en train de repérer la sécurité du musée. C’est bien vous oui ou non ?
Holt : Quand j’arrive dans une ville, j’aime m’y promener, visité ces musées, découvrir ces trésors. C’est un crime ?
Castle : Non, bien sûr que non, mais ciblé une œuvre d’art et la volé, oui !
Beckett : Et cet interrupteur, raccordé au système de sécurité pour déjouer la surveillance des caméras du musée. On a trouvé les même à Bilbao et à Berlin.
Holt : Très bien si vous le dite. C’est la 1ère fois de ma vie que je vois ce truc-là.
Beckett : Vous êtes dans un bel hôtel. Vous ne trouvez pas ? Ils ont même une gamme de cosmétique exclusive pour leurs clientèles.
Castle : Notamment un gel pour cheveux qui a laissé des traces dans les conduits d’aération. A ce propos, le gel c’est pas très viril.
Holt : Des centaines de personne sont à mon hôtel et je me doute qu’il n’y a pas d’empreinte sur cette chose. Alors sur quel preuve vous basez vous pour m’arrêter. Ce Falco que vous semblez rechercher. Vous êtes sûr et certain qu’il a fait le coup ? Parce que d’après ce que j’ai compris, ce n’est pas un tueur. Il n’est peut-être pas aussi coupable que vous le croyez.
[Salle d’observation : Serena, Beckett, Ryan et Castle]
Serena : Il essaie de nous dire quelque chose.
Beckett : Oui d’aller nous faire voir.
Serena : Non, que ce n’est pas lui qui a commis le meurtre.
Beckett : C’est ce que la plupart des gens disent dans cette pièce. Les experts ont trouvés quelque chose dans sa chambre ?
Ryan : Rien du tout. Ni la main, ni du matériel.
Castle : [A Serena] Qu’est-ce que vous en dites ?
Serena : Il sait quelque chose, mais il ne peut pas nous le dire sans admettre qu’il était là. Laissez-moi lui parler !
Beckett : Vous voulez rire ? C’est un suspect et vous n’êtes pas un flic.
Serena : Non, je suis une voleuse comme lui. Il me parlera à moi.
[Salle des familles : Serena et Holt]
Holt : Et bien dit donc, après la flic en col roulé j’ai le droit à la flic bien roulé.
Serena : Je ne suis pas de la police.
Holt : Bon alors vous êtes qui ?
Serena : Hum ça dépend à qui vous le demander. Je suis Der Geist à Zurich, Pantera en Espagne, les Français me connaissent sous le nom de Gaston, mais vous vous me reconnaitrait si je vous dis… le Chacal.
Holt : Le Prado, en 2007 ? C’est vous qui avez fait le coup ? [Elle acquiesce] Et pour les détecteurs de son ?
Serena : Système de brouillage de séquence fabriqué par le russe. Vous-même en aviez un pour Boston.
Holt : C’est la sortie qui est difficile au Prado. Alors comment avez-vous fait ?
Serena : [Riant] Le garde était tellement intéressé par mes atouts qu’il ne m’a pas vu couper le fils de détente au dos du Goya. Il m’a suffi de revenir le chercher par la voie des airs.
Holt : Et bien chapeau. Mais maintenant, vous bossez pour les flics. Vous avez fini par vous faire prendre ?
Serena : J’ai été maligne, j’ai compris qu’un jour ou l’autre ça finirait par mal tourner.
Holt : C’est quelqu’un d’autre qui l’a tué.
Serena : Mais vous étiez là ?
[En dehors de la salle des familles : Castle et Beckett]
Castle : [Regardant par la vitre Serena et Holt discuter tranquillement] Vous croyez qu’elle va réussir à le faire parler ?
Beckett : Sans aucun doute, elle arrive bien à se faire embrasser.
[Castle lève les yeux au ciel dépité]
[Salle des familles : Serena et Holt]
Holt : Je n’ai pas été engagé pour voler la main. D’après mon contact, mon rôle se bornait à piéger la sécurité, afin d’en évaluer les faiblesses. Je devais entrée, désactiver les alarmes et sortir sans être repérer avant 22h. Tout ça pour 200 mille dollars d’avance.
Serena : Qui vous a engagé ?
Holt : Vous savez qu’on a toujours affaire à un intermédiaire. Le vrai patron ne se montre jamais.
Serena : Hum, pratique si on vous arrête. Si j’ai bien compris le véritable voleur à profiter de vous ?
Holt : Apparemment.
Serena : Vous avez vu quoi ?
Holt : Rien de spécial au début. Je trouvais que… ça avait été beaucoup trop facile et quand j’ai atteint la zone de chargement, j’ai hésité. J’avais désactivé les alarmes et la main était là, il suffisait d’y retourner.
Serena : C’est ce que vous avez fait.
Holt : Une tentation de 50 million, je ne connais pas beaucoup de gens qui aurait su y résister. Quand je suis revenu j’ai vu une femme qui se dirigeait vers la main, alors j’ai préféré en rester là et je suis reparti.
Serena : Cette femme vous pourriez la décrire ?
Holt : Non je l’ai à peine vu, mais je suis sûr d’une chose. Elle portait une robe noire.
[Salle des familles : Beckett, Serena et Castle]
Serena : Réfléchissez lieutenant, il n’a aucune raison de mentir !
Beckett : C’est un voleur, mentir est une seconde nature.
Serena : Il sait que vous n’avez rien contre lui, il aurait très bien pu se taire et attendre simplement que vous le relâchiez.
Castle : Si Falco dit vrai, alors ça écarte Hayes définitivement. Il aurait jamais pu verser 200 mille dollars avec ses problèmes d’argent.
Beckett : Dans ce cas pourquoi il disait vouloir vendre ces diamants.
Serena : Parce qu’il était parano et que ça l’a poussé à se renseigner.
Castle : Parano, non. Sensé. Notre meurtrier est sans doute la femme que Falco a aperçue près de la main.
Serena : Et elle a tué Hayes quand il lui est tombé dessus.
Beckett : Est-ce qu’il a pu vous la décrire ?
Serena : Il a juste dit qu’elle portait une robe noire.
Beckett : Il y avait plus de 200 personnes à ce gala et la moitié des femmes portaient des robes noires.
Serena : Et si elle n’est pas passée par la zone de changement, comment a-t-elle fait pour sortir la main du musée ?
Beckett : Ouais, comment ?
[Au musée : Castle, Beckett, Serena, Myrna et Alyssa]
Castle : Elle attend que Falco désactive la sécurité, puis entre dans la pièce en profitant du gala.
Beckett : Comme l’alarme est désactivée, elle se saisit de la main, mais Hayes à des doutes sur la sécurité et il vient vérifier en personne que la main est toujours là. Il l’a prend sur le fait et elle est forcé de le tué.
Serena : Elle doit donc sortir d’urgence pour éviter que quelqu’un la trouve avec la main et un mort.
Castle : Mais elle ne peut pas passer à travers la foule sans se faire remarquer.
Beckett : Ni sortir par la zone de chargement sans que le personnel des traiteurs aperçoive cette femme en robe noire.
Serena : Seulement il n’y a que deux sorti. Et toutes les deux comportes trop de risque pour qu’elle ait pu les prendre. [Castle regarde l’installation avec les télévisions]
Beckett : Donc si elle n’est sorti, ni par l’une, ni par l’autre. Comment a-t-elle fait pour sortir cette œuvre d’ici ?
Castle : Elle ne l’a peut-être pas sorti.
Beckett : Comment ça ?
Castle : Ce que je veux dire… [S’avançant vers l’installation des télévisions et mettant un coup de pied dans l’une des fausses télévisions et la casse. La main se trouve dedans.]
Myrna : [Arrivant en courant] Mais qu’est-ce que vous faite ?
Castle : La main n’est jamais sortie du musée.
Myrna : Monsieur Castle !
Castle : [Fière de lui] Je me disais bien que votre raisonnement sonnait creux ! [Se recoiffant en se regardant dans une télévision]
Alyssa : Vous vouliez me voir lieutenant ?
Castle : Oui on voulait vous parlez de votre installation. [Lui montrant]
Alyssa : Mais qu’est-ce qui s’est passé ?
Castle : Et bien je travaille à une réinterprétation de votre œuvre, appeler la télé-planque.
Alyssa : C’est complètement fichu, qui a fait ça ?
Beckett : Mais surtout, qu’est-ce que la main faisait dedans ?
Alyssa : Quoi la main était dedans ?
Castle : C’était la cachette idéale pour une voleuse qui n’avait plus qu’à rejoindre les invités.
Alyssa : Une ?
Beckett : La personne qui a volé la main était une femme portant une robe noire et il est probable qu’elle est tué Mr Hayes.
Castle : Si je me souviens bien, vous portiez une robe noire pour le gala ?
Alyssa : Oui mais comme la plupart des autres femmes.
Castle : Mais une seule d’entre elle connaissait l’existence de ce compartiment dans l’œuvre d’à côté. C’était le plan parfait, sauf que Brian Hayes vous a vu faire.
Alyssa : Quoi ? Non c’est pas moi, je le jure.
Beckett : Je pense en effet que vous avez eu un complice, parce que vous n’aviez pas l’argent pour payer Falco, mais vous avez tout fait pour que votre œuvre soit exposé.
Alyssa : Non je n’ai rien fait du tout. Mon œuvre a été sélectionné par la direction du musée ainsi que toutes les autres.
Castle : Et une fois l’exposition terminer, vous l’auriez récupérer. Elle aurait juste valu 50 million de plus.
Alyssa : Non je l’aurais pas récupérer parce que je l’ai vendu la semaine dernière, elle allait… C’est pas vrai !
[Salle d’interrogatoire : Beckett et Joy Mchugh]
Joy : Le travail d’Alyssa est à couper le souffle oui, mais en quoi mes goûts artistiques vous regarde lieutenant ?
Beckett : Il me regarde parce qu’il y avait un bronze incrusté de diamant dans l’œuvre d’Alyssa.
Joy : Vous l’avez retrouvé !
Beckett : Oui là ou vous l’avez mis. Demander vous si vous avez volontairement poussé la victime ou bien si c’était un simple accident. Parce que ça peut faire une différence de 30 ans dans votre condamnation.
Joy : Vous croyez que j’ai tué Brian Hayes ?
Beckett : On a l’autorisation de vérifié vos comptes et on trouvera la trace des 200 mille dollars que vous avez versé à William Holt alias Falco afin qu’il désactive le système de sécurité du musé.
Joy : J’ai du mal à vous suivre ma chère.
Beckett : On a vos empreintes partout sur la main.
Joy : C’est évident, puisqu’elle est à moi !
Beckett : Sauf que vos empreintes son couverte du sang de Brian Hayes. C’est fini, vous avez tué un homme Mme Mchugh.
Joy : Vous n’avez pas saisi. Mon mari voulait la récupérer. Je n’ai fait que reprendre ce qui m’appartenait et tout d’un coup voilà Brian Hayes et il me prend en flagrant délit. Que vouliez vous que je fasse ?
Beckett : Vous saviez ce qu’il y a de drôle ? C’est que votre mari vous aurez laissé la main. Il ne souhaitait pas la récupérer.
[Bureau du poste : Beckett, Serena et Castle]
Beckett : Le procureur ne sait plus combien de fois son mari l’a appelé pour le supplier de témoigner contre elle.
Serena [Riant] Quand pourrais-je récupérer la main, pour la compagnie d’assurance ?
Beckett : On la garde comme pièce à conviction et une fois que le jugement sera rendu, on vous la remettra.
Serena : Je tiens à vous remercier. Je n’y serais pas arrivé sans vous. Je vous en suis reconnaissante.
Beckett : Alors je vais pouvoir aussi toucher une partie de vos honoraires ?
Serena : Faut pas rêver non plus.
Beckett : Bien, je… [Regardant de loin Castle faire le café] je crois qu’on a tous atteint nos objectifs.
Serena : Oui !
Beckett : Heu… au fait, après votre RDV galant avec Castle…
Serena : Ce piège vous voulez dire ?
Beckett : Il était convaincu de votre innocence.
Serena : Oh…
Beckett : Contrairement à moi, il vous croyait !
Serena : Pourquoi vous me dite ça ?
Beckett : Je trouve ça important que vous sachiez à quel genre d’homme vous avez à faire !
Castle [Arrivant avec deux cafés] Ces dames sont servies !
Beckett : Merci !
Serena : Merci !
Castle [Se rendant compte d’un malaise] Quoi encore ?
Beckett : Heu, non rien. J’ai des papiers à remplir !
Castle : Ah… [La regardant partir]
Serena : Je vais me reposer à mon hôtel. Je vous aurez bien proposer de venir, mais maintenant vous savez que… je ne vole pas ce qui appartient à quelqu’un d’autre ! [L’embrassant sur la joue et part. Il sourit]
Beckett : [Revenant] Quoi ? Vous la suivez pas ?
Castle : Non !
Beckett : Pourquoi ?
Castle : Parce que je suis ruiné. Le musée m’a facturé les dégâts que j’ai causé à l’installation. [Lui montrant une facture]
Beckett : Ouaa…
Castle : C’est un comble, je trouve le coupable et c’est moi qui dois payer les pots cassés.
Beckett : Dans ce cas-là le moins qu’on puisse faire, c’est de vous offrir un bon hamburger.
Castle : [Réfléchissant] J’accepte !
Beckett [Souriante] Allons-y !
Castle : Je pourrais payer toutes les études d’Alexis à l’université avec ça !
Beckett : Même si elle faisait médecine !
Castle : Oui, heureusement que je suis riche !