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#405 : L'art de voler

 

Le riche mécène d'un musée est retrouvé embroché sur une oeuvre d'art exposée sur les lieux. L'équipe de Beckett recueille les premiers témoignages mais doit aussi résoudre le vol d'une sculpture à la valeur excessivement élevée. Parmi les personnes présentes sur la scène de crime, Castle et Beckett rencontrent Serena Kaye, une experte en assurances déléguée par la compagnie responsable de la sculpture. Suite à un ordre de Gates, Beckett se voit contrainte de collaborer avec elle sur l'affaire, ce qui ne semble pas la ravir, d'autant que la jeune femme n'est pas insensible au charme de Castle, et réciproquement.

Popularité


4.47 - 15 votes

Titre VO
Eye Of The Beholder

Titre VF
L'art de voler

Première diffusion
17.10.2011

Première diffusion en France
01.10.2012

Vidéos

Sneak Peek #2

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Sneak Peek #3

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Sneak Peek #4

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Sneak Peek #1

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Promo France 2

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Photos promo

Castle (Nathan Fillion) et Beckett (Stana Katic) font la rencontre de Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) et Beckett (Stana Katic) font la rencontre de Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) et Beckett (Stana Katic) visitent les lieux avec Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) et Beckett (Stana Katic) visitent les lieux avec Serena Kaye (Kristin Lehman).

 Serena Kaye (Kristin Lehman) se présente à Castle (Nathan Fillion).

Serena Kaye (Kristin Lehman) se présente à Castle (Nathan Fillion).

 Serena Kaye (Kristin Lehman) fait visiter les lieux à Castle (Nathan Fillion) et Beckett (Stana Katic).

Serena Kaye (Kristin Lehman) fait visiter les lieux à Castle (Nathan Fillion) et Beckett (Stana Katic).

Stana Katic prête ses traits au lieutenant détective Kate Beckett.

Stana Katic prête ses traits au lieutenant détective Kate Beckett.

Le duo Kate Beckett (Stana Katic) et Rick Castle (Nathan Fillion).

Le duo Kate Beckett (Stana Katic) et Rick Castle (Nathan Fillion).

Serena Kaye (Kristin Lehman) examine les lieux du crime.

Serena Kaye (Kristin Lehman) examine les lieux du crime.

Castle (Nathan Fillion) est à la recherche d'indices.

Castle (Nathan Fillion) est à la recherche d'indices.

Serena Kaye (Kristin Lehman) semble avoir trouvé une piste.

Serena Kaye (Kristin Lehman) semble avoir trouvé une piste.

Castle (Nathan Fillion) et Beckett (Stana Katic) à l'écoute des informations de  Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) et Beckett (Stana Katic) à l'écoute des informations de Serena Kaye (Kristin Lehman).

Le duo Kate Beckett (Stana Katic) et Rick Castle (Nathan Fillion) enquête.

Le duo Kate Beckett (Stana Katic) et Rick Castle (Nathan Fillion) enquête.

Castle (Nathan Fillion) à la recherche d'indices.

Castle (Nathan Fillion) à la recherche d'indices.

Castle (Nathan Fillion) soupe en compagnie de Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) soupe en compagnie de Serena Kaye (Kristin Lehman).

Kristin Lehman prête ses traits à Serena Kaye, une enquêtrice en assurance.

Kristin Lehman prête ses traits à Serena Kaye, une enquêtrice en assurance.

Les anecdotes de Castle (Nathan Fillion) semblent amuser Serena Kaye (Kristin Lehman).

Les anecdotes de Castle (Nathan Fillion) semblent amuser Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) a rendez-vous avec Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) a rendez-vous avec Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) attend l'arrivée de Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) attend l'arrivée de Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) embrasse passionnément Serena Kaye (Kristin Lehman).

Castle (Nathan Fillion) embrasse passionnément Serena Kaye (Kristin Lehman).

Beckett (Stana Katic) a surpris un baiser entre Castle (Nathan Fillion) et Serena Kaye (Kristin Lehman).

Beckett (Stana Katic) a surpris un baiser entre Castle (Nathan Fillion) et Serena Kaye (Kristin Lehman).

Serena Kaye (Kristin Lehman) ne semble pas comprendre la situation dans laquelle elle se trouve.

Serena Kaye (Kristin Lehman) ne semble pas comprendre la situation dans laquelle elle se trouve.

Serena Kaye (Kristin Lehman) s'amuse de la situation.

Serena Kaye (Kristin Lehman) s'amuse de la situation.

Kate (Stana Katic) ne semble pas avoir apprécié la vision de Castle embrassant Serena Kaye.

Kate (Stana Katic) ne semble pas avoir apprécié la vision de Castle embrassant Serena Kaye.

Kristin Lehman prête ses traits à Serena Kaye, une enquêtrice en assurance.

Kristin Lehman prête ses traits à Serena Kaye, une enquêtrice en assurance.

Serena Kaye (Kristin Lehman) cherche des indices.

Serena Kaye (Kristin Lehman) cherche des indices.

Plus de détails

Réalisation : John Terlesky
Scénario : Shalisha Francis

Distribution principale : 

Distribution secondaire: 

  • Kristin Lehman (Serena Kaye)
  • Jessica Tuck (Joy McHugh)
  • Aasha Davis (Alyssa Lofters)
  • Jessica Lundy (Myrna Ramsey)

 

405 L'art de voler

[Le poing du capitalisme est exposé entouré de caméra de sécurité. Une silhouette sombre roule sur le dos à travers la ventilation et met en place un système électronique pour se connecter au réseau et désarme le système de sécurité, glisse une corde du plafond dans la pièce et se dirige vers la statue.]

[Au Cosmopolitan Art Museum, la directrice du développement du musée discute avec des donateurs lors du 4e gala annuel des bienfaits]

Myrna Ramsey : Monsieur et Madame Mathieu quel honneur. Sans votre soutient, jamais ce musé ne serait devenu une institution de renommé mondial qu’il est devenu. La prochaine saison va être extraordinaire. Mr Hayes se fera un plaisir de vous parler des expositions disponible pour un partenariat. [Se retournant vers son assistante] Où est-il ?

Alyssa Lofters : Je ne sais pas !

Myrna : Allez le chercher, vite ! [Reparlant à ses bienfaiteurs] Je suis certaine que Mr Hayes sera là dans une seconde.

Alyssa : [Parlant dans un micro] Owen, Myrna est au bord de la crise de nerf, ou est Mr Hayes ?

Owen : Il n’est pas dans la galerie Est. Je vais aller voir dans les toilettes. Continue à chercher.

Alyssa : Heu… excusez-moi ! [Trouvant un cadavre empalé sur une statue de la tête de la statue de la liberté]

 

[Loft des Castle : Martha et Castle]

Castle : [Ecrivant sur son ordi dans son bureau] « Son corps sanglant » !

Martha : Chérie…

Castle : Une seconde ! [Levant le doigt pour l’arrêter] Le temps que mon personnage saute, du pont de Brooklyn !

Martha : Ah je vois et bien je suis persuadé que… Carter Damien apprécierait que tu lui réserve une mort moins cruel.

Castle : Trop tard, il vient de faire un plat. Alors de quoi avais-tu besoin ?

Martha : J’ai invité quelque élève de mon cour de théâtre à venir répéter ici, « maison de poupée » d’Henrik Ibsen.

Castle : D’accord je me ferais discret. Merci de m’avoir prévenu.

Martha : Non, non, non, chérie, ça nous serait très profitable de soumettre notre jeu au jugement d’un auteur. Ta présence est indispensable.

Castle : Qu’est-ce que tu manigance ?

Martha : Il y a une jeune femme que je voudrais te présenter.

Castle : Oh non mère, tu ne vas pas encore essayer de me casé. Le dernier fiasco ne t’a pas servi de leçon ?

Martha : Un fiasco ? Tu t’es marié avec elle !

Castle : Et d’après toi, comment ça s’est terminée ?

Martha : J’essaie seulement de te venir en aide. Alors admet que ta vie sociale est proche de l’encéphalogramme plat.

Castle : Et bien je n’ai plus qu’à sauter moi-même du pont de Brooklyn !

Martha : Reconnait que ces derniers mois tu n’as fait que te consacré à l’écriture et au enquête avec Beckett. Un RDV arrangé te ferait le plus grand bien. Sauf si…

Castle : Sauf si quoi ?

Martha : Tu avais de bonne raison de ne pas être disponible ?

[Le téléphone de Castle sonne. Martha voit que c’est Beckett et jette un coup d'œil malicieux à Castle]

 

[Au musé : Beckett, Castle, Esposito, Ryan, Myrna, Alyssa et Serena]

[Castle se regarde dans des dizaines d’écrans de télévision formant une œuvre d’art]

Beckett : [Arrivant] Prêt pour le gros plan Castle ?

Castle : Heu, je tente de discerner le sens caché, le message. Est-ce le progrès technologique où notre proportion au narcissisme ? Ou bien un lot de télévision en trop ?

Beckett : Il faut peut-être pas trop cogiter, peut-être seulement ce dire que c’est… de l’art.

Castle : De quel sens de la distance vous faite preuve. Laisser moi deviner ? Histoire de l’art à l’université.

Beckett : Non ce qui c’est le plus rapprocher d’un cour sur l’art, ça a été mes séances de pose en tant que model.

Castle : Comment ça ? Vous avez posé…

Beckett : Nu comme un vers ! [Castle visualise la scène ravi et suit Beckett jusqu’au corps]

Esposito : Je vous présente Brian Hayes. 39 ans, directeur du musée.

Castle : On lui a donné et la liberté et la mort.

Beckett : Une idée de l’heure à laquelle ça s’est passé ?

Esposito : Il a été vu pour la dernière fois à 22h par une certaine Myrna Ramsey, responsable du développement du musée. Le corps de Hayes a été découvert à 22h21. Le tueur a donc dû agir dans ce créneau.

Beckett : Le tuer en plein gala c’était extrêmement risqué.

Esposito : Je parie qu’il a été témoin du 2ème crime, commis dans la soirée.

 

Myrna : La main du capitalisme, une virulente dénonciation du consumérisme de notre culture.

Castle : On leur a volé, la main du capitalisme. Mais on-t-il toujours la fesse du socialisme.

Beckett : Combien valait cette œuvre Mme Ramsey ?

Myrna : 50 millions de dollars. Rien que les diamants dont elle était sertie en valait 30. De plus on nous l’avait prêté. Mr Hayes s’était engagé à la rendre dès que possible.

Beckett : J’ai remarqué vos caméra de surveillance, vous avez donc un système de sécurité. Alors pourquoi l’alarme ne s’est pas déclenchée ?

Myrna : C’est ce qui aurait dû se passer à la minute où quelqu’un est entré ici. La sécurité est en train d’essayer de comprendre pourquoi.

Beckett : Très bien, il me faut la liste des personnes qui ont assisté au gala et les vidéos des caméras de surveillance.

Myrna : Bien sûr !

Beckett : Qui a trouvé le corps ? Nous souhaitons lui parler.

 

Alyssa : J’ai du mal à réaliser. C’est le jour le plus horrible de ma vie.

Ryan : Vous étiez proche de Mr Hayes ?

Alyssa : Je travaillais avec lui. On a préparé cette exposition ensemble. C’était un homme adorable et il aidait énormément les jeunes artistes comme moi.

Ryan : Ah vous êtes une artiste !

Alyssa : Je travaille ici pour payer les factures, mais l’art est ma passion. Mr Hayes a même exposé une de mes installations.

Ryan : Est-ce que vous savez si, il avait de la famille ?

Alyssa : Sa mère dans l’Idaho, je crois.

Ryan : Bon à votre avis, qu’est-ce qu’il fabriquait dans une pièce isoler ? Il était pas censé s’occuper du public ?

Alyssa : Il se faisait un sang d’encre pour « la main du capitalisme ». Surtout avec le gala, avec le nombre de personne qui allait circuler dans le musée.

Ryan : Une minute. Il craignait que quelqu’un lui vole cette œuvre en particulier ?

Alyssa : Depuis qu’elle était arrivée. Il a même revu les enregistrements des caméras d’il y a 15 jours quand on nous l’a apporté. Je le trouvais un peu trop parano, seulement… il savait peut-être des choses.

 

Castle : 50 millions de dollars, c’est pour ça qu’il avait déserté le gala. Il est revenu pour garder un œil sur la main…

Beckett : Seulement le voleur était déjà en train de s’enfuir avec…

Castle : En remontant cette galerie. Ou il est tombé sur Hayes…

Beckett : Qui tente de l’arrêter. Il se batte et le voleur pousse Hayes sur les pointes…

Castle : Et notre voleur devient un meurtrier…

Beckett : Qui a réussi à s’introduire dans le musée, grâce à la foule du gala…

Serena Kaye : [L’interrompant en arrivant] C’est peu probable ! Tous les invités ont du passé par deux postes de sécurité et leur identité a été contrôlée. A mon avis, le voleur c’est introduit ici par le toit, surement par un conduit d’aération et a débrancher les alarmes.

Beckett : Excusez-moi, vous êtes qui ?

Serena : Je suis Serena Kaye, c’est moi qui mène l’enquête pour l’assurance.

Beckett : Si le tueur est entré par l’aération, par où est-il sorti ?

Serena : Par la zone de chargement. Les gardiens contrôlaient uniquement les personnes qui arrivaient. Ils ne les contrôlaient pas à la sortie. Le voleur a pu s’enfuir dans le faux camion d’un traiteur.

Castle : Elle est douée !

Beckett : En théorie, où sont vos preuves dans tout ça ?

Serena : Je n’en ai pas besoin, j’ai raison, point. C’est mon travail. Et si vous voulez, je peux vous aider.

Beckett : Et comment ?

Serena : Je touche 1%, sur la valeur des œuvres que j’aide à retrouver. Je veux cette main. Vous voulez le tueur, faisons équipe. Vous pourriez profiter de ma perspicacité.

Castle : C’est une idée séduisante.

Beckett : Non, merci ce ne sera pas nécessaire.

Serena : Comme vous voudrez, qui ne tente rien n’a rien. Mr Castle, lieutenant Beckett ! [Partant]

Castle : [Lui regardant les fesses] Elle pourrait vous être très utile. Elle a de très beau atout ! [Beckett lui lance un regard noir] Non pas ceux-là !

Beckett : Elle nous gênerait, c’est évident.

Castle : Vous croyez ? Et si elle avait raison pour le camion ?

Beckett : [Roulant des yeux et décrochant le téléphone] Ryan, vérifie si le traiteur a récupéré tous ses camions. Et interroge le personnel pour voir s’il non rien vu de bizarre sur la zone de chargement.

Castle : [Se souriant] Ca n’a pas été facile, hein ?

 

[Au poste : Castle, Beckett, Ryan et Gates]

Castle : Donc pour une raison inconnue, Hayes c’est dit que « la main du capitalisme » risquait de disparaitre. On ne sait pas pourquoi, mais il va vérifier et il finit par le payer de sa vie.

Beckett : Sauf que d’après les caméras de surveillance, il ne sait absolument rien passer.

Castle : Mais que voit-on ?

Beckett : La main intacte, bien sagement à sa place. Le voleur a réussi à introduire des images pré enregistré dans le système de surveillance. Par ailleurs, la scientifique a trouvé du gel pour cheveux.

Castle : Du gel ? Où ont-ils trouvés ça ?

Beckett : L’aération !

Castle : L’aération ? Exactement ce que Serena…

Beckett  [L’interrompant] Elle a eu de la chance !

Ryan : [Arrivant] Comme pour le camion du traiteur.

Beckett : Quoi comment ça ?

Ryan : Deux personnes se souviennent d’une camionnette qui était du même model et de la même couleur que les autres camionnettes, mais qui n’avait pas le moindre logo.

Castle : Et bien vous voyez !

Beckett : Un signalement des occupants ?

Ryan : Non, mais j’ai lancé un avis de recherche.

Gates : [De la porte de son bureau] Beckett !

Ryan : Qu’est-ce qui va nous tomber dessus ?

Beckett : [Chuchotant] La ferme ! [Allant dans le bureau de Gates]

[Castle crache son café sur Ryan lorsqu’il aperçoit Serena dans le bureau de Gates]

 

[Bureau de Gates : Gates, Beckett et Serena]

Gates : Lieutenant vous connaissez, Serena Kaye je crois ?

Serena : Comment ça va ?

Beckett : [Retenant sa colère] Qu’est-ce que vous faite là ?

Gates : Mademoiselle Kaye, m’a soumis une proposition, des plus alléchantes.

Beckett : Oui je sais en quoi consiste sa proposition.

Gates : Et je l’a trouve intéressante, contrairement à vous.

Beckett : Heu, capitaine Gates…

Gates : [L’interrompant] L’expertise de Mademoiselle Kaye ne sera pas de trop dans cette affaire.

Beckett : Chef, je préfère travailler avec mon équipe.

Gates : Ah oui celle qui inclut le touche à tout, qui n’a aucune espèce de compétence, hormis faire des traits d’esprit. Serena nous sera précieuse, ce qui n’est pas le cas de tout le monde.

Serena : J’ai hâte de travaillé avec vous ! [Se levant pour serrer la main de Beckett qui finit par capituler]

 

[Générique]

 

[Bureau de Beckett : Beckett et Serena]

Beckett : [Sortant du bureau de Gates] Et bien, il faut au moins reconnaitre que c’est pas le culot qui vous manque.

Serena : Mes hypothèses ne se sont pas avérer exact ? Alors reconnaissez que je peux vous être utile. Seuls les résultats m’intéressent lieutenant. [Castle et Ryan les espionnes depuis la salle de réunion] La réunion de nos efforts nous rendra plus efficace, voyez ça comme une fusion.

Beckett : Non je prends ça comme une prise de pouvoir abusive. Le lieutenant Ryan va vous briefer.

 

[Salle de réunion : Ryan, Castle, Beckett, Serena et Esposito]

Ryan : [Montrant une carte des installations du musée] Il a trafiqué les caméras des sécurités ici et ici. Ensuite, enfin d’après ce qu’on en sait, [Castle regarde Serena qui lui sourit] il s’est enfuit par la zone de chargement dans une camionnette bleu. Et voilà c’est … [Beckett surprend Castle a flirté et lui lance un regard noir et il perd son sourire] c’est tout ce qu’on a pour le moment !

Castle : Et les enregistrements vidéos d’il y a 15 jours que Hayes a visionné ? Si le tueur a repéré les lieux ou se trouvait exposer la main, peut-être est-il dessus.

Ryan : Peut-être mais il y a un problème, la sécurité enregistre toutes ces vidéos sur des clés usb et celle que Hayes a consulté, à justement disparue. Elle n’est pas dans son bureau et elle n’était pas non plus sur lui.

Castle : Peut-être parce qu’on l’a volé. Le tueur savait qu’il était dessus.

Serena : Alors qu’est-ce qu’on fait maintenant ?

Beckett : La brigade des affaires sensibles nous a envoyé le nom des receleurs susceptible de racheter cette œuvre et c’est cette piste que nous allons suivre.

Serena : L’œuvre est lié à un meurtre alors il y a peu de gens qui serons intéresser. Le voleur vendra peut-être les diamants, mais pas aux gens de cette liste. Ils sont déjà grillés depuis longtemps.

Beckett : Vous avez une meilleure idée ?

Esposito : [Arrivant] J’ai trouvé quelque chose, j’allais voir les mecs de la sécurité quand… [S’interrompant en voyant Serena]

Castle : Oh lieutenant Esposito, voici Serena Kaye, membre de l’équipe ! [Beckett fait les gros yeux. Serena sourit]

Esposito : Ok. Alors euh, on a trouvé ce truc raccordé sur les câbles de sécurité. En gros ça annule le signal de l’alarme avant qu’il atteigne le processeur central. C’est un ISI…

Serena : [Le prenant des mains d’Esposito] Un interrupteur de signal inductif. Celui-là a été fait sur mesure. Je connais ce truc.

Beckett : Comment ça ?

Serena : Il était mentionné dans un rapport sur le Vermeer volé à Bruxelles en 1992. Le même voleur a volé notre main et ça c’est sa signature. Je sais qui a fait le coup, c’est Falco.

Beckett : Falco quoi ? Il a un nom de famille ?

Serena : Aucune idée, il n’a jamais été arrêté. C’est un des plus grands voleurs d’objet d’art en Europe, mais ça faisait des années qu’il n’était plus dans la course. Je pensais qu’il avait arrêté.

Castle : Rien de mieux que 50 millions pour vous ramener à la vie active.

Serena : Cette nouvelle piste va nous fournir des témoignages.

Beckett : Super allons-y !

Serena : Non pas vous !

Beckett : Ecouter, vous êtes peut-être une experte et tout ce que vous voulez, sauf que c’est mon enquête.

Serena : Ces suspects-là ne parlerons pas à la police, mais à moi oui. [Castle veut suivre Serena]

Beckett : Où est-ce que vous allez ?

Castle : Heu… je…je…je ne suis pas de la police.  Euh… euh… alors je…

Beckett : Bien ! [Fâcher]

Esposito : Elle est avec nous ?

Beckett : Contacter Interpol, il me faut toutes les infos disponible sur ce Falco.

 

[Dans un restaurant : Castle, Serena et Finn]

Serena : Passionnant. Chasseur de criminel le jour, auteur de romain policier la nuit.

Castle : Vous n’êtes pas moins passionnante. Allons-nous rencontrer l’un de vos informateurs secret ?

Serena : Oh votre belle gueule n’est pas votre seul atout on dirait. Ce bar est aussi mal fréquenté qu’anonyme.

Finn : Serena ! Pourquoi tu ne me donne plus jamais de tes nouvelles ? Tu m’aimes plus ?

Serena : Oh non, Finn, je suis occupé c’est tout.

Finn : Ah oui et avec qui ? La version efféminée de James Bond ?

Castle : Que dire de ce sous Johnny Deep.

Serena : Ecoute, j’ai pas de temps à perdre avec ces conneries. On a cherché à écouler des diamants pur de type D.

Finn : A quel période ?

Serena : Ils sont dispo depuis hier soir.

Finn : Ils sont chauds bouillant ?

Castle : Comme une plaque électrique, mais à votre âge, vous ne mettez plus la main dessus.

Finn : Désolé ma belle. [Serena sort une enveloppe et l’a lui donne] A vrai dire, il y a eu un type qui est venu me voir. Il y a pas très longtemps, 2 ou 3 jours. Du genre méfiant, tu vois. Il a essayé de me sonder pour tout un lot de diamant, des purs, tous de type D. Sertit dans une espèce de main, une œuvre d’art.

Serena : Et il ressemblait à quoi ?

 

[Salle de repos du poste : Esposito et Beckett]

Esposito : Serena a raison, Falco est un gros poisson. Le dossier qu’Interpol à sur lui est aussi lourd que mes altère. Il a piqué un Renoir au musée Pouchkine, à Moscou en 96. Et un Monet en 99.

Beckett : Mais jusqu’à présent, on dirait qu’il a pas tué grand monde.

Esposito : Faut une première fois à tout.

Beckett : Surtout si on s’interpose entre lui et 50 millions.

Esposito : D’après Interpol, Falco ne vole pas pour lui-même. Il agit seulement sous contrat. Si quelqu’un veut un Picasso, Falco lui en vole un.

Beckett : Ca, c’est une 2ème piste. On peut essayer de savoir qui est le commanditaire du vol de la main et remonter jusqu’au tueur.

Joy Mchugh : [Entrant] Je peux vous dire qui est le commanditaire. Anton Mchugh. La belle ordure qui me sert de mari.

 

[Salle de famille : Joy Mchugh, Esposito et Beckett]

Joy : En fait la main nous appartient à tous les deux. C’est une des œuvres que nous avons prêté au musée.

Beckett : Pourquoi votre mari la volerait ?

Joy : Parce qu’il veut me plumer.

Esposito : Mais cette œuvre lui appartient.

Joy : Il n’en possède que la moitié.

Beckett : Je vois, vous êtes en plein divorce.

Joy : Oh nous sauvegardons les apparences, puisque nous sommes tous les deux particulièrement attacher à notre appartement de la 5ème avenue. Seulement cette fois Anton est allé trop loin.

Beckett : Donc vous vous disputé cette œuvre ?

Joy : Ca place est évidement dans un musée. Une œuvre d’art est faite avant tout pour le public.

Esposito : Mais votre mari ne partage pas cette opinion !

Joy : C’est le moins qu’on puisse dire. Lors de notre toute dernière rencontre avec nos avocats, il a hurlé qu’il ne reculerait devant aucun moyen pour récupérer ce qui est à lui.

Beckett : Votre mari ne fait que réclamer ce qui lui appartient, ça ne fait pas de lui un voleur.

Joy : Oh si c’est lui. Parce qu’il a déjà tenté de la volé.

 

[Salle d’interrogatoire : Beckett, Anton Mchugh et Ryan]

Beckett : Mr Mchugh, un curieux incident s’est produit il y a 15 jours lorsque « la main du capitalisme » est entrée au musée. Deux faux employés de la société de transport ont tentés de l’intercepter.

Anton : A mon avis, il ne s’agit que d’une simple méprise.

Beckett : Vous n’avez pas porté plainte, mais ces deux hommes sont des criminels notoires.

Anton : Je n’ai rien à voir avec cette histoire. Je ne les connais pas. Pas plus que je n’ai eu de contact avec eux.

Ryan : Mais votre avocat a pourtant téléphoné à ces hommes que vous ne connaissiez pas, avant cette simple méprise.

Beckett : Où est Falco ?

Anton : Falco ?

Beckett : Votre 1ère tentative pour vous emparer de la main s’étant solder par un échec, vous avez fait appelle à Falco. L’ennui c’est qu’il a tué Brian Hayes en même temps.

Ryan : Ce qui vous rend complice d’un meurtre.

Anton : Quoi ? Vous avez perdu la tête ? Attendez, je paris que ma femme est derrière tout ça.

Beckett : Croyez-moi, Mr Mchugh, votre divorce sera bientôt le dernier de vos problèmes si vous nous dite pas où est Falco.

Anton : Je n’ai jamais entendu parler de ce Falco et je n’ai pas volé la main. Je m’en fiche moi de ce truc infâme qu’il appelle de l’art. Je voulais juste faire croire le contraire.

Beckett : Et pourquoi ça ?

Anton : Parce que si ma femme avait cru que la main m’intéressait vraiment, elle m’aurait donné la vigne à la place. Maintenant qu’on l’a volé, cette loutre pleine de toxine botulique ne lâchera plus un copeck.

 

[Bureau au poste : Ryan, Beckett, Serena et Castle]

Ryan : Alors à votre avis ? Il dit la vérité ?

[Castle se lève de la chaise de Beckett en la voyant arrivé]

Beckett : Que je le crois ou non, on n’a pas assez de charge après lui pour avoir accès à ses comptes et …

Serena : [L’interrompant] Falco ne travaillait pas avec Mchugh.

Beckett : Alors il travaillait avec qui ?

Castle : Avec le directeur du musée, Brian Hayes.

Beckett : Notre victime ?

Castle : Un homme qui correspond au signalement de Hayes a joint le contact de Serena pour lui parler de diamant pur, de type D.

Ryan : Alors Hayes aurait engagé Falcon pour qu’il comète le vol de la main ?

Castle : Mais Falco a voulu la garder pour lui.

Serena : Et il a tué Hayes.

Beckett : Si Hayes était complice, il peut nous conduire à Falco. [A Ryan] Jette un œil sur son compte bancaire.

Ryan : Comme d’habitude.

Beckett : Ouais.

Ryan : Ouais ! [Partant]

Serena : Je vais me renseigner de mon côté. J’aurais peut-être du nouveau.

Castle : Oh une autre virée dans les bas-fonds de Manhattan. Je vous suis !

Serena : Désolé, je n’ai pas besoin d’assistant. Je vais seulement passer 2 ou 3 coup de fils. On se rattrapera !

Castle : Je l’espère bien !

[Beckett se retourne et roule des yeux énerver et s’en va, alors que Castle suit des yeux Serena]

Castle : Et heu… [Se retournant vers Beckett qui n’est plus là]

 

[Loft des Castle : Martha et Castle]

Martha : Une enquêtrice au service d’une compagnie d’assurance.

Castle : Une enquêtrice canon et peut-être un bon personnage pour mon prochain roman.

Martha : En tous cas, cette fille ne te laisse pas indifférent.

Castle : Euh, je la trouve… impressionnante !

Martha : Comment est-elle ?

 

[Bureau du psy : Dr. Carter Burke et Beckett]

Beckett : [En colère et debout] Elle est têtu, borné, arrogante et en plus, elle croit tout savoir.

Burke : Mais son travail elle le fait bien ?

Beckett : Castle en est persuadé.

Burke : Et ça vous embête ?

Beckett : Bien entendu que ça m’embête.

Burke : Pourquoi ?

Beckett : Parce que Castle est censé être mon … [S’asseyant dépiter]

Burke : Votre quoi ?

Beckett : Mon partenaire. Il est censé faire partie de mon équipe et pas se laisser émoustiller par le 1er jupon venu.

 

[Loft des Castle : Martha et Castle]

Castle : Emoustiller ? Comme tu y vas ! Intriguer, serait plus juste !

Martha : Comment vas-tu monté à l’assaut ?

Castle : Monter à l’assaut ?

Martha : Enfin soit réaliste. Beckett t’as fait comprendre qu’elle n’était pas prête, pour l’instant. Et tu viens de rencontrer cette femme brillante, extrêmement séduisante, qui t’intrigue alors pourquoi tu n’irais pas sa conquête ?

Castle : Heu… c’est compliqué !

 

[Bureau du psy : Dr. Carter Burke et Beckett]

Burke : Pourquoi est-ce compliqué ?

Beckett : vous savez très bien pourquoi !

Burke : Vous ne m’en avez pas assez dit pour que je le sache. De quoi avez-vous peur exactement ? Qu’il n’attende pas que vous soyez prête ? Ou au contraire, qu’il vous attende ?

 

[Bureau de Beckett : Castle, Beckett, Esposito et Ryan]

[Beckett réfléchi assise à son bureau. Castle arrive par l’ascenseur]

Castle : Bonjour !

Beckett : Salut, heu… je vous croyais avec Serena !

Castle : Non elle devait voir ces patrons ce matin.

Beckett : Oh vous l’avez déjà vu ce matin ?

Castle : Pas du tout, elle m’a envoyé un sms. Oh vous pensiez qu’elle et moi on…

Beckett : Evidemment, on voit bien qu’elle est tombée sous votre charme.

Castle : Ah oui…

Beckett : Um, hum…

Castle : Alors vous croyez que je devrais… me lancer ?

Beckett : Heu, c’est vous qui voyez !

Esposito : [Arrivant] Beckett, vous savez la camionnette. Le voleur l’a abandonné dans une ruelle du Queens.

Beckett : Des empreintes ?

Esposito : Non, il les a effacés. Très professionnel, mais la scientifique a retrouvé des traces de gel sur l’appui tête. On cherche le fabriquant, on sait jamais.

Ryan : [Arrivant] J’ai du nouveau sur Hayes. Sa mère a une longue et couteuse maladie. Hayes c’est littéralement ruiné en payant les factures. Financièrement parlant il était pris à la gorge.

Castle : Il s’est peut-être dit que voler la main était la seule solution.

Ryan : Il a aussi envoyé des e-mails suspects depuis son ordinateur portable à propos du système de sécurité des musées. L’adresse à laquelle il les a envoyé est anonyme.

Castle : Falco sait couvrir ces traces.

Ryan : Il se serait pile la veille du vol.

Beckett : Faudrait savoir où exactement. Il y a peut-être des témoins qui ont vu Falco.

Ryan : Je pense que ça a seulement du se passer entre midi et 14h, parce que sinon Hayes n’a pas bouger du musée.

Esposito : Une minute, j’ai les relevés de téléphone pour ce jour-là. A 11h06, il a passé un appel d’une petite minute à l’Escana, un restaurant.

Castle : Pour réserver une table. Combien vous pariez que c’était pour deux ? Falco et lui.

 

[Restaurant l’Escana : Serveuse, Beckett et Castle]

Serveuse : [Regardant une photo de Hayes] Je me souviens très bien. Ils étaient à une table à l’écart. C’était il y a 3 jours.

Beckett : Vous confirmez qu’il était accompagniez ?

Serveuse : Absolument. Ils ont parlés d’une affaire qui avait l’air très sérieuse.

Beckett : Vous pouvez nous donner le signalement de son invité ?

Serveuse : Euh, elle était plutôt grande, blonde, très séduisante !

Beckett : Quoi c’est avec une femme qu’il était ?

Serveuse : Heu, oui. La 30ème mais encore sexy.

Castle : Heu une minute, [Cherchant la photo dans son téléphone] est-ce que ce serait cette femme ?

Serveuse : Oui c’est elle !

[Castle montre à Beckett une photo de Serena et lui souriant]

Beckett : Serena ! Notre voleur !

[Castle est contrit]

 

[Au poste : Ryan, Esposito, Castle, Beckett et Gates]

[Beckett et Castle arrive]

Ryan : [Au téléphone] Non, non, non merci ! [Raccrochant] Ah, j’étais avec l’assurance qui emploi Serena, devinez ce qu’elle faisait avant de travailler pour eux ?

Castle : Assistante maternelle ?

Esposito : Voleuse d’œuvre d’art.

Ryan : Une voleuse présumé.

Esposito : Bien sûr !

Ryan : Suspecter de plusieurs vols entre 2001 et 2006 au musée du Prado, de Florence, de Houston. Mais les preuves ont toujours fait défaut.

Beckett : Et elle travaille pour une assurance ?

Esposito : Il y a 5 ans elle a décidé de mettre son expérience à leur service. Elle leur a même donné des conseils en sécurité.

Beckett : Laisser moi deviner et elle a dû leur dire, « faisons équipe » !

Castle : Et bien au moins elle est constante.

Beckett : Et nostalgique, elle a repris ces vieilles habitudes.

Ryan : En y ajoutant, le meurtre.

Beckett : Elle a su comment le voleur si était pris, puisque c’était elle la voleuse.

Esposito : Et après, elle nous a orienté sur le mythique Falco.

Castle : Elle m’a manipulé.

Beckett : C’est pas grave, vous n’êtes pas le seul. [Voyant Gates sortir de son bureau]

Gates : Elle est dans le coup ?

Beckett : On en est sûr à 100% chef, mais tout porte à croire que…

Gates : Je la veux sous les verrous dans les 24h.

Beckett : Nous n’avons aucune preuve contre elle.

Gates : Débrouillez-vous lieutenant. Il n’est pas question que le service des homicides soit humilier sous ma direction.

Beckett : Oui chef ! [Gates claque la porte de son bureau] Et où est-elle ?

Castle : A son hôtel ! [Beckett le regarde sévèrement] Elle m’a invité à boire un verre !

Esposito : Sans blague. Alors elle ne comptait pas s’enfuir ?

Castle : Heu…

Beckett : On a un tout petit temps d’avance sur elle, on va le mettre à profit. Elle ne sait pas qu’on est après elle. On va donc lui tendre un piège.

Ryan : Un piège de quel genre ?

Beckett : Simple !

 

[Hôtel de Serena : Beckett, Castle et Serena]

[Serena arrive en robe et talon] [A chaque fois que Beckett dit quelque chose en voix off, on voit la scène se dérouler]

Beckett : [En voix off] Castle l’invite à diner.

Castle : [Voix off] Quoi ?

Beckett : [Voix off] C’est bien ce que vous vouliez ? Tout ce que vous avez à faire c’est de l’éloigniez de sa chambre. Vous l’emmener diner au restaurant de l’hôtel. C’est tout. Vous lui faite passer un bon moment !

Castle : [Au serveur du restaurant ou il vient de s’assoir avec Serena] Merci !

Beckett : [Voix off] Et pendant que vous l’occupez. On entre dans sa chambre !

Castle : Et qu’est-ce que je dois faire ? J’essaie de la prendre en défaut ? De la faire avouez ?

Beckett : [Au poste] Non, vous faite diversion. Vous sortez des blagues, des banalités. Bavasser comme d’habitude ! [Voix off] L’essentielle c’est qu’elle ne rentre pas dans sa chambre pendant qu’on la fouille ! [Au poste] Alors c’est dans vos cordes ? Prêt à la charmer pendant une heure ?

Castle : [Au restaurant] Vous êtes sérieuse ?

Serena : Mais bien entendu. Vous aviez encore 24h !

Castle : Et vous m’auriez invité à diner ?

Serena : Hum, hum. Je ne reste pas les deux bras croisés quand je veux quelque chose.

Castle : Oui, je vois ça !

Serena : Et puis je n’ai pas caché je fais que vous me plaisiez, comme vous n’avez pas caché que je vous plaisais aussi.

Castle : On dirait que nous ne sommes pas très doués pour garder un secret ! [Ils trinquent]

 

[Chambre de Serena : Esposito et Beckett]

[Beckett fouille les affaires]

Esposito : Rien de mon côté. Vous trouvez quelque chose ?

Beckett : [Trouvant des dessous affriolant] Non !

Esposito : Vous voulez pas la rater, hein ?

Beckett : Non, c’est mon boulot en même temps, alors j’ai pas d’état d’âme.

Esposito : D’accord, mais… c’est plus personnel cette fois, non ?

Beckett : [Lui lançant un regard noir] Continue de chercher ok !

 

[Au restaurant de l’hôtel : Castle et Serena]

Castle : Pourquoi êtes-vous devenu enquêtrice au service d’une compagnie d’assurance ? Ce n’est pas vraiment une vocation à laquelle on aspire quand on est petite.

Serena : Oh, c’est un ressent changement de carrière.

Castle : Ah oui, que faisiez-vous avant ?

Serena : J’étais une voleuse d’œuvre d’art.

Castle : Très drôle.

Serena : Enfin c’est comme ça que les musées m’appelaient, mais je préférais me voir comme une robin des bois.

Castle : Et pourquoi cela ?

Serena : Je m’attaquais qu’aux œuvres volés à leur propriétaire. Volé par les nazis, les despotes, les gouvernements. Une œuvre n’appartient pas forcement au musée ou elle se trouve.

Castle : Vous êtes sérieuse ?

Serena : Je restituais celle qui avait été volé à leur propriétaire légitime. J’ai commencé par un Rembrandt, qu’un SS avait volé à mon grand-père.

Castle : Si je comprends bien vous étiez une sorte de version féminine, d’Indiana Jones. Sans le fouet, ni le chapeau.

Serena : Seulement, sans le chapeau.

Castle : Ah… j’ai chaud tout d’un coup ! [Ils rient]

 

[Chambre de Serena]

[Beckett regarde son téléphone et le pose pour continuer à chercher dans un secrétaire. Esposito fouille le dressing. Beckett tombe sur la tablette de Serena  et regarde dedans]

 

[Au restaurant de l’hôtel : Serena et Castle]

Serena : [Fermant le menu de Castle] J’ai une idée. Et si on ne prenait pas de dessert ?

Castle : Oh, on aurait tort de se privée. Il parait que leur fraisier est un vrai délice.

Serena : Vous ne préférez pas prendre un verre dans ma suite ?

Castle : [Mal à l’aise] J’ai entendu dire, que leur crème fouetté vos tous les sacrifices !

Serena : Très bien, dans ce cas, faisons monter le dessert. Avec d’avantage de crème !

[Castle est sans voix. Elle part et il s’empresse d’écrire un sms à Beckett « Sortez »]

 

[Chambre de Serena : Esposito et Beckett]

[Beckett regarde les mails de Serena et ne vois pas le sms de Castle s’afficher]

Beckett : Je crois qu’on la tient cette fois ! [Allant voir Esposito] Des e-mails entre Serena  et tout un tas de receleur. Devine qui veut revendre des diamants pur de type D ?

Esposito : [Ouvrant une valise] J’ai aussi trouvé quelque chose. Ces outils de travail. Dont un interrupteur à signal inductif.

 

[Couloir de l’hôtel : Serena et Beckett]

[Castle envoi un nouveau sms à Beckett. « Partez maintenant, on arrive »]

Serena : La voici, la suite horizon !

[Lorsqu’il entend quelque chose derrière la porte, Castle plaque Serena contre le mur pour l’embrasser fougueusement. Beckett les vois et s’arrête surprise]

Beckett : [Enerver] Ça suffit !

Serena : [Surprise] Mais qu’est-ce que vous faite là ?

Beckett : [Enerver] Serena Kayes, je vous arrête pour vol et pour meurtre !

 

[Au poste, devant la salle d’interrogatoire : Beckett, Castle, Serena, Esposito et Ryan]

Beckett : [En colère] Quoi alors maintenant vous pensez que cette femme est parfaitement innocente ?

Castle : Dans le cas contraire, pourquoi aurait-elle avouez son passé de voleuse ?

Beckett : Pour que la pilule passe un petit peu mieux, elle vous a livré juste une once de vérité, c’est tout !

Castle : Je crois qu’elle n’y est pour rien.

Beckett : Vous pensez avec autre chose que votre tête !

Castle : Un baiser, ce n’est rien et puis j’ai fait ce que vous m’aviez demandé. La tenir occuper afin que vous puissiez tranquillement fouiller sa chambre.

Beckett  [Enerver] Oui justement, et qu’est-ce qu’on a trouvé dans sa chambre. Le matériel qui lui a permis à volé la main et des e-mails à un tas de receleurs.

Castle : Je crois qu’on devrait lui laisser une chance de s’expliquer.

Beckett : Comment ça on ? Je ferais mieux de l’interroger sans vous !

Castle : Oh je vous en prie, c’est …

Beckett : [L’interrompant] Je suis désolé, mais compte tenu de vos propos et de votre comportement à l’hôtel, il est évident que vous vous êtes sérieusement compromit ! [Entrant avec fougue dans la salle d’interrogatoire]

Castle : Je n’ai fait que ce que… [La porte claque sans pouvoir finir sa phrase] Vous m’aviez demandé !

[Castle est énervé contre Beckett et rentre furieux dans la salle d’observation ou il est surprit de trouver Ryan et Esposito]

Castle : Je la laisse faire pour une fois !

Esposito : Hum, hum !

Beckett : Il faut vous rendre justice, votre capacité à embobiner votre entourage est vraiment… impressionnante. Vous faire engager par une compagnie d’assurance en leur faisant croire que vous voulez vous amender tout en continuant à voler.

Serena : Est-ce que vous parlez sérieusement ?

Beckett : Le seul hic, c’est que cette fois, il vous fallait l’aide de Hayes et vous saviez qu’il ne vous laisserait pas vous en tirer, alors vous l’avez tué et vous avez intégré mon équipe afin de couvrir vos traces.

Serena : Je croyais que le seul romancier de votre équipe c’était Rick ?

Ryan : Rick ? Vous en êtes déjà au petit nom, vous deux ?

Esposito : Ah ouais, c’est vrai ça, après tout vous vous êtes seulement rouler une pelle !

Castle : Beckett m’avait demandé de la retenir…

Esposito : Et de mettre la langue aussi ?

[Castle ne sait quoi répondre]

Beckett : Oh je suis pas en train de raconter des histoires. On vous a vu en grande conversation avec Brian Hayes la veille du vol.

Serena : Oui il était inquiet au sujet de la sécurité pendant le gala

Beckett : Inquiet ? Non il était impliqué !

Serena : J’ignorais qu’il me mentait sur toute la ligne.

Beckett : Si votre rencontre était innocente, pourquoi vous n’en avez pas parlé ?

Serena : Parce que je n’étais pas particulièrement fière de n’avoir pas vu clair dans son jeu. Si je l’avais fait, la main serait toujours là et il ne serait pas mort dans l’histoire.

Ryan : Elle nous l’a joue vraiment voleuse au grand cœur.

Castle : Mais peut-être qu’elle dit vraie.

Esposito : Elle n’a pas l’air d’être déstabiliser.

Ryan : Elle est étrangement calme. Peut-être qu’elle y est pour rien après tout. Ou alors c’est une vraie psychopathe. Dans tous les cas, vous savez les choisir ! [Riant de Castle]

Beckett : On a trouvé le matériel qui vous a permis d’entrée dans le musée. La corde, le grappin, les crochets, l’interrupteur.

Serena : Je récupère ce qui a été volé. Les compagnies d’assurance se moque pas mal de savoir comment.

Beckett : On peut donc dire que vous volé ?

Serena : Je récupère, je ne vole pas.

Beckett : Est-ce que ça implique également d’écouler sur le marché noir, des diamants de grande pureté ?

Serena : Je savais bien que c’était l’intention de Falco alors j’ai tenté de débusquer ces recéleur. A-moi de vous poser une question maintenant. Vous êtes un excellent flic avec un très bon instinct et en cet instant, votre instinct vous dit que je n’y suis pour rien, seulement vous refuser de l’écouter. Pourquoi ça ?

Beckett : Et bien sachez que je n’ai pas à me justifier vis-à-vis d’une femme suspecté d’avoir commis un meurtre.

Serena : Si aucune considération personnel n’est en jeu alors pourquoi vous ne me demander pas si j’ai  un alibi ? D’ailleurs pour info, le soir du meurtre, je participais à une réunion avec mes supérieurs. Vous pouvez vérifier.

Beckett : Si vous dites la vérité, pourquoi nous avoir caché tout ça ?

Serena : Parce qu’on avance moins vite quand on a la police dans les pattes. Ma mission était de récupérer la sculpture pas de jouer franc jeu, mais c’est vrai que ce meurtre change la donne et que je dois en tenir compte. Donc je vous promets qu’à partir de maintenant je vous dirais tout.

Beckett : Ce n’est pas nécessaire, notre collaboration est terminée !

Serena : Est-ce que vous changeriez d’avis si je vous disais que je sais qui est Falco ?

 

[Salle vidéo : Serena, Beckett, Castle et Esposito]

[Serena installe une clé usb sur l’ordinateur du poste]

Serena : C’est ce que les caméras du musé ont filmé lors de l’exposition il y a 15 jours.

Beckett : Alors c’est vous qui avez volé la clé usb de Hayes ?

Castle : Je vous rappelle qu’on essaie de vous faire confiance.

Serena : Quand vous m’avez embrassé, je vous faisais confiance moi. De toute façon vous n’auriez rien vu. Vous voyez ce type-là, près de main. Il est en repérage.

Castle : A quoi vous le voyez ?

Serena : Croyez-moi je le vois !

Beckett : Donc d’après vous c’est…

Serena : C’est Falco !

Beckett : Mais pourquoi vous nous l’avez pas dit plus tôt ?

Serena : Je n’en ai pas eu le temps.

Beckett : Vous étiez occupé à …

Castle : D’accord, d’accord, je propose qu’on se concentre sur le moyen de le retrouver.

Beckett : Ca va être difficile. On ne connait même pas son nom. On peut seulement lancer un avis de recherche et prévenir le département des transports pour qu’il renforce la surveillance des gares et des aéroports.

Esposito : [Arrivant] Et si je vous disais dans quel hôtel il est. Le gel dans le conduit d’aération et sur les appuis tête. On l’a identifié. C’est une formule déposé, faite exclusivement pour le Wessex hôtel.

Castle : Il y en a qu’un seul à New-York.

Beckett : On montre sa photo aux employés. Si jamais l’un deux le reconnait, on le tient.

Esposito : Allez ! [Partant]

 

[Hôtel Wessex : SWAT et Esposito]

[Ryan, Esposito et le SWAT sont dans l’ascenseur avec le responsable de l’hôtel][Ils entrent et fouillent la chambre d’hôtel]

SWAT1 : Police !

SWAT2 : Police mains en l’air !

[L’homme dans le lit se réveille en sursaut]

Esposito : Salut Falco !

 

[Salle d’interrogatoire : William Holt, Beckett et Castle]

William Holt : Falco ? Je n’ai pas la moindre idée de ce que vous me voulez. Moi je m‘appelle William Holt.

Beckett : Oui on a vu, William Holt, passeport Britannique, ça fait deux semaines que vous êtes à New-York. On sait aussi que vous étiez à Bilbao, il y a 10 ans quand le Pissarro a disparu. Et aussi à Berlin il y a 15 ans quand c’est un Greco qui a disparu.

Holt : Je n’ai rien avoir avec tout ça.

Beckett : Vous perdez votre temps Falco. On vous voit ici en train de repérer la sécurité du musée. C’est bien vous oui ou non ?

Holt : Quand j’arrive dans une ville, j’aime m’y promener, visité ces musées, découvrir ces trésors. C’est un crime ?

Castle : Non, bien sûr que non, mais ciblé une œuvre d’art et la volé, oui !

Beckett : Et cet interrupteur, raccordé au système de sécurité pour déjouer la surveillance des caméras du musée. On a trouvé les même à Bilbao et à Berlin.

Holt : Très bien si vous le dite. C’est la 1ère fois de ma vie que je vois ce truc-là.

Beckett : Vous êtes dans un bel hôtel. Vous ne trouvez pas ? Ils ont même une gamme de cosmétique exclusive pour leurs clientèles.

Castle : Notamment un gel pour cheveux qui a laissé des traces dans les conduits d’aération. A ce propos, le gel c’est pas très viril.

Holt : Des centaines de personne sont à mon hôtel et je me doute qu’il n’y a pas d’empreinte sur cette chose. Alors sur quel preuve vous basez vous pour m’arrêter. Ce Falco que vous semblez rechercher. Vous êtes sûr et certain qu’il a fait le coup ? Parce que d’après ce que j’ai compris, ce n’est pas un tueur. Il n’est peut-être pas aussi coupable que vous le croyez.

 

[Salle d’observation : Serena, Beckett, Ryan et Castle]

Serena : Il essaie de nous dire quelque chose.

Beckett : Oui d’aller nous faire voir.

Serena : Non, que ce n’est pas lui qui a commis le meurtre.

Beckett : C’est ce que la plupart des gens disent dans cette pièce. Les experts ont trouvés quelque chose dans sa chambre ?

Ryan : Rien du tout. Ni la main, ni du matériel.

Castle : [A Serena] Qu’est-ce que vous en dites ?

Serena : Il sait quelque chose, mais il ne peut pas nous le dire sans admettre qu’il était là. Laissez-moi lui parler !

Beckett : Vous voulez rire ? C’est un suspect et vous n’êtes pas un flic.

Serena : Non, je suis une voleuse comme lui. Il me parlera à moi.

 

[Salle des familles : Serena et Holt]

Holt : Et bien dit donc, après la flic en col roulé j’ai le droit à la flic bien roulé.

Serena : Je ne suis pas de la police.

Holt : Bon alors vous êtes qui ?

Serena : Hum ça dépend à qui vous le demander. Je suis Der Geist à Zurich, Pantera en Espagne, les Français me connaissent sous le nom de Gaston, mais vous vous me reconnaitrait si je vous dis… le Chacal.

Holt : Le Prado, en 2007 ? C’est vous qui avez fait le coup ? [Elle acquiesce] Et pour les détecteurs de son ?

Serena : Système de brouillage de séquence fabriqué par le russe. Vous-même en aviez un pour Boston.

Holt : C’est la sortie qui est difficile au Prado. Alors comment avez-vous fait ?

Serena : [Riant] Le garde était tellement intéressé par mes atouts qu’il ne m’a pas vu couper le fils de détente au dos du Goya. Il m’a suffi de revenir le chercher par la voie des airs.

Holt : Et bien chapeau. Mais maintenant, vous bossez pour les flics. Vous avez fini par vous faire prendre ?

Serena : J’ai été maligne, j’ai compris qu’un jour ou l’autre ça finirait par mal tourner.

Holt : C’est quelqu’un d’autre qui l’a tué.

Serena : Mais vous étiez là ?

 

[En dehors de la salle des familles : Castle et Beckett]

Castle : [Regardant par la vitre Serena  et Holt discuter tranquillement] Vous croyez qu’elle va réussir à le faire parler ?

Beckett : Sans aucun doute, elle arrive bien à se faire embrasser.

[Castle lève les yeux au ciel dépité]

 

[Salle des familles : Serena et Holt]

Holt : Je n’ai pas été engagé pour voler la main. D’après mon contact, mon rôle se bornait à piéger la sécurité, afin d’en évaluer les faiblesses. Je devais entrée, désactiver les alarmes et sortir sans être repérer avant 22h. Tout ça pour 200 mille dollars d’avance.

Serena : Qui vous a engagé ?

Holt : Vous savez qu’on a toujours affaire à un intermédiaire. Le vrai patron ne se montre jamais.

Serena : Hum, pratique si on vous arrête. Si j’ai bien compris le véritable voleur à profiter de vous ?

Holt : Apparemment.

Serena : Vous avez vu quoi ?

Holt : Rien de spécial au début. Je trouvais que… ça avait été beaucoup trop facile et quand j’ai atteint la zone de chargement, j’ai hésité. J’avais désactivé les alarmes et la main était là, il suffisait d’y retourner.

Serena : C’est ce que vous avez fait.

Holt : Une tentation de 50 million, je ne connais pas beaucoup de gens qui aurait su y résister. Quand je suis revenu j’ai vu une femme qui se dirigeait vers la main, alors j’ai préféré en rester là et je suis reparti.

Serena : Cette femme vous pourriez la décrire ?

Holt : Non je l’ai à peine vu, mais je suis sûr d’une chose. Elle portait une robe noire.

 

[Salle des familles : Beckett, Serena et Castle]

Serena : Réfléchissez lieutenant, il n’a aucune raison de mentir !

Beckett : C’est un voleur, mentir est une seconde nature.

Serena : Il sait que vous n’avez rien contre lui, il aurait très bien pu se taire et attendre simplement que vous le relâchiez.

Castle : Si Falco dit vrai, alors ça écarte Hayes définitivement. Il aurait jamais pu verser 200 mille dollars avec ses problèmes d’argent.

Beckett : Dans ce cas pourquoi il disait vouloir vendre ces diamants.

Serena : Parce qu’il était parano et que ça l’a poussé à se renseigner.

Castle : Parano, non. Sensé. Notre meurtrier est sans doute la femme que Falco a aperçue près de la main.

Serena : Et elle a tué Hayes quand il lui est tombé dessus.

Beckett : Est-ce qu’il a pu vous la décrire ?

Serena : Il a juste dit qu’elle portait une robe noire.

Beckett : Il y avait plus de 200 personnes à ce gala et la moitié des femmes portaient des robes noires.

Serena : Et si elle n’est pas passée par la zone de changement, comment a-t-elle fait pour sortir la main du musée ?

Beckett : Ouais, comment ?

 

[Au musée : Castle, Beckett, Serena, Myrna et Alyssa]

Castle : Elle attend que Falco désactive la sécurité, puis entre dans la pièce en profitant du gala.

Beckett : Comme l’alarme est désactivée, elle se saisit de la main, mais Hayes à des doutes sur la sécurité et il vient vérifier en personne que la main est toujours là. Il l’a prend sur le fait et elle est forcé de le tué.

Serena : Elle doit donc sortir d’urgence pour éviter que quelqu’un la trouve avec la main et un mort.

Castle : Mais elle ne peut pas passer à travers la foule sans se faire remarquer.

Beckett : Ni sortir par la zone de chargement sans que le personnel des traiteurs aperçoive cette femme en robe noire.

Serena : Seulement il n’y a que deux sorti. Et toutes les deux comportes trop de risque pour qu’elle ait pu les prendre. [Castle regarde l’installation avec les télévisions]

Beckett : Donc si elle n’est sorti, ni par l’une, ni par l’autre. Comment a-t-elle fait pour sortir cette œuvre d’ici ?

Castle : Elle ne l’a peut-être pas sorti.

Beckett : Comment ça ?

Castle : Ce que je veux dire… [S’avançant vers l’installation des télévisions et mettant un coup de pied dans l’une des fausses télévisions et la casse. La main se trouve dedans.]

Myrna : [Arrivant en courant] Mais qu’est-ce que vous faite ?

Castle : La main n’est jamais sortie du musée.

Myrna : Monsieur Castle !

Castle : [Fière de lui] Je me disais bien que votre raisonnement sonnait creux ! [Se recoiffant en se regardant dans une télévision]

 

Alyssa : Vous vouliez me voir lieutenant ?

Castle : Oui on voulait vous parlez de votre installation. [Lui montrant]

Alyssa : Mais qu’est-ce qui s’est passé ?

Castle : Et bien je travaille à une réinterprétation de votre œuvre, appeler la télé-planque.

Alyssa : C’est complètement fichu, qui a fait ça ?

Beckett : Mais surtout, qu’est-ce que la main faisait dedans ?

Alyssa : Quoi la main était dedans ?

Castle : C’était la cachette idéale pour une voleuse qui n’avait plus qu’à rejoindre les invités.

Alyssa : Une ?

Beckett : La personne qui a volé la main était une femme portant une robe noire et il est probable qu’elle est tué Mr Hayes.

Castle : Si je me souviens bien, vous portiez une robe noire pour le gala ?

Alyssa : Oui mais comme la plupart des autres femmes.

Castle : Mais une seule d’entre elle connaissait l’existence de ce compartiment dans l’œuvre d’à côté. C’était le plan parfait, sauf que Brian Hayes vous a vu faire.

Alyssa : Quoi ? Non c’est pas moi, je le jure.

Beckett : Je pense en effet que vous avez eu un complice, parce que vous n’aviez pas l’argent pour payer Falco, mais vous avez tout fait pour que votre œuvre soit exposé.

Alyssa : Non je n’ai rien fait du tout. Mon œuvre a été sélectionné par la direction du musée ainsi que toutes les autres.

Castle : Et une fois l’exposition terminer, vous l’auriez récupérer. Elle aurait juste valu 50 million de plus.

Alyssa : Non je l’aurais pas récupérer parce que je l’ai vendu la semaine dernière, elle allait… C’est pas vrai !

 

[Salle d’interrogatoire : Beckett et Joy Mchugh]

Joy : Le travail d’Alyssa est à couper le souffle oui, mais en quoi mes goûts artistiques vous regarde lieutenant ?

Beckett : Il me regarde parce qu’il y avait un bronze incrusté de diamant dans l’œuvre d’Alyssa.

Joy : Vous l’avez retrouvé !

Beckett : Oui là ou vous l’avez mis. Demander vous si vous avez volontairement poussé la victime ou bien si c’était un simple accident. Parce que ça peut faire une différence de 30 ans dans votre condamnation.

Joy : Vous croyez que j’ai tué Brian Hayes ?

Beckett : On a l’autorisation de vérifié vos comptes et on trouvera la trace des 200 mille dollars que vous avez versé à William Holt alias Falco afin qu’il désactive le système de sécurité du musé.

Joy : J’ai du mal à vous suivre ma chère.

Beckett : On a vos empreintes partout sur la main.

Joy : C’est évident, puisqu’elle est à moi !

Beckett : Sauf que vos empreintes son couverte du sang de Brian Hayes. C’est fini, vous avez tué un homme Mme Mchugh.

Joy : Vous n’avez pas saisi. Mon mari voulait la récupérer. Je n’ai fait que reprendre ce qui m’appartenait et tout d’un coup voilà Brian Hayes et il me prend en flagrant délit. Que vouliez vous que je fasse ?

Beckett : Vous saviez ce qu’il y a de drôle ? C’est que votre mari vous aurez laissé la main. Il ne souhaitait pas la récupérer.

 

[Bureau du poste : Beckett, Serena et Castle]

Beckett : Le procureur ne sait plus combien de fois son mari l’a appelé pour le supplier de témoigner contre elle.

Serena  [Riant] Quand pourrais-je récupérer la main, pour la compagnie d’assurance ?

Beckett : On la garde comme pièce à conviction et une fois que le jugement sera rendu, on vous la remettra.

Serena : Je tiens à vous remercier. Je n’y serais pas arrivé sans vous. Je vous en suis reconnaissante.

Beckett : Alors je vais pouvoir aussi toucher une partie de vos honoraires ?

Serena : Faut pas rêver non plus.

Beckett : Bien, je… [Regardant de loin Castle faire le café] je crois qu’on a tous atteint nos objectifs.

Serena : Oui !

Beckett : Heu… au fait, après votre RDV galant avec Castle…

Serena : Ce piège vous voulez dire ?

Beckett : Il était convaincu de votre innocence.

Serena : Oh…

Beckett : Contrairement à moi, il vous croyait !

Serena : Pourquoi vous me dite ça ?

Beckett : Je trouve ça important que vous sachiez à quel genre d’homme vous avez à faire !

Castle  [Arrivant avec deux cafés] Ces dames sont servies !

Beckett : Merci !

Serena : Merci !

Castle  [Se rendant compte d’un malaise] Quoi encore ?

Beckett : Heu, non rien. J’ai des papiers à remplir !

Castle : Ah… [La regardant partir]

Serena : Je vais me reposer à mon hôtel. Je vous aurez bien proposer de venir, mais maintenant vous savez que… je ne vole pas ce qui appartient à quelqu’un d’autre ! [L’embrassant sur la joue et part. Il sourit]

Beckett : [Revenant] Quoi ? Vous la suivez pas ?

Castle : Non !

Beckett : Pourquoi ?

Castle : Parce que je suis ruiné. Le musée m’a facturé les dégâts que j’ai causé à l’installation. [Lui montrant une facture]

Beckett : Ouaa…

Castle : C’est un comble, je trouve le coupable et c’est moi qui dois payer les pots cassés.

Beckett : Dans ce cas-là le moins qu’on puisse faire, c’est de vous offrir un bon hamburger.

Castle : [Réfléchissant] J’accepte !

Beckett  [Souriante] Allons-y !

Castle : Je pourrais payer toutes les études d’Alexis à l’université avec ça !

Beckett : Même si elle faisait médecine !

Castle : Oui, heureusement que je suis riche !

 

The Fist of Capitalism is on display surrounded by red security system beams. A dark figure rolls on its back through the ventilation and sets up an electronic to connect to some wires in the shaft. The figure presses a button on the electronic screen and the screen shows The Fist on display. The figure disarms the security system, slides down a rope into the room, and walks towards the statue.

At the Cosmopolitan Art Museum, the museum development director chats up some donors at the 4th Annual Benefit Gala.

Myrna Ramsey: Mr. McHugh. Mrs. McHugh. Your support has helped us make this a world class institution. We have such amazing plans for the new season. I’ll have Mr. Hayes tell you all about the exciting exhibits still available for sponsorship.

Myrna turns to look at an assistant.

Myrna Ramsey: Where is he?

Alyssa Lofters: I don't know.

Myrna Ramsey: Go get him.

The assitstant goes to look for Hayes and Myrna turns back to the donors.

Myrna Ramsey: I’m sure Mr. Hayes will be here any second.

In the showroom.

Alyssa Lofters: Myrna is freaking out, Owen. Where is Mr. Hayes?

Owen: He’s not in the West Gallery. I’m about to look in the men’s room. Just keep looking for him.

Alyssa Lofters: Uh, excuse me…

Myrna finds Mr. Hayes leaning against a partial replica of the face of the Statue of Liberty with some of the bronze spikes poking out through his chest and blood drenching his shirt.

Castle is typing in his office, "If it would matter to her. He wanted...surrounding his bloody corpse. That wou..." Martha enters.

Martha: Darling?

Castle holds up a hand.

Castle: One second. I’m just about to toss a guy off the Brooklyn Bridge.

Martha: Oh, I am sure that…

Martha sits on his desk and leans over to read the screen.

Martha: Carter Damien would appreciate a short reprieve.

Castle: Too late. He just went kersplat. Now… How can I help you?

Martha: I have invited my acting class to come here Friday night to do the Nora scenes from A Doll’s House.

Castle: Thank you for the warning, I will make myself scarce.

Martha: No, no, no. No, no, darling. This class could really benefit from your perspective, as a… As a writer. No, you… You definitely should be here.

Castle: Mother, what’s going on?
Martha: There’s a lovely girl in the class…

Castle: Oh…

Martha: And I just thought maybe…

Castle: Mother, you’re not trying to fix me up again. Haven’t you learned your lesson after the last fiasco?

Martha: Fiasco? You married her.

Castle: Yes, and how did that marriage end?

Martha: Honey, I am just trying to help you. You have to admit that your social life has been a bit anemic as of late.

Castle: Now I want to throw myself off the Brooklyn Bridge.

Castle gets up, but Martha follows him.

Martha: Ugh, darling. All you have been doing for the last few months is writing and working with Beckett. Now, I think a fix up is in order. Unless…

Castle: Unless…?

Martha: You have some reason for not putting yourself out there.

Castle’s cell phone rings. Castle looks at it. Martha sees it's Beckett and gives Castle a look.

Castle looks at his reflection in a large display of mirror televisions. Beckett looks at Castle through the back of one of the TVs.

Beckett: Getting ready for your close up, Castle?

Castle: No, just trying to discern the hidden meaning. Is it about the rise of technology, rampant narcissism, or did someone just have a lot of extra TVs?

Beckett: Well, sometimes you don’t need to know what it’s about. Sometimes it’s just… Art.

Castle: Why, Detective Beckett, how existential of you. Let me guess. Art theory in college?

Beckett: No. The closest I ever came to taking an art class was posing for one, as a model.

Castle: Wait… Posing in…?

Beckett: Not a stitch.

Castle visualizes for a moment as he follows Beckett to the crime scene.

Esposito: Meet Brian Hayes, 39. Executive director of the museum.

Castle: Looks like somebody gave him liberty and gave him death.
Beckett: Any idea when this happened?

Esposito: Hayes was last seen at ten o’clock by a Myrna Ramsey, museum’s development director. His body was discovered around 10:21, so the killer must have struck sometime within that window.

Beckett: Killing him during the gala, that’s pretty ballsy.

Esposito: My money’s on he walked in on the other crime being committed here tonight.

At Cosmopolitan Art Museum.

Myrna Ramsey: It’s called The Fist of Capitalism, a searing indictment of our consumer driven culture.

Castle: Somebody stole The Fist of Capitalism? Anyone check up the ass of socialism?

Beckett: How much was it worth, Mrs. Ramsey?

Myrna Ramsey: Fifty million. The diamonds alone were worth thirty. The Fist was on loan to us. Mr. Hayes assured the owners it would be safe.

Beckett: Y--you know, I noticed that you have cameras, so there’s obviously a security system. Why wasn’t the alarm triggered?

Myrna Ramsey: It should have been, the moment anyone stepped into this room. My security team is trying to determine why it wasn’t.

Beckett: Okay, well, we’ll need a list of all the people who attended the gala along with the videos from the cameras.

Myrna Ramsey: Of course.

Beckett: We’ll also need to talk to whoever found the body.

In the showroom.

Alyssa Lofters: I can’t believe this. This is the worst day of my life.

Ryan: Were you close to Mr. Hayes, Alyssa?

Alyssa Lofters: We worked together. I helped him curate this exhibit. He was a lovely man and very supportive of young artists like me.

Ryan: Oh, so you’re an artist?

Alyssa Lofters: This is my day job. Art is my passion. Mr. Hayes even put one of my sculptures in the exhibit.

Ryan: Did Mr. Hayes have any family?

Alyssa Lofters: A mother in Idaho, I think.

Ryan: So… Mr. Hayes was supposed to work the crowd tonight, right? What do you think he was doing over here?

Alyssa Lofters: I know he was worried about The Fist of Capitalism. Especially with the gala, and the people, and all the distractions…

Ryan: Wait. Are you saying that he was worried someone might steal The Fist?

Alyssa Lofters: Ever since I got here. He even reviewed the security video of The Fist, going back two weeks to when we first put it on display. I thought he was being paranoid, but… I guess he knew something I didn’t.

In the Cosmopolitan Art Museum.

Castle: Fifty million dollars. That’s why Hayes was A.W.O.L. from the gala. He came to check on the fist.

Beckett: But the thief was already on his way out with it.

Castle: Through this gallery, which put him on a collision course with Hayes.

They look over the crime scene, the body now gone.

Beckett: So Hayes confronts him, they struggle, and Hayes gets pushed into the spikes.

Castle: And at that moment, our thief becomes a killer.

Beckett: A killer who gains access to the museum through the gala.

Serena Kaye: That’s not likely.

Beckett and Castle turn around to see a beautiful blonde woman entering with a sexy blue dress, high heels, and rubber gloves.

Serena Kaye: All arriving guests were screened at two security checkpoints and then greeted by board members who knew them personally. Odds are, the thief came in through the roof. An air vent, probably, and then disabled the alarms.

Beckett: I’m sorry, who are you?

Serena Kaye: I’m Serena Kaye, the museum’s insurance investigator.

Serena checks the glass for The Fist.

Beckett: So, if the thief got in through the vent, then how did he get out?

Serena Kaye: The loading bay. The guards there checked everyone entering, but they didn’t check people leaving. Plus, the bay was full of catering vans. He could have had one waiting for him and just blended right in.

Castle: Oh, she’s good.

Beckett: At theory. But what about proof?

Serena Kaye: I don’t need proof to know that I’m right. It’s my job. And… I can help you with yours.

Beckett: How so?

Serena Kaye: I get a 1% finder’s fee for recovering stolen objects. I want that Fist, you want your murderer. We have common goals. I could consult on your case and share my insight.

Castle: You know, that is an intriguing idea.

Beckett: No, thank you, that won’t be necessary.

Serena Kaye: Well, you can’t blame a girl for trying. Mr. Castle, Detective Beckett.

Castle checks out Serena at she leaves.

Castle: You know, we really could have used her. She has valuable assets.

Beckett gives Castle a look.

Castle: Not those kind.

Beckett: Castle, she’d just get in the way.

Castle: Really? And what if she’s on to something?

Beckett narrows her eyes, then rolls her eyes and pulls out her cell.

Beckett: Ryan, check and see if all of the catering vans are accounted for and interview all the catering staff. See if anyone saw anything unusual in the loading bay.

Beckett hangs up.

Castle: Now, was that so hard?

Near the bullpen.

Castle: So, for reasons unknown, Hayes thought someone might swipe The Fist of Capitalism. We don’t know why, but he goes to check on it and ends up paying for it with his life.

Beckett: Yeah, except, as it turns out, that’s not what the security video shows.

Castle: What does it show?

Beckett: The Fist, sitting there, undisturbed in the gallery. The thief tapped into the camera lines and rigged a prerecorded loop. There’s no prints, but CSU did find what they think is hair gel.

Castle: Hair gel? Where would they find that?

Beckett: In the air duct.

Castle: In the air duct! That’s just what Serena…

Beckett: It’s a lucky guess.

Ryan enters.

Ryan: So was the call on the loading bay.

Beckett: What do you mean?

Ryan: Two of the caterers recall seeing a blue Astro van parked there, same colour as the catering vans, but without the company logo.

Castle: Imagine that.

Beckett: Did we get a description on anyone in the van?

Ryan: No, but I put an APB out on it.

Gates pokes her head out of her office.

Gates: Beckett!

Gates returns to her office.

Ryan: Oh, great, what'd you do now?

Beckett: Shut up.

Beckett walks to Gates's office and Castle sees Gates handing Serena Kaye a mug of coffee through the glass and spits out his coffee.

In Gates’s office.

Gates: Detective, I believe you’ve met Serena Kaye.

Serena Kaye: Hello, again.

Beckett is put a little off balance.

Beckett: What are you doin’… Here?

Gates: Ms. Kaye has presented me with a very compelling proposal.

Beckett: Yeah, I am familiar with her proposal.

Gates: Difference is, I like what I heard.

Beckett: Captain Gates, I…

Gates: She has expertise which she can bring to bear as a consultant on this case.

Beckett: Sir, I prefer working with my team.

Gates: Which includes a consultant with no expertise at anything? Serena will be a value add, for a change.

Serena Kaye: I look forward to working with you.

Serena stands and offers her hand to Beckett. Beckett glares at Serena, puts on a grimacing smile and shakes Serena's hand.

Near the bullpen, Serena follows Beckett out of Gates's office.

Beckett: I will give you this, you’ve got some gigantic balls.

Serena Kaye: What I said about the thief, did I turn out to be right?

Beckett drinks her coffee and grudgingly doesn't respond. Castle and Ryan watch them duke it out from the conference room.

Serena Kaye: I’m about results, Detective. This is the best way for both of us to get what we want. Think of it as a merger.

Beckett: More like a hostile takeover. I’ll have Detective Ryan bring you up to speed.

The team looks at blueprints of the museum.

Ryan: He bypassed security cameras here, and here. Then, near as we can figure, he left via the loading bay in a blue van.

Castle catches Serena's eye and smiles. Serena smiles back. Beckett walks around Serena and catches the smile exchange. Castle's smile drops and he looks down at the blueprints.

Ryan: And, uh, that’s… Pretty much where we are.

Castle: What about the security footage that Hayes was looking at from two weeks ago?

Beckett plops down in a chair and studies Castle and Serena.

Castle: If the killer had cased out the exhibit, maybe he’s on that video.

Ryan: Well… Well, see, that… That’s the problem, because Security downloads all the footage into flash drives and Hayes checked out one of the flash drives, but now it’s missing. It wasn’t in his office and wasn’t on his body, either.

Castle: Maybe the killer took it, because he knew he was on it.

Ryan: Hmm.

Serena Kaye: So, what’s our next move?

Beckett: Major case squad sent in a list of all of the fences that might be interested in a piece like The Fist, and so we are looking into that, now.

Serena Kaye: The Fist is too hot to handle now that there’s a body on it, so the thief may try to fence off the diamonds, but he won’t do business with anyone on that list. Anyone on it’s yesterday’s news.

Beckett: Well, do you have a better idea?

Esposito enters.

Esposito: Yo, guys, I found something. I was going over the security s…

Esposito stops when he notices Serena.

Castle: Oh, Detective Esposito, this is Serena Kaye. She’s with us.

Beckett gives Castle a look.

Esposito: Okay... Anyhow, uh, we found these clamped to the wires on the security system. It basically cancels out the alarm signals before they reach the computer. It’s called an ISI or…

Serena Kaye: An Inductive Signal Interrupter.

Serena grabs the evidence bag from Esposito.

Serena Kaye: This one’s custom made. I recognize it.

Beckett: From where?
Serena Kaye: From a report I read on the 1992 Vermeer theft in Brussels. The same thief used these to steal a dozen other paintings. These are his signature. I know who took The Fist. It’s Falco.

Beckett: Falco what? Does he have a last name?

Serena Kaye: No one knows. He’s never been caught. He’s never even been photographed. He’s a top art thief in Europe, though he hasn’t worked in years. Rumour was he’d gone out of the game.

Castle: Well, nothing like fifty million dollars to pull you out of retirement.

Serena Kaye: Now that we have some direction, I can get us some leads.

Beckett: Great. Let’s go.

Serena Kaye: You can’t come.

Beckett: I’m sorry, you might have misunderstood the word “consultant”. This is my case.

Serena Kaye: The people there won’t talk to cops. But they’ll talk to me.

Castle starts following Serena out.

Beckett: Where are you going?

Castle: Uh… I’m not a cop either…

Ryan makes a "ooh, dangerous territory" look.

Castle: So…

Castle looks at Beckett who nods unhappily.

Beckett: Fine.

Esposito: She’s with us?

Beckett: Let’s get a hold of Interpol. I want to find out everything we can about Falco.

In a bar.

Serena Kaye: You’re an interesting man, Mr. Castle. Crime fighter by day, mystery writer by night.

Castle: You’re pretty interesting yourself. So, we meeting a secret informant?

Serena Kaye: Oh. I guess Beckett doesn’t just keep you around for your good looks. This place is as infamous as it is anonymous.

Finn: Serena.

A man joins them at the bar.

Finn: Why you been such a stranger? You don’t love me no more?

Serena Kaye: Aw, Finn. I’ve been busy.

Finn: Busy with what? Jason Bateman over here?

Castle: Hey, that got me out of a speeding ticket once.

Serena Kaye: Finn. This is time sensitive. We can play catch up later. Right now I need to know if anyone’s moving D flawless diamonds, a lot of them.

Finn: Time frame?

Serena Kaye: They might have hit the market as early as last night.

Finn: These babies hot?

Castle: Like a supernova.

Serena isn't pleased by Castle's response.

Finn: Can’t help you.

Serena discreetly slides a bribe across the bar.

Finn: Well, you know, there was.. There was a guy… Who came my way a few days ago and…was real cagey-like. Tried to take my temp on a piece of art covered with a crapload of flawless D’s.

Serena Kaye: Hmm.

Finn: Yeah. Some sort of marble hand or something.

Serena Kaye: This guy. What’d he look like?

In the break room.

Esposito: Serena was right. Falco’s a badass. Look how fat his Interpol file is.

Esposito hands Beckett a file and they sit down at the table.

Esposito: He lifted a Renoir from Pushkin in ’96 and then a Monet in ’99, always using an ISI.

Beckett: Doesn’t look like Falco’s killed anybody before.

Esposito: First time for everything, I guess.

Beckett: Yeah, especially when Hayes stood between him and fifty million.

Esposito: Though, according to Interpol, Falco doesn’t steal for himself. He’s more of a gun for hire. Someone wants a Picasso? He boosts it for ‘em.

Beckett: Which gives us a second path to our killer. If we can’t find Falco, then we look for whoever hired him to steal The Fist.

A woman stands in the doorway.

Joy Mchugh: I’ll tell you who hired him. Anton McHugh. My son of a bitch husband.

In the interview room.

Joy Mchugh: The Fist belongs to me and Anton. We loaned it to the museum from our collection.

Beckett: Why would your husband steal it?

Joy Mchugh: To screw me over.

Esposito: Right, but you said that he owns it.

Joy Mchugh: He owns half of it.

Beckett: You were going through a divorce.

Joy Mchugh: Oh, we keep up appearances. Mostly because neither of us will give up the Fifth Avenue apartment. But this? This time Anton has hit a new low.

Beckett: So then, you’re fighting over the fist?

Joy Mchugh: I think it should stay in the museum. It’s a work of art. It should be enjoyed by the public.

Esposito: Right, but your husband’s not on board.

Joy Mchugh: There’s an understatement. At our last meeting with the divorce attorneys, he screamed at me that he would get The Fist back by any means necessary.

Beckett: Yeah, but saying that he wanted The Fist back doesn’t necessarily mean that he hired someone to steal it.

Joy Mchugh: Yes, it does. Because he’s tried to steal it before.

In the interrogation room.

Beckett: Mr. McHugh, a curious incident happened two weeks ago when The Fist of Capitalism was on its way to the museum. Two men claiming to be from the moving company tried to intercept it.

Anton Mchugh: My understand is that was a bit of a mix up.

Beckett: Now, there were no charges filed, but both men had long criminal histories.

Anton Mchugh: I had nothing to do with this. Never even so much as made contact with them.

Ryan: Interestingly, your divorce lawyer did. Made lots of phone calls to the men right before this mix up.

Beckett: Where’s Falco?

Anton Mchugh: Who?

Beckett: After your first failed attempt to steal The Fist you decided to hire a better class of thief. Unfortunately, he ended up killing Brian Hayes in the process.

Ryan: Which makes you an accessory to murder.

Anton Mchugh: What? You’re out of your mind. Wait a second. I’ll bet Joy’s behind this.

Beckett: Trust me, Mr. McHugh, your divorce is gonna be the least of your problems if you don’t tell us where Falco is.

Anton Mchugh: I never heard of any Falco and I didn’t take The Fist, all right? Truth is, I didn’t even want the damn thing. I just wanted Joy to think I wanted it.

Beckett: And why is that?

Anton Mchugh: I thought if I made Joy think it meant something to me, she’d give me the vineyard in Napa. Now that it’s gone, that bag of Botox is gonna clean me out.

Near the bullpen.

Ryan: So, what do you think? You believe him?

Beckett: Well, you know, either way we don’t have enough to subpoena McHugh’s financials to, uh…

Castle and Serena meet them.

Serena Kaye: Doesn’t look like Falco was working with McHugh.

Beckett: Well, who was he working with?

Castle: The museum’s director, Brian Hayes.

Beckett: Our victim?

Castle: A man matching Hayes’ description met with Serena’s contact a few days ago asking about D flawless diamonds.

Ryan: So, Hayes was in on the theft? He must have hired Falco to steal The Fist.

Castle: Yeah, only Falco decided to keep it.

Serena Kaye: So he murdered Hayes.
Beckett: If Hayes was a co-conspirator, that might lead us to Falco. Let’s take a look at his, uh, financials…

Ryan: The usual.

Beckett: Yeah.

Ryan: Yeah.

Serena Kaye: I’ll work some of my other sources, see if we can get a line on him.

Castle: Ooh! Another jaunt into Manhattan’s seedy underbelly? Count me in.

Beckett isn't pleased by this.

Serena Kaye: Sorry. No need for Guy Friday on this one. I’ll just be making phone calls, boring stuff. But I’ll catch you later?

Castle: Catch me any time.

Beckett turns around and rolls her eyes at their flirting. Castle smiles at the Serena's retreating figure, then turns to talk to Beckett.

Castle: Hey, it's…

Beckett's gone.

At Castle’s loft.

Martha: Really? An insurance investigator.

Castle: A sexy insurance investigator. I think she’d make a great character for my next book.

Martha: Well…you seem rather taken with her.

Castle: I find her… Impressive.

Martha: What’s she like?

At the therapist's office.

Beckett: She’s an uncooperative, cocky, stubborn, know it all.

Dr. Carter Burke: But she is good at her job?

Beckett: Yeah, well, Castle seems to think so.

Dr. Carter Burke: And that bothers you?

Beckett: Yes, of course it bothers me.

Dr. Carter Burke: Why?

Beckett: Because he’s supposed to be…

Beckett can't finish. She sits down on the chair arm and sighs.

Dr. Carter Burke: Be what?
Beckett: My partner? I mean, he’s supposed to be on my team. He’s not supposed to be all smitten.

At Castle’s loft.

Castle: “Smitten”? Mother, I think “intrigued” is a better word.

Martha: So, what’s our next move?

Castle: Move?

Martha: Oh Richard, honestly. Beckett has made it plain that she’s not available, for now. And now you’ve met this woman, she’s smart, she’s incredibly attractive, you’re intrigued by her, why not ask her out?

Castle: It’s… Complicated.

At the therapist's office.

Dr. Carter Burke: Why is it complicated?

Beckett: You know why it’s complicated.

Dr. Carter Burke: Only what you’ve told me. Kate…what are you really scared of? That he won’t wait for you? Or that he will?

Beckett ponders at her desk. Castle approaches her desk from the elevator. They meet as she gets up with a file.

Castle: Hey.

Beckett: Hey, I figured that you were with Serena.

Castle: No, she had a meeting with her bosses this morning.

Beckett: Oh, so you already saw her this morning.

Castle: No, she texted me… Oh… You thought that we were…

Beckett: Yeah, I mean, you know, it’s pretty obvious that she really likes you, so…

Castle: It is?

Beckett: Mm-hmm.

Castle: So then, you think I should…

Castle and Beckett look at each other uncertainly.

Castle: ... Pursue it?

Beckett tries to be indifferent about it.

Beckett: Y… You know, I mean, suit yourself.

Esposito enters carrying a file.

Esposito: Yo. That, uh, getaway van the thief used? It was dumped in an alley in Queens.

Beckett: Any prints?

Esposito: Nope, wiped clean. Very professional. But CSU did find traces of that hair gel on the headrest. They’re trying to ID the manufacturer.

Ryan enters carrying a file.

Ryan: Hey, Beckett! Got that stuff on Hayes. All during the past year the guy shelled out some major cash to pay for his mother’s long term care bills. Financially, the man was deep under water.

Castle: He probably thought The Fist was his only solution.

Ryan: They also found some suspicious e-mails on his laptop, stuff about the museum’s security system. Tech traced them to an anonymous account.

Castle: Falco knows how to cover his tracks.

Ryan: One of them mentions a meeting the day before the heist.

Beckett: So, if we can figure out where they met, it might lead us to Falco’s identity.

Ryan: I’m guessing it took place sometime between 12:00 and 2:00 PM, since that’s the only time Hayes left the museum.

Esposito: Wait a minute. I got something on his phone records for that day.

Esposito checks his file.

Esposito: 11:06 AM he made a one minute phone call to Escana’s Restaurant.

Castle: He was making reservations. How much you want to bet it was for two? Him and Falco.

At Escana’s restaurant.

Hostess: Sure. I remember Mr. Hayes. Three days ago. They sat in a corner booth.

Beckett: So, he was here with someone?

Hostess: Definitely. The two of them were having a real intense conversation.

Beckett: Do you remember what this person looked like?

Hostess: Uh, she was tall, blonde, gorgeous.

Beckett: Wait, Hayes was here with a woman?

Hostess: That’s right. She was in her 30s, but still really hot.

Castle: Wait a minute. Did she look like… This?

Castle shows her a photo on his phone.

Hostess: Yeah, that’s her.

Castle shows the photo to Beckett. It's a picture of Castle and Serena.

Beckett: It’s Serena. She’s our thief.

Beckett gives Castle a "serves you right" head tilt.

Near the bullpen.

Ryan: No, no, thank you…. Hey, just got off with the insurance company. Guess what Serena did before she worked for them?

Castle: Kindergarten teacher?

Esposito: Art thief.

Ryan: Alleged art thief.

Esposito: Whatever.

Ryan: Suspected of pulling off some major jobs between ’01 and ’06. Prado, Uffizi, Houston, but they could never pin anything on her.

Beckett: Well, how the hell did she end up working insurance?

Esposito: About five years ago, she went to the company, said she wanted to make good. Even told them where they were going wrong with their security.

Beckett: Let me guess, she suggested that they all work together.

Castle: Well, at least she’s consistent.

Beckett: And nostalgic. Looks like she’s back to her old tricks again.

Ryan: Only now she’s added a new one. Murder.

Beckett: That’s why she knew how the thief got into the museum. She was the thief.

Esposito: And then she partnered up with us to steer us to the mythical Falco.

Castle: She played me.

Beckett: Don’t worry, Castle, you’re not the only one.

Beckett smiles as she indicated Gates exiting her office.

Gates: She’s in on it?

Beckett: Uh… We’re not exactly sure, sir, but the evidence suggests…

Gates: I want her in custody, Detective. Now.

Beckett: Our case is circumstantial.

Gates: Get something concrete. I will not have this department publicly humiliated.
Beckett: Yes, sir.

Gates returns to her office.

Beckett: So, where is she now?

Castle: At her hotel.

Beckett gives him a look.

Castle: She invited me for a drink.

Esposito: Did she? Doesn’t look like she’s in a rush to leave town.

Castle: Well…

Castle indicates his handsome figure.

Beckett: Well then, we press our one advantage. She doesn’t know we’re on to her. So, we make a run at her without her finding out.

Ryan: How’re we going to do that?

Beckett: Simple.

Serena enters in a sexy red dress. In the hotel.

Beckett: Castle asks her out on a date.

Castle does a double-take on Serena.

Castle: I do?

Beckett: It’s what you wanted, isn’t it? All you have to do is keep her out of her room.

At the restaurant.

Beckett: And take her to the restaurant at the hotel. Then, just show her a good time. And while you keep her occupied...

A manager lets the cops into Serena's room.

Beckett:... We get into her room.

Castle: So, what am I doing on this date? Am I trying to...

In the hallway.

Castle:...trip her up? Get her to break?

Beckett: No, just stall her. Make some jokes. You know, small talk.

In the Skyline suite.

Beckett: The important thing is to keep her out of her hotel room so we can search it.

In the hallway.

Beckett: So, what do you say, Castle? Think you can charm her for an hour?

At the restaurant.

Castle: Are you serious?

Serena Kaye: Absolutely. I was gonna give you one more day.

Castle: And then you were gonna ask me out yourself?

Serena Kaye: Mm-hmm. Well, I’m a woman who believes in going after what she wants.

Castle: I can see that.

Serena Kaye: Besides, I hardly made it a secret that I was attracted to you, and I could tell you felt the same way about me.

Castle: Well, looks like neither one of us are very good at keeping secrets.

They toast.

Beckett is frustrated as she searches the dresser.

Esposito: Nothing so far. You find anything?

Beckett finds a drawer filled with sexy lingerie. She's not happy.

Beckett: No.

Esposito: Hm. You really want to nail this chick, don’t you?

Beckett: Yeah, well, it’s what we do, isn’t it? Catch bad guys?

Esposito: Yeah, but…seems like it might be about more than that.

Beckett: Just keep looking, ‘kay?

At the restaurant.

Castle: So, why chose to be an insurance investigator? It’s really not something most little girls aspire to be when they grow up.

Serena Kaye: It’s a…recent career change.

Castle: Really? What did you do before?

Serena Kaye: Actually, I was a thief.

Castle: Get out.

Serena Kaye: Well, that’s what the museums like to call me. I prefer to think of myself as an art retriever.

Castle: What’s the difference?

Serena Kaye: Well, the pieces I took had already been stolen from their rightful owners. Taken by Nazis, despots, governments. Just because a piece is in a museum doesn’t mean it belongs there.

Castle: Seriously?

Serena Kaye: I specialized in returning art to their rightful owners, starting with a small Rembrandt an SS Officer took from my grandfather.

Castle: So, you were kind of like the, uh, female Indiana Jones, only without the hat and whip.

Serena Kaye: Well, without the hat.

Castle pauses at that and Serena raises her eyebrows.

Castle: It’s getting hot in here.

Serena chuckles.

Beckett checks her phone and puts it down on the desk. She sits at the desk and checks a drawer. Esposito checks the closet. Beckett finds an iPad and finds a list. She raises an eyebrow.

Serena closes the menu that Castle is reading.

Serena Kaye: I have an idea. Why don’t we skip dessert?

Castle: Oh, well… What’s the rush? I hear the strawberry shortcake here is excellent.

Serena Kaye: Wouldn’t you rather come up to my room for a drink?

Castle: The, uh… Strawberries are supposed to be really fresh.

Serena Kaye: Well, great. We can order them from room service. With extra whipped cream.

Serena leaves. Castle gets up and texts Beckett "Get Out!!" before following.

Beckett looks over the iPad list.

Beckett: I think I found something.

Beckett gets up from the desk without reading the "GET OUT!!" message on her phone that's sitting on the desk. Beckett joins Esposito in the closet.

Beckett: It’s a message between Serena and a bunch of fences. Guess who’s trying to sell D flawless diamonds?

Esposito opens a flap in Serena's suitcase.

Esposito: I think I found something, too. The tools of the trade. As well as an ISI.

Castle and Serena walk down the corridor to Serena's room. Castle checks his phone behind Serena's back. The message from Beckett reads "Leaving now. Stall her."]

Serena Kaye: There it is. The Skyline Suite.

Beckett starts to emerge from the room and Castle tries to stop Serena from seeing by pushing Serena against the wall and kissing her. Beckett and Esposito exit and see them.

Beckett: Hey!

Castle pulls back and Serena sees Beckett and Esposito.

Serena Kaye: What? What are you doing here?

Castle wipes the red lipstick from his lips.

Beckett: Arresting you for theft. And murder.

Beckett is fuming. Serena looks at Castle.

At the precinct.

Beckett: Wait. So, now you’re telling me that you don’t believe she’s in on this?

Castle: Why would she tell me she’s a thief? Why offer that up?

Beckett: Because she’s feeding you just enough truth so that swallowing the lies is easier.

Castle: I don’t think she’s behind this.

Beckett: Yeah, well, you’re thinking with the wrong body part.

Castle: It was only a kiss. I was doing what you told me to keeping her occupied. I was trying to give you enough time so that you could search her room.

Beckett: Yes! The room! The room where we found the suitcase and the e-mail, which all stands as evidence against her right now.

Castle: I just think we should give her a chance to explain.

Beckett: We? No. There is no way we’re going in on the interrogation together.

Castle: Oh, come on!

Beckett: I’m sorry, Castle. But right now, based on this conversation and your behaviour in that hotel, it is obvious that you have been compromised.

Castle: I was only doing!

The interrogation room door slams in his face.

Castle: … What you asked!

Castle turns away from the door then turns back around and makes a strangling motion. He pulls down his suit coat as he enters Observation.

In the observation/interrogation room. Ryan and Esposito look at Castle.

Castle: I thought I’d sit this one out.

Esposito nods "Uh-huh." Ryan moves over some files for Castle to have a seat on the desk.

Beckett: I gotta hand it to you. This whole long con you’ve got going? It’s impressive. Cozying up to insurance companies, telling them that you want to go straight, all the while waiting for your next score.

Serena Kaye: What are you talking about?

Beckett: The only catch was that you knew you needed Hayes, but you knew you couldn’t get away with it if you let him live. So, you insinuated yourself into my investigation to cover your tracks.

Serena Kaye: And here I thought Rick was the only writer on your team.

Ryan: Rick? You guys on a first name basis, now?

Esposito: Well, he was making out with her in the hotel hallway.

Castle: Beckett told me to stall her.

Esposito: She also tell you to use tongue?

Beckett: I don’t need to spin stories. I’ve got you meeting Brian Hayes the day before the heist.

Serena Kaye: Yes, to go over security for the gala. He was concerned.

Beckett: Concerned? He was involved.

Serena Kaye: I didn’t know that it was all an act at the time.

Beckett: If that meeting was so innocent, then why didn’t you tell us about it before?

Serena Kaye: Because it’s not like I’m particularly proud of the fact that I didn’t figure out what he was up to. If I had, then the sculpture wouldn’t be stolen and he might still be alive.

Ryan: Man, she’s really selling the whole “thief with a heart of gold” act.

Castle: Maybe it’s not an act.

Esposito: She is being really calm in there.

Ryan: Yeah, like, strangely calm. Maybe she didn’t do it. Either that, or she’s a psychopath. In which case, you sure can pick ‘em.

Beckett: We found the tools that you used to break into the museum: the rope, grappling hook, lock picks.

Serena Kaye: I specialize in recovery. The insurance companies don’t care how I get the pieces back, just that I do.

Beckett: So, basically you’re still a thief.

Serena Kaye: Recovery, not theft.

Beckett: And what part of recovery involves trying to sell D flawless diamonds on the black market?

Serena Kaye: Falco may try to move those stones. I was trying to flush out his possible fences. Listen, I’ve done my homework on you, Detective. I know that you’re a smart, methodical cop with great instincts. And those instincts are telling you right now that I’m innocent. For some reason, you’re ignoring them. Why is that?

Beckett tries to keep a straight face as that remark hits home.

Beckett: Ms. Kaye, your job is “recovery”, as you call it. My job is to solve this homicide.

Serena Kaye: Then why don’t you put aside your personal agenda and ask me for my alibi so we can move on with this investigation. For the record, I was in a business meeting with one of my bosses when I got the call. If you want to check.

Beckett: If you’re telling the truth, then why have you been going behind our backs?

Serena Kaye: Because in my experience the police just get in the way. My job’s to recover the sculpture, not play nice. But you’re right. I’ve been treating this like a regular case, and it’s not. So, I promise, from here on out, no more secrets.

Beckett: That won’t be necessary. We won’t be working together anymore.

Serena Kaye: Would it change your mind if I told you I know who Falco is?

Serena sets up the video player.

Serena Kaye: What you’re watching right now is security footage from the museum exhibit from two weeks ago.

Beckett: You stole Hayes’ flash drive? That’s why it went missing?

Castle: Remember, you’re trying to get us to trust you.
Serena Kaye: At least I meant it when I kissed you. It wouldn’t have done you any good. You wouldn’t know what to look for. You see that guy right there?

Serena pauses the video and points out the man looking at The Fist.

Serena Kaye: He’s casing the joint.

Castle: How can you tell?

Serena Kaye: Trust me, I can tell.

Beckett: So, you’re saying that’s…

Serena Kaye: Falco.

Beckett: Well, why didn’t you tell us this before?

Serena Kaye: Well, I just didn’t get a chance to show you.

Beckett: I guess you were busy.

Castle: Okay, okay. Perhaps we can just focus on getting this guy.

Beckett: Well, how’s this supposed to help? We don’t even know his real name. Well, the only thing we can do is send photos out to TSA and put out an APB. Otherwise, without more information it’s not gonna do us any good.

Esposito enters.

Esposito: What if I could tell you which hotel he was staying at? The gel in the vents and on the headrest of the van? CSU identified it as a proprietary formula made exclusively for the Wessex Hotel.

Castle: There’s only one in the city.

Beckett: Let’s get the photos out to the hotel employees. If one of them recognizes him, we got him.

Esposito: Right on.

Ryan, Esposito, and three S.W.A.T. members stand in the elevator with a hotel manager.

In the Wessex Hotel room.

S.W.A.T. 1: NYPD!

S.W.A.T. 2: NYPD! Hands in the air!

Holt is startled from his sleep.

Esposito: Hello, Falco.

In the interrogation room.

William Holt: Falco? I’ve got no idea what you’re talking about. My name is Holt. William Holt.

Beckett: Yes, William Holt. British passport, you just got into town two weeks ago. You also happened to be in Bilbao ten years ago when the Pissarro went missing. And then in Berlin fifteen years ago when that El Greco disappeared.

William Holt: Don’t know anything about that.

Beckett: Drop the act, Falco. Got a video of you casing the museum two weeks ago.

Beckett shows Holt a print out of the video shot.

Beckett: That is you, isn’t it?

William Holt: Whenever I come to a new town I always take time out to admire the city’s treasures. Is that a crime?

Castle: No. No, but sneaking back in and stealing them is.

Beckett: Look familiar?

Beckett slaps an evidence bag down on the table.

Beckett: It was used to disarm the security systems in the museum. They also found matching ones in Bilbao and Berlin.

William Holt: If you say so. I, for one, have never seen anything like that.

Beckett: The hotel that you’re staying at, it’s nice, isn’t it? They even have their very own exclusive hair products.

Castle: Hair products that left a trace in the air duct system. And by the way, uh… Hair gel? Not very manly.

Beckett gives Castle a sidelong look.

William Holt: Hundreds of people are staying at my hotel. And I’m pretty sure you didn’t find prints on that

Holt points to the ISI.

William Holt: So, what exactly were you planning to book me on?

Beckett is disconcerted that Holt pointed out their weakness.

William Holt: This Falco person you’re chasing? Are you sure he’s your guy? From what I know about him, he’s no murderer. He may not be as involved as you think.

In the observation room.

Serena Kaye: He’s trying to tell us something.

Beckett: Yeah, to politely go to hell.

Serena Kaye: No, he went out of his way to tell us he’s not the murderer.

Beckett: Well, most people do that in the room. CSU come back with anything from the hotel?

Ryan: Nothing. No equipment, no Fist.

Castle: What are you thinking?

Serena Kaye: He knows something. But he can’t tell us without admitting he was there. Let me talk to him.

Beckett: You’re kidding, right? He’s a suspect and you’re not even a cop.

Serena Kaye: No, I’m a thief. Like him. He’ll talk to me.

A uniform escorts Holt into the room and closes the door, leaving him with Serena in her foxy red dress.

William Holt: Whoa. Bad cop struck out, good cop gets a turn?

Serena Kaye: I’m not a cop.

William Holt: Well then, who are you?

Serena saunters up to Holt.

Serena Kaye: Mm, that depends on who you ask. I’m Der Geist in Zurich, Pantera in Spain. Police Nationale know me as Gaston. But you…probably know me as… Jackal.

William Holt: The Prado? ’07? Are you saying that was you?

Serena Kaye: Mm-hmm.

William Holt: How'd you get by the sound sensors?

Serena Kaye: I had the Russian build me a wave cancellation box. Heard he built one for you for the Boston job?

William Holt: That’s no easy exit, Prado. How did you get the piece out?

Serena Kaye: Hmm. The guard was so busy checking out my assets that he didn’t notice me cut the trip wire on the Goya’s back. I came in later on the skyline and whipped it right out.

William Holt: I’ll be damned.

Holt joins Serena on the couch.

William Holt: But now you’re here, working with the cops. So, you must have got caught.

Serena Kaye: Mm, I got smart. One day you realize that you, or someone else, is going to get hurt.

William Holt: I didn’t kill him.

Serena Kaye: But you were there.

Castle watches Serena and Holt through the glass.

Castle: Think she’ll get him to talk?

Beckett: Who knows, Castle? Maybe she’ll kiss it out of him.

Castle sighs that she won't let him live that down.

In the interview room.

William Holt: I wasn’t hired to steal The Fist. My contact told me that I was being paid to test their security for vulnerabilities. I was to break in, disable the alarm, and walk out undetected all before 10:00 PM. And for my trouble I got two-hundred grand in advance.

Serena Kaye: Who hired you?

William Holt: Oh, church and state, love. Everything goes through a third party, you know that. Safer that way.

Serena Kaye: Mm, yeah, until you get set up. The real thief needed you to disable the alarms.

William Holt: Yeah, apparently.

Serena Kaye: What’d you see?

William Holt: Nothing at first. I mean, it all went too easy. I got halfway back to the loading bay when it hit me. I mean, I’d already disabled the alarms, right? And it was just… Sitting there.

Serena Kaye: You went back for The Fist?

William Holt: Well, it’s an awful lot of temptation, fifty mil. When I got back to the room, there was a woman walking toward The Fist. So, I got the bloody hell out of there.

Serena Kaye: This woman, what’d she look like?

William Holt: I barely got a glimpse. All I can say for sure is… She was wearing a black dress.

In the break room.

Serena Kaye: Come on, Beckett. He’s got no reason to lie.

Beckett: He’s a thief. He’s got plenty of reasons to lie.
Serena Kaye: Not about this. He knows you’ve got nothing on him. All he had to do is wait and you’d have to release him.

Castle: If Falco is telling the truth, then with Hayes’ money trouble, the two-hundred thousand dollar payment to Falco rules him out.
Beckett: Well then, why would he go to the bar asking about fencing diamonds?

Serena Kaye: Because he was paranoid someone was trying to steal The Fist.

Castle: Not paranoid. Right. Which means our killer’s probably whomever Falco saw going into the room with The Fist.

Serena Kaye: And when Hayes got in the way, she spiked him.

Beckett: Did he say anything about what the woman looked like?

Serena Kaye: Just that she was wearing a black dress.

Beckett: There were over 200 people at that gala and half of those women were wearing black.

Serena Kaye: And more importantly, if she didn’t leave by the loading dock then how did she get The Fist out of the museum?

Beckett: Yeah. How did she?

In the Cosmopolitan Art Museum.

Castle: She waits for Falco to finish disabling the system and then she comes in through the gala.

Beckett: And with the alarm system deactivated, she grabs The Fist. But Hayes is paranoid about security, so he comes in to check on the exhibit. He catches her and she’s forced to kill him.

Serena Kaye: Now she’s in a hurry to leave before someone discovers her with The Fist and a body.

Castle: Ah, but she can’t take it out through the gala without being spotted.

Beckett: And she can’t take it through the loading bay without one of the catering staff noticing her dressed in black.

Serena Kaye: Well, those are the only two exits. And both of those choices leave too much to chance. She would have easily gotten caught.

Castle looks at the TV artwork.

Beckett: So, she can’t take it through the gala and she can’t take it through the loading bay. How the hell did she get it out of here?

Castle: Maybe she didn’t.

Beckett: What do you mean?

Castle: What I mean is…

Castle kicks in a box in the TV art display.

Myrna Ramsey: What are you doing?!

Castle: It never left the museum.

The Fist is inside the TV.

Myrna Ramsey: Mr. Castle!

Castle: Looks like I broke this case wide open.

Beckett smiles a little. Serena smiles and shakes her head. Castle is overly pleased with himself.

Alyssa enters

Alyssa Lofters: You needed to see me, Detective?

Beckett: Yes. We need to talk to you about your installation.

Alyssa sees the box that Castle kicked in.

Alyssa Lofters: Oh, my god, what happened?

Castle: It’s a new interpretation I’m working on. I call it “Busted”.

Alyssa Lofters: It’s ruined! Who the hell did this?

Beckett: More to the point, who put The Fist in it?

Alyssa Lofters: The Fist was inside it?

Castle: That way, the thief didn’t have to worry about smuggling it out. She just could simply rejoin the party.

Alyssa Lofters: She?

Beckett: We know that whoever stole The Fist was a woman wearing a black dress, the same woman that killed Mr. Hayes.

Castle: If I remember correctly, you were wearing a black dress that night.

Alyssa Lofters: So was every woman in here.

Castle: Yes, but only one of them knew that there was a compartment inside that piece nearby. It was a perfect plan… Until Brian Hayes showed up and saw you.

Alyssa Lofters: It… It wasn’t me. I swear.

Beckett: You mean it wasn’t just you. You didn’t have the money to pay Falco, but you did use your position to place the piece in the exhibit.

Alyssa Lofters: I didn’t place anything. My piece was selected by the board, just like all of the art in here.

Castle: Yes, and when the exhibit was done, it would come back to you, only worth about fifty million more.

Alyssa Lofters: No, it wasn’t coming back to me. I sold it last week. It was going to... Oh my god.

In the interrogation room.

Joy Mchugh: I found Alyssa’s work compelling. I’m not sure why I’m having to justify my taste in art.
Beckett: Because this particular piece just happened to have a bronze Fist in it.

Joy Mchugh: You found my Fist.

Beckett: Yes, right where you put it. You know, right about now is where you should be thinking about whether pushing Hayes was an accident or not, because that’s gonna make a 30 year difference in your prison sentence.

Joy Mchugh: You think I did that to Brian Hayes?

Beckett: Now, we’ve obtained a warrant for your financials, and we will find evidence of the two-hundred thousand dollars you paid to William Holt, also known as Falco, to disable security at the museum.

Joy Mchugh: I’m sorry, dear, you’ve lost me.

Beckett: CSU found your fingerprints all over The Fist.

Joy Mchugh: Of course they did. It belongs to me.

Beckett: Bloody fingerprints. His blood. Your prints. It’s over. You killed a man, Mrs. McHugh.

Joy Mchugh: You don’t understand. My husband was going to take it away. I just took what was rightfully mine. Brian Hayes showed up out of nowhere. He saw me with The Fist in my hands. What was I supposed to do?

Beckett: You know what’s ironic? Your husband would have let you have The Fist. He didn’t even want it.

Beckett walks with Serena.

Beckett: The D.A. said that her husband called several times begging to testify against her.

Serena Kaye: When can I collect The Fist? The insurance company’s asking.

Beckett: Oh, well it’s in evidence. Once the case is resolved, they’ll release it.

They stop at Beckett's desk.

Serena Kaye: I want to thank you. I couldn’t have done this without you. I’m really grateful.

Beckett: So, does that mean you’re cutting me in on the finder’s fee?

Serena Kaye: I’m not that grateful.

Beckett: Well, I, uh…

Beckett looks at Castle in the break room window making espresso.

Beckett: I think we all ended up with what we wanted.

Serena Kaye: Yeah.

Beckett: Um, you know… After you and Castle went on that date…

Serena Kaye: More like a sting.

Beckett: He...never thought that you were involved.

Serena Kaye: Hm.

Beckett: He believed in you, even when I didn’t.

Serena Kaye: Why are you telling me this?

Beckett: I just, I… I think that you should know what kind of person you’re dealing with.

Castle: Here we are, ladies.

Castle hands both of them a cup of coffee.

Beckett: Thank you.

Serena Kaye: Thank you.

There's an awkward silence.

Castle: Anything wrong?
Beckett: Uh, no. I should, I’m… Just gonna go and file some stuff.

Beckett leaves.

Serena Kaye: Uh, and I’m… I’m going to go back to my hotel. I would ask you to come, but… It’s like I said. I don’t steal things that belong to someone else.

Serena kisses Castle’s cheek and exits. Beckett returns and is surprised to see Castle.

Beckett: You guys didn’t go out?

Castle: No.

Beckett: Why?

Castle: Because I can’t afford it. The museum just slapped me with a bill for the exhibit I broke.

Castle opens a piece of paper and Beckett reads it.

Beckett: Whoa!

Castle: I know! You’d think they’d cut me some slack after the whole helping-to-solve-the-murder thing.

Beckett: I guess the least the NYPD can do is take you out for a hamburger.

Castle: I accept.

Beckett: Let’s go.

Beckett and Castle walk across the bullpen.

Castle: Put Alexis through college on this.

Beckett: Yeah, and med school.

Castle: Thank god I’m rich.

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Supersympa  (22.11.2019 à 22:03)

Serena m'imsupporte. Elle est sacrément prétentieuse.

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billy 
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Emmalyne 
friends76 
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