403 Casse-tête
[Dans la rue une camionnette par à toute vitesse et on voit une grosse flaque de sang]
[Lost des Castle : Castle, Martha et Alexis]
Castle : Yes !
Martha : On peut savoir ce qui t’excite autant?
Castle : Le dernier numéro du magazine « Sky Mall ». Quel bonheur.
Martha : Franchement chérie comment peut-on s’abonner à « Sky Mall » ? Ca ne te suffit pas de lire ce torchon dans l’avion.
Castle : Ce torchon ? Laisse-moi t’expliquer une chose, mère. Ce magazine est la vitrine des nouvelles inventions les plus cool. A par là-dedans où peux-tu trouver une télécommande ouvre bouteille… [S’arrêtant brusquement]
Martha : Quoi ?
Castle : [Regardant une lettre] Je crois que c’est la réponse de Stanford pour la candidature d’Alexis.
Martha : Oh trésor. Ça va aller ?
Castle : Oui, seulement tout deviens si réelle. Elle a grandi tellement vite.
Martha : Qu’est-ce que tu espérais ? Qu’elle vive ici jusqu’à la fin de sa vie ?
Castle : Elle oui. Toi, en revanche… Ggrr
Martha : Ggrr. Attention !
Alexis : C’est le courrier ?
Castle : Oui, tu as reçu une lettre d’un certain monsieur Stanford, ça te dit quelque chose.
[Alexis se précipite pour l’ouvrir, elle lit, les deux autres attendent avec impatience]
Martha : Alors, chérie ?
Alexis : [Déçu] Je suis refusée !
Castle : Quoi ?
Martha : Oh mon cœur, je suis tellement navrée pour toi !
Alexis : J’avais déjà choisi tous mes cours. J’ai même achetée des tees shirt. J’avais tout planifiée !
[Dans la rue : Castle, Beckett, Lanie, Ryan et Esposito]
Castle : Comment on-t-il pu ne pas l’accepter ? Elle est parfaite.
Beckett : La semaine dernière vous ne vouliez pas qu’elle y aille !
Castle : Oui mais je ne voulais pas qu’elle soit refusé. D’ailleurs j’étais persuadé qu’elle allait être admisse. Vous vous l’avez été !
Beckett : Aujourd’hui je serais refusée. Enfin bref, mettez votre petit égaux de côté parce qu’elle est surement dévasté.
Castle : En fait pour le moment elle est dans le déni. Quand je suis parti elle était au téléphone en train d’expliquer aux admissions qu’il avait fait une erreur.
[Arrivant sur la scène de crime]
Beckett : Où est le corps ?
Lanie : Alors ça c’est une excellente question !
Beckett : Comment ça, il n’y a pas de corps ?
Lanie : Non il y a seulement énormément de sang. La victime à qui il appartient n’a aucune chance d’avoir survécu.
Castle : Mais alors où est-elle passée ?
Lanie : C’est vous qui sortez toujours des théories tordu.
Castle : Un mort-vivant ?
Lanie : Mais il y a des signes montant que le corps a été déplacé.
Ryan : [Arrivant] Et je pense savoir par qui. Des témoins ont vus une camionnette blanche quitter les lieux à toute vitesse juste après 7h du matin.
Beckett : Ils ont pu apercevoir la personne au volant ?
Ryan : Non mais des unités cherche d’autre témoin et vérifie les caméras de sécurité dans un rayon de 5 pâtes de maison.
Beckett : Il y a des traces de pneu. Que la scientifique fasse un moulage, on pourra peut-être obtenir la marque et le model.
Castle : Il y a 2 tailles d’empreinte de pas, donc ils étaient au moins deux.
Beckett : Oui mais les empreintes sont lisses, c’est bizarre.
Lanie : Ils devaient portés des chaussons stériles.
Castle: Un corps disparu, des tueurs qui s’appliquent à couvrir leurs traces. Il n’y a pas de doute, c’est forcément l’œuvre d’un commando spécial.
Ryan : Ne me dite pas que vous pensez que c’est une opération spéciale secrète du gouvernement ?
Castle : Ce n’est pas moi qui le dis, ce sont les preuves qui le disent. Je paris que le corps est dans l’océan à l’heure qu’il est.
Beckett : Lanie, il y a une trace dans le sang !
Lanie : Oui, on dirait une boite ou une mallette !
Beckett : Ca appartenait peut-être à notre victime ?
Castle : Une valise contenant des codes nucléaires !
Beckett : Ryan, il y a un genre de motif. Regarde si la scientifique peut l’identifié. [Il soupire] Ça te pose un problème ?
Ryan : Euh non, pas du tout désolé. C’est juste ce mot là, motif, avec Jenny on prépare notre mariage alors il fait choisir des motifs pour tout. La porcelaine, l’argenterie, la vaisselle, les draps, sans oublier… [S’arrêtant en voyant le regard des autres] la scientifique pour le motif. [Partant]
Esposito : [Arrivant] Beckett, je pense avoir trouvé la cause de la mort.
Castle : Vous voulez dire à part l’énorme hémorragie.
Esposito : Des coups de feu, des voisins ont entendu 2 tires à 6h40 ce matin.
Beckett : 6h40 t’en ai sur ?
Esposito : Oui pourquoi ?
Beckett : Parce que des témoins ont vu une camionnette blanche s’enfuir à 7h du matin.
Esposito : Quel tueur attendrait que sa victime se vide de son sang pour ensuite emmener son corps ?
Castle : Je suppose que ça élimine d’office notre commando spécial.
[Au poste : Gates, Beckett, Castle, Ryan et Esposito]
Gates : Notre meilleure piste, c’est une trace dans le sang ?
Beckett : D’après les empreintes de couture, le labo a trouvé la marque de la mallette. Il s’agit d’un modèle de luxe vendu uniquement dans 2 boutiques à New-York, ils nous envois la liste de leurs clients.
Gates : Et bah, vous n’êtes pas arrivés.
Beckett : On attend l’analyse des pneus et le lieutenant Ryan passe en revue les vidéos de plus de 50 caméras de sécurité dans le but de trouver la camionnette.
Gates : Et la victime, vous penser pouvoir l’identifié ?
Beckett : D’après le sang sur place, le docteur Parish dit que la victime est un homme. Donc on vérifie si des hommes n’ont pas disparu dans ce quartier.
Gates : Des hommes ? Vous avez réduit le champ des recherches aux hommes ?
Beckett : Et bien…
Castle : Et bien puisque nous sommes à New-York, ça élimine déjà 4 millions de femmes, alors…
Gates : Monsieur Castle, je ne sais pas ce que le maire vous trouve, mais je sais que vous avez un point commun. Son mandat a duré limité. [Partant]
Castle : Peut-être que si je lui envoyais des fleurs ?
Beckett : Non. Non.
Castle : Je me demandais une chose. Une enquête sans corps, ça doit être nouveau pour vous ?
Beckett : Oh vous savez il y a déjà eu des affaires de meurtre dans lesquels les autorités non jamais retrouver les corps.
Castle : Oui mais c’était des cas ou on connaissait l’identité de la victime. Un père disparait pendant une partie de pêche et la police retrouve du sang dans le garage de la maison familiale. Par où commence-t-on quand on ignore qui est la victime ?
Beckett : Disons… Et bien on commence par… [Ne sachant pas comment continuer]
Castle : Faut-il vraiment qu’on retrouve le corps ?
Beckett : Ouais. On a pas le choix !
Ryan : [Arrivant] Je vais peut-être pouvoir vous aider. Une caméra de sécurité près de la ruelle a filmé 3 camionnettes correspondant à la description des témoins. 2 Astros et une Econoline.
Esposito : C’est l’Econoline, l’analyse des traces de pneus vient de remonter.
Beckett : On a les plaques ?
Ryan : Oui l’Econoline est enregistré au nom de PW storage. C’est à 6 pâtes de maison de notre lieu du crime.
Beckett : D’accord allons-y !
[A PW Storage : Ryan, Esposito, Beckett et Castle]
Ryan : C’est les bonnes plaques ! [Ils descendent tous de voiture et il vérifie la camionnette] Beckett ! [Lui montant le sang] La porte !
[Ils rentrent dans le bâtiment arme au point]
Esposito : [Chuchotant] Par ici ! [Ouvrant une porte]
Beckett : Oui va y !
Esposito : C’est quoi ce truc ! [Trouvant d’énorme tube métallique relié à des tuyaux]
Ryan : Il y a quoi là-dedans ?
Castle : Aucune idée… mais si on se base sur la taille de ces tubes on pourrait presque s’attendre à trouver des humains… [Criant en découvrant un visage] Oh mon dieu ! Il y a des humains, il y a des humains !
Ryan : Ils ont l’air congelé !
Beckett : Non mais on est tombé où ?
[Générique]
Ryan : C’est qui tous ces gens ?
Castle : Je suis le seul à avoir envie de sortir dans la rue et de courir en hurlant, « Ils sont là » ?
Beckett : [Au téléphone] Oui, ici le lieutenant Beckett, j’ai besoin d’une équipe de la scientifique…
Esposito : [L’interrompant] Ca bouge. Ça bouge à 10h.
[Ils partent dans la direction arme au point]
Esposito : Police de New-York !
Ryan : Police de New-York, main en évidence !
Esposito : Lever les mains en l’air !
Ryan : Immédiatement. Compris !
Esposito : Tournez-vous !
Infirmier : On fait seulement notre travail.
Beckett : Tuer et congeler des gens vous appeler ça un travail ?
Infirmier : Non il était déjà mort quand on est arrivé pour le prendre. On travaille pour « passage way », une société de cryogénisation.
Castle : De la cryogénie. D’où la pièce rempli de bâtonnet de personne glacé !
Infirmier2 : Ils ont tous signé un contrat avec nous. On les cryo-conserve.
Castle : Pour les ramener à la vie dans un avenir de science-fiction, ou la mort ne sera plus un soucie.
Ryan : Ils peuvent me mette la dedans jusqu’au mariage ?
Beckett : Comment vous avez su qu’il était mort aussi vite ?
Infirmier2 : Il portait une montre biométrique avec contrôle du pouls et GPS intégrer. Dès qu’un de nos clients meurt, on est prévenu immédiatement. Et pour lui on est arrivé en 15min.
Esposito : Ca explique le problème de chronologie.
Beckett : Même si vous dites la vérité, à quoi pensiez vous quand vous avez déplacé la victime d’un meurtre ? Pourquoi vous n’avez pas appelé la police ?
Infirmier : On ne pouvait pas attendre. En cryogénie, chaque minute compte. On devait le congeler le plus vite possible afin de maintenir son cerveau en vie.
Beckett : Son cerveau n’est pas en vie. Il est mort, tout comme lui !
Weiss : C’est une question de point de vue. Docteur Ari Weiss président de « Passage Way » et voici mon avocat, maitre Johnny Rosen, je suppose que vous avez un tas de question ?
Beckett : Oui, à commencer par qui est la victime que vous avez prise sur les lieux du crime ?
Weiss : Il s’appelait Lester Hamilton. Un professeur de biologie de l’université d’Hudson.
Beckett : [A Esposito] Tu peux vérifier ça ?
Esposito : Je m’en occupe !
Weiss : Il s’avère que c’était aussi un ancien ami de la fac de médecine d’Harvard. Quelle ironie qu’il soit mort si jeune.
Castle : Pour quelle raison ?
Weiss : Il menait des recherches avant gardiste qui portait sur des techniques de prolongement de la vie.
Castle : Apparemment ça ne lui a pas été d’un grand secours. [Gêner] Il travaillait avec vous ?
Weiss : Non. Lester se concentrait sur l’allongement de la vie avant la mort. J’ai créé « Passage Way » dans le but de préserver l’espoir d’une vie futur après la mort.
Castle : Est-ce que vous avez des célébrités congelées ? Ted Williams ? Jack Frost ?
Weiss : Nous ne parlons pas de nos clients.
Beckett : Et bien celui-là vous aller devoir en parler. Lester Hamilton a été abattu et mon médecin légiste emportera son corps à la minute où il arrivera.
Rosen : Lieutenant notre client, le professeur Hamilton a signé un contrat avec « Passage Way » dans le but que son corps soit cryo-conserver après sa mort. Alors sans mandat il n’ira nulle part. Toute tentative pour le faire quitter les lieux consisterait à un acte délictuel et nous serions obligés de vous poursuivre en justice, vous et la police de New-York.
Beckett : [Au téléphone] Oui j’ai compris ! [Raccrochant] Le procureur ne nous aidera pas, il dit que cette affaire pue la jurisprudence.
Castle : Et il a raison. Un chercheur, sur le prolongement de la vie, est assassiné et une société de cryogénisation débarque et subtilise son corps. On est en présence de tous les éléments laissant penser à une vaste conspiration.
Beckett : Je me demande comment je vais pouvoir expliquer ça à Gates !
[Bureau de Gates : Gates, Beckett et Ryan]
Gates : Ils nous volent votre victime et ils menacent de nous poursuivre ?
Beckett : Chef c’est le problème de la poule et de l’œuf, mais au niveau légal. Comme le corps d’Hamilton est sur une propriété, on ne peut pas l’obtenir sans un mandat, mais on en aura jamais étant donné que sans corps, on ne peut même pas prouver qu’il a été abattu.
Gates : Vous récitez le petit discours de leurs avocats ?
Beckett : Non chef, ma mère était avocate. Faite-moi confiance c’est l’argument qu’ils nous balancerons.
Gates : Très bien alors dans ce cas où on en ait ?
Beckett : Selon les employer de « Passage Way » Hamilton a reçu que 2 balles dans la poitrine. Ils nous ont rendu ces vêtements et d’après les trous dans sa chemise, on dirait qu’on a à faire à un gros calibre. Son portefeuille était toujours rempli donc c’est pas un vol qui a mal tourné.
Gates : Et en ce qui concerne la mallette ?
Beckett : Les employés ont dit qu’il n’y avait pas de mallette sur les lieux. J’ai appelé la femme d’Hamilton, elle est persuadée que son mari avait une mallette en quittant l’appartement ce matin. Elle est en chemin avec un certain… Docteur Philip Boyd. Un confrère de monsieur Hamilton.
[Ryan frappe à la porte]
Gates : Oui ?
Ryan : Le bureau d’Hamilton à la fac d’Hudson a été cambriolé il y a 3 jours et son ordinateur a été détruit. La sécurité n’a pas trouvé le coupable.
Gates : Allez vérifier si la police du campus n’est pas passée à côté d’un élément. [Il part]
Beckett : Quelqu’un était prêt a tué pour quelque chose dans ce bureau et dans cette mallette.
Gates : Alors retrouvez moi ce que c’est et arrangez-vous pour que sa femme nous procure le corps.
Beckett : Oui, chef !
[Salle des familles : Cynthia Hamilton, Boyd et Beckett]
Cynthia : Je ne peux pas faire ça. Je dois respecter ces dernières volontés.
Beckett : Madame Hamilton vous réaliser que sans le corps de votre mari nous ne pourrons peut-être pas résoudre son meurtre ?
Cynthia : Si la préservation est interrompue, il ne pourra plus jamais être ramené à la vie.
Beckett : Avec tout le respect que je vous dois, il ne sera jamais ramener à la vie.
Boyd : Lester ne serait pas d’accord avec vous. Nous avons été confrère à l’université d’Hudson pendant 20 ans et il croyait en ce qu’il faisait. Pour lui la clé de l’allongement de la vie et de l’inversement du processus de la mort était à porter de main, alors il n’aurait jamais abandonné sa chance de ressuscité.
Cynthia : Vous savez pourquoi il avait choisi de décider de travailler sur l’allongement de la vie ? [Beckett fait non de la tête] Lorsqu’on est tombé fou amoureux l’un de l’autre, il m’a dit qu’une vie côte à côte ce n’était pas suffisant. [Castle regarde Beckett] Il voulait plus que ça et moi aussi.
Beckett : Madame Hamilton, nous pensons que la personne qui a été votre mari pourrait avoir volé sa mallette. Savez-vous ce qu’il y avait à l’intérieur ?
Cynthia : Ses recherches, pour le projet Ambroisie. Ils les gardaient toujours avec lui.
Castle : Ambroisie ? Comme la nourriture qui rendait les Dieu Grec immortel dans la mythologie ?
[Madame Hamilton acquiesce]
Beckett : Et en quoi consistait le projet Ambroisie au juste ?
Cynthia : Philip comment tu pourrais leur expliquer ?
Boyd : Ce n’est pas vraiment mon domaine de compétence, mais Lester développait un implant médical qui obligerait le corps à produire des cellules jeunes afin de remplacer les cellules âgées. Il croyait être en mesure de prolonger la vie humaine d’à peu près 10 ans.
Castle : Un tel traitement rapporterait une fortune à un laboratoire pharmaceutique.
Boyd : Des milliards, mais c’est Beau Randolph qui aurait touché le vrai pactole.
Beckett : Beau Randolph, le type qui a créé « les étudiantes de fac en chaleur » ?
Castle : [Surpris] Comment… Comment un mania du porno a atterri là-dedans ?
Boyd : Les chercheurs prennent leurs financements là où ils le trouvent. Randolph a gagné beaucoup d’argent dans le porno et maintenant il se considère comme un investisseur en capital risque, c’est lui qui finance les recherche de Lester.
Cynthia : Qui finançait. Lester a mis fin à leurs collaboration.
Beckett : Pour quelle raison ?
Cynthia : Lester voulait continuer ses travaux en open source. C’est-à-dire, publier ses recherches sur le net et les développés avec ses paires, afin d’accélérer le processus.
Castle : Et de cette façon personne ne pourrait faire breveter ses résultats.
Beckett : Comment Randolph a pris la nouvelle ?
Cynthia : Ils ont eu une énorme dispute, mais Lester est resté très ferme. D’ailleurs il était censé mettre en ligne les résultats du projet aujourd’hui.
Beckett : A quand remonte la dispute entre votre mari et Randolph ?
Cynthia : C’était il y a 3 jours.
Castle : Ca coïncide avec le cambriolage de son bureau à la fac.
Cynthia : Beau Randolph est quelqu’un de répugnant, j’en conviens, mais vous croyez vraiment…
Beckett : Je crois que la perte de plusieurs milliard de dollars est un bon mobile de meurtre.
[Devant le tableau blanc : Ryan, Beckett, Castle et Esposito]
Ryan : Non seulement Beau Randolph est l’heureux propriétaire d’un Smith & Wesson 45 automatique.
Beckett : Ce qui peut tout à faire corresponde au calibre qui a infligé les blessures de notre victime.
Ryan : Mais en plus il a un permis de port d’arme.
Castle : Quoi ? J’ai jamais pu en avoir un ! Comment il a fait pour en avoir un ?
Ryan : Il a morflé. Plusieurs types ont vus leurs copine dans ces films et lui ont mis une raclé !
Castle : Je ne suis plus jaloux.
Beckett : Son arme ne le relie pas au meurtre.
Esposito : [Arrivant] En effet mais ça, ça pourrait nous aider. C’est le relever bancaire de notre victime, à 6h30 ce matin, il s’est payé un petit déj Au médusa. J’ai parlé avec la serveuse et deviné avec qui il était ?
Beckett : Beau Randolph !
Esposito : Et apparemment, ça gueulé sec.
Castle: 6h30 dix minutes avant qu’Hamilton se fasse tirer dessus !
Beckett : Suivez-moi Castle !
[Dans les bureaux de Beau Randolph : Castle et Beckett]
[On voit des filles en tenu légère partout]
Castle : Le projet Ambroisie, on dirait un roman de Robert Ludlum ou un playboy millionnaire tue un chercheur pour lui volé une formule secrète qui procure la vie éternelle.
Beckett : Sauf que 10 ans c’est pas la vie éternelle.
Castle : Vous mettriez des implants vous ?
Beckett : Je crois que j’en ai pas vraiment besoin.
Castle : Je parlais d’implants médicaux.
Beckett : Pour vivre 100 ans au lieu de 90, non ce sera sans moi.
Castle : Et si vous pourriez rester la même qu’aujourd’hui pendant les 10 prochaines années ?
Beckett : Non merci Castle.
Castle : Comment pouvez-vous refuser 10 années supplémentaire ?
Beckett : S’il y a bien une chose que j’ai apprise, c’est qu’on ne sait jamais combien de temps il nous reste et si je savais que j’en avais plus, je finirais par le gâcher.
Castle : Oui sauf que vous allez devoir mettre ces implants, parce que sinon vous allez vieillir alors que moi dans 10 ans je serais exactement le même.
Beckett : [Se moquant] Vous n’avez pas besoin d’implant pour ça !
Secrétaire : Lieutenant Beckett, monsieur Randolph va arriver.
Beckett : Oui merci.
Castle : [Regardant autour de lui] Quelqu’un devrait apporter à ses filles des vêtements digue de ce nom.
Beckett : Depuis quand vous êtes devenu si réac, en ce qui concerne les filles à moitié nu ?
Castle : Depuis que ma fille à l’âge d’aller en fac. Ah le voilà le pervertisseur d’étudiante !
Randolph : Lieutenant Beckett, Beau Randolph. [La matant] Vous êtes sûr de ne pas être là pour auditionner pour ma série la prof joue au docteur ?
Beckett : Certaine !
Randolph : Alors que puis-je pour vous ?
Beckett : Répondre à quelque question concernant Lester Hamilton.
Castle : Du genre. Pourquoi l’avoir tuer ?
[Salle d’interrogatoire : Randolph, Beckett et Castle]
Randolph : Oui j’ai pris mon petit déj avec le professeur Hamilton ce matin. Le seul crime c’est de nous avoir servie cette bouffe.
Beckett : Des témoins disent que vous vous êtes disputé ?
Randolph : C’est vrai. J’ai investi des millions dans ses travaux et voilà qu’il veut faire don de ses recherches. Le porno sur internet m’a appris une chose, on ne devient pas riche en faisant des dons.
Castle : C’est pour ça que vous l’avez tué ? Pour pouvoir tuer Ambroisie avant qu’il ne mette le projet en ligne sur le net ?
Randolph : Non je suis parti et j’ai appelé mon avocat pour qu’il prépare une injonction.
Beckett : Votre portiez dit que vous êtes rentrée à 7h10.
Randolph : Surement.
Beckett : Lester Hamilton a été tué à 6h40. Ça vous laissait largement le temps de lui mettre deux balles dans la poitrine et rentrer chez vous.
Randolph : Je l’ai pas tué, mais je sais qui l’a fait.
Beckett : Ah vraiment ? Et bien on vous écoute !
Randolph : Voilà, le mois dernier les autorités sanitaires lui ont refusé les essais cliniques. Je lui ai dit que c’était un petit contretemps, mais il a dit qu’il était beaucoup trop près du but pour laisser des scientifiques planquer derrière des bureaux lui barrer la route. Une semaine plus tard j’ai remarqué qu’il manquait exactement 100 mille dollars sur le compte que je lui avais ouvert.
Castle : Vous pensez qu’il a effectué des tests sur des humains sans autorisation ?
Randolph : Oui… en secret et ensuite il me met sur la touche. Alors je vais vous dire un truc, je pense qu’il avait trouvé et que le projet Ambroisie marchait.
Beckett : C’est une théorie très intéressante monsieur Randolph, mais vous ne m’aviez toujours pas dit qui selon vous a tué Hamilton.
Randolph : S’il menait vraiment des tests illégaux, ou trouvait-il les cobayes nécessaire au projet ? Et une chose est sûre, ce n’était pas des gentils étudiants sans histoire, c’était le genre de personne qui se fou des aiguilles et qui possèdent souvent des armes à feu !
Beckett : Alors voilà ce que je pense et contrairement à vous je me base sur des faits. Vous avez investie des millions de dollars dans les recherches d’Hamilton et pile au moment où vous pensiez qu’Hamilton touchait enfin au but, il vous a jeté comme un mal propre. Ça c’est le mobile. Vous possédez une arme de gros calibre et il se trouve que les balles qui ont tué Hamilton provenaient d’un gros calibre. Ça c’est les moyens. Et vous avez été vu en train de vous disputer avec Hamilton 10 minutes avant qu’il ne soit tué et ça c’est l’opportunité.
Randolph : Ce ne sont que des conjectures lieutenant. Vous n’avez aucune preuve.
Beckett : En fait j’en ai une. La scientifique a testé votre 45 et il affirme que votre arme a servi ce matin.
Castle : Ah. Ouille ! Vous savez comment on appelle ça ? Une preuve fumante !
Randolph : Sauf que ça n’a rien à voir avec Hamilton. Il y avait un tas de pigeon qui arrêtait pas de piailler sur mon toit ce matin. J’avais envie de dormir.
Castle : Des pigeons ? C’est tout ce que vous avez trouvé ?
Randolph : Vu que les seules preuves que vous avez son geler dans le corps de monsieur Hamilton. Oui c’est tout ce que j’ai trouvé. Et en attendant, je veux voir mon avocat !
[Dans les bureaux : Gates, Beckett et Castle]
Gates : Quel petit connard arrogant et suffisant !
Beckett : Oui mais comme personne ne l’a vu tirer sur Hamilton, on a que son arme.
Castle : Et comme on ne peut pas la relier aux balles, on ne peut pas prouver que c’est l’arme du crime.
Gates : Merci monsieur Castle je sais en quoi consiste la balistique.
Beckett : Chef on a besoin du corps, autrement on a plus rien.
Gates : J’appelle le procureur, je me fou de savoir que ça pue la jurisprudence. On a un suspect !
[Salle de conférence : Weiss, Gates]
Gates : Alors voilà ce qui se passe messieurs. Le bureau du procureur pense que nous avons assez l’élément pour obtenir un mandat afin de récupérer le corps de Lester Hamilton en tant que pièce à conviction dans l’enquête concernant son meurtre.
Rosen : Vous savez qu’on si opposera.
Gates : Vous voulez vraiment prendre le risque d’aller au procès et d’établir une jurisprudence dans la base de ces circonstances exceptionnelles ? Une jurisprudence qui limiterait les droits de tous vos clients, alors j’espère qu’on pourra trouver une autre solution, mais je dois récupérer ce corps.
Rosen : Nous ne pouvons pas privée nos clients d’une longue vie future iniquement parce que vous nous brandissez le spectre de la jurisprudence.
Gates : Dans ce cas vous ne devrez pas tarder à avoir des nouvelles du bureau du procureur [Se levant]
Weiss : Il y a peut-être une autre solution. Notre examen à montrer que les balles avaient endommagé le cœur de Lester Hamilton, alors préserver son corps n’est plus une priorité. En cryogénie le plus important c’est le cerveau. Le jour où nous pourrons ressusciter Hamilton je suis sûr que vous pourrons aussi régénérer les corps. Tout ça pour dire la chose suivante. Laissons les tribunaux en dehors de tout ça et vous pouvez venir prendre le corps d’Hamilton tout de suite, si vous accepter de laisser sa tête dans nos locaux, chez « Passage Way » !
Gates : [Après un coup d’œil à Beckett] Marché conclu ! Il ne nous reste plus qu’à faire correspondre les balles avec l’arme de Randolph !
[A la morgue : Lanie, Castle]
Lanie : Ca ne correspond pas !
B : Quoi c’est une blague ? Comment ça, ça correspond pas ?
Lanie : Les balles qui étaient dans le corps de Lester Hamilton n’ont pas été tiré pas l’arme de Beau Randolph.
Castle : Vous en êtes sur ?
Lanie : Non je dis ça au hasard parce que j’ai la flemme de faire l’examen. Evidement que j’en suis sûr !
Castle : Désolé !
Lanie : Voilà le rapport de la balistique. L’arme de Randolph est un 45 et l’homme sans tête ici présent a été tué avec un 38.
[Couloir de la morgue : Beckett et Castle]
Beckett : En obtenant ce corps ont était censé bouclé notre affaire pas repartir à zéro. Comment ces balles peuvent ne as corresponde ?
Castle : J’ai une théorie mais ça va pas vous plaire.
Beckett : Au point ou ont en est je peux tout entendre !
Castle : Beau Randolph est innocent !
Beckett : Oui vous aviez raison ça ne me plait pas !
Castle : C’était surement pas le seul à vouloir se procurer les recherches d’Hamilton. Le tueur est peut-être un chercheur conçurent.
Beckett : Peut-être. Je vais appeler sa femme pour lui demander ce qu’elle sait.
[Castle reçoit un sms d’Alexis « Où est tu papa ? »]
Castle : Heu…
Beckett : Alexis ?
Castle : Oui, elle est en train de perdre pied parce que c’est la 1ère fois qu’elle n’attend pas un objectif qu’elle c’était fixé. Ça vous dérange pas si je…
Beckett : Non vous deviez être avec elle, allez-y !
Castle : Vous êtes sur ?
Beckett : [En souriant] Oui Castle, je pense que je pourrais me débrouiller sans vous quelques heures.
Castle : Pas la peine d’avoir l’air si ravie.
[Bureau des inspecteurs : Ryan et Esposito]
Ryan : Je suis de retour.
Esposito : Je vois ça. Quoi de neuf ? Tu étais passé où ?
Ryan : A la fac d’Hudson pour en savoir plus sur le cambriolage du bureau d’Hamilton. Alors écoute ça.
Esposito : Hum, hum !
Ryan : Qu’est-ce que c’est que ce truc ?
Esposito : Ca mon ami, c’est l’alibi de Beau Randolph.
Ryan : Le cadavre d’un pigeon !
Esposito : Trouver sur le toit de son immeuble avec une balle de 45 dans le buffet.
Ryan : Sérieux ? [Esposito acquiesce] Alors Randolph à bien commit un meurtre
Esposito : Ouais, je lui colle un PV pour cruauté sur animal.
Ryan : On a peut-être encore de le cryogéniser.
Esposito : Le bureau d’Hamilton ?
Ryan : Ah oui, alors commençons pas les flics du campus. Houa j’espère qu’on finira jamais comme eu quand on sera carbonisé et désabuser. Bref, ils ont quand même emballé les preuves et les empreintes sur l’ordinateur cassé d’Hamilton appartiennent à l’un de ses étudiants, un certain Eddie Peck, élève model pas de casier
Esposito : Alors pourquoi il est allé dans le bureau d’Hamilton pour détruire son ordi ?
Ryan : Dit-moi si ça, ça répond à ta question ? Figure-toi que son père dirige le service de recherche du laboratoire pharmaceutique Smith & Briar.
Esposito : Une boite énorme.
Ryan : Le jeune Peck a volé le projet d’Hamilton pour son papounet.
[Salle d’interrogatoire : Peck, Ryan et Esposito]
Esposito : Ça te dit quelque chose Peck ?
Ryan : Ça devrait, il y a tes empreintes partout. On sait que tu as fracturé le bureau d’Hamilton alors qu’est-ce que tu cherchais ?
Peck : C’était pas censé ce passer comme ça. Je vous jure que c’est vrai. Seulement je voulais pas le décevoir.
Esposito : Qui ça ? Ton père ? C’est pour lui que tu as fait ça, pas vrai ?
Peck : On voit bien que vous ne le connaissez pas.
Ryan : Où sont les recherches ?
Peck : Quelle recherche ?
Ryan : Celle du professeur Hamilton, le projet Ambroisie, il était dans sa mallette et c’est pour ça que tu l’as tué !
Peck : De quoi ? Non je l’ai pas tué. Je lui ai seulement demandé de changer ma note.
Esposito : Excuse-moi ?
Peck : Au début du trimestre j’ai rencontré une fille, elle s’appelait Susie. J’étais jamais tombé amoureux, mais là c’était le coup de foudre et chaque fois qu’on était pas ensemble, je faisais que penser à elle.
Esposito : De quoi est-ce que tu parles ? Qu’est-ce que ta vie amoureuse vient faire là ?
Peck : A cause de Suzie, j’ai pas réviser les cours du professeur Hamilton et j’ai eu un F. On a pas le droit d’avoir une note pareil dans ma famille et surtout pas en bio, mon père m’aurait buté. Donc je suis rentré dans le bureau d’Hamilton pour essayer de changer ma note dans son ordi, mais j’avais pas son mot de passe et je me énervé, je l’ai balancé contre le mur.
Ryan : Ne me ment pas Peck, d’après les dossiers d’Hamilton tu as eu un A, à son examen !
Peck : C’est parce que le lendemain après les cours, je l’ai suivis en essayant de trouver le courage de le supplier de changer ma note, mais avant de pouvoir lui parler on était dans un quartier pourri et il est rentré dans un hôtel miteux.
Esposito : Et qu’est-ce qu’il faisait là ?
Peck : J’en ai aucune idée, mais quand il est ressortit 1h plus tard et quand il m’a vu, il a flippé. Il a complètement paniqué et il est devenu dingue, et là il m’a proposé de changer ma note si je promettais de jamais dire à qui que ce soit qu’il était venu ici.
Esposito : Il a un nom cet hôtel ?
Peck : Le Street Inn sur la 130ème rue.
[Street Inn : Femme, Esposito et Ryan]
Femme : Le type au regard inquisiteur de la 24. Un grand scientifique, c’est ça ouais.
Esposito : Il est là depuis combien de temps ?
Femme : Il a pris sa chambre, il y a un mois, payement en liquide.
Ryan : Il a fait quoi pendant un mois ?
Femme : Ba mon minou, ici on pose pas de question donc on sait rien du tout.
Esposito : Ouais on connait seulement vous vous savez tout.
Femme : Ce nabot à fait toute une histoire comme quoi peut-importe la raison, personne ne devait jamais entrée dans sa chambre. Même pas pour la nettoyer. Je me suis dit qu’il devait planquer une panoplie de poupée gonflable. [Finissant d’ouvrir la porte]
Ryan : Ouaa…
Esposito : Le professeur gardait un bébé bulle ou quoi ?
Femme : Alors là, je vous préviens, il est hors de question que je nettoie ça.
Ryan : Rester dehors, s’il vous plait.
Femme : J’avais pas l’intention d’entrée.
Ryan : J’espère qu’on va pas retrouver des parties de corps humain !
Esposito : Allez ! Des bistouris, une perceuse. C’est un laser ça.
Ryan : De la lidocaïne, c’est un anesthésique.
Esposito : Des seringues. On est dans un bloc opératoire mon pote.
Ryan : Hamilton opérait qui et pourquoi ici ?
Esposito : Son projet Ambroisie. Il disait qu’il était tout près du but et rappel toi quelqu’un lui refusait les essais cliniques.
Ryan : On dirait que Beau Randolph avait raison, Hamilton n’a pas voulu attendre.
[Loft des Castle : Castle, Martha et Alexis]
Castle : Qui accepterait d’être le cobaye d’une expérimentation illégal concernant une opération chirurgical jamais tester ?
Martha : Si on me promettait de me sentir mieux et de vivre plus longtemps, je pourrais être tenté. Mais pas dans un hôtel miteux, seulement dans un 5 étoile.
Castle : Tu as vu Alexis ce matin ?
Martha : Oh non.
Castle : Quand je suis rentré hier soir, elle s’était endormi sur le canapé. J’ai dû la porter dans sa chambre. Ça faisait des années que c’était pas arriver.
Martha : Pauvre petit bébé, elle n’est plus elle-même depuis qu’elle a été refusée !
[Alexis descend l’escalier]
Castle : Salut chérie ! Il y a quoi dans cette boite ?
Alexis : Toute une vie de mensonge. Je me débarrasse de tout !
Castle : Chérie tu ne peux pas jeter toute tes récompenses, tu as travaillé dur pour les avoir !
Alexis : Ah ouais ? La moitié c’est juste des trophées honorifique !
Castle : L’équipe de foot féminine, tu te rappel le jour où… [Il rit] tu as marqué contre ton camp sans t’en apercevoir ?
Alexis : Et j’ai eu un trophée pour ça ! Papa on a jamais gagné un seul match.
Castle : L’important c’est de participer.
Alexis : Pour Stanford, l’important c’est de gagné !
Castle : Oh je t’en prie Alexis, la plupart de ses récompenses sont du a de véritable talent. Franklin middle school, concours d’orthographe 1er prix. Un 1er prix également en musique…
Alexis : [Enerver] La seule chose que je voulais c’était Stanford.
Castle : Ecoute chérie, je sais qu’Ashley est à Stanford…
Alexis : Ca n’a rien à voir avec Ashley, c’est moi papa, je suis une raté !
Castle : Arrête un peu, le fait d’avoir été refusé dans une fac ne fait pas de toi une raté, mais il faut que tu acceptes ce qui est arrivé et que tu passes à autre chose.
Alexis : [Pleurant] Comment ?
[Au poste : Castle, Ryan et Beckett]
Castle : [Sortant de l’ascenseur avec Beckett] Je voulais seulement lui donner l’enfance que je n’ai jamais eue, mais je l’ai peut-être surprotégé ?
Beckett : Vous lui avez offert une enfance de rêve Castle, il y a rien de mal à ça.
Castle : Sauf si du coup elle est incapable de gérer un échec !
Beckett : Ecouter on a tous été confronté au rejet un jour ou l’autre. Laisser lui un peu de temps, elle trouvera sa voix !
Castle : Le temps qu’elle ne finit pas à un casting de Beau Randolph. Sinon on en sait un peu plus sur l’hôtel des horreurs d’Hamilton ?
Beckett : Lanie analyse le sang retrouvé sur les instruments chirurgicaux, mais en attendant on sait déjà que l’un de ces cobayes n’a pas été content du résultat. La scientifique a trouvé ce mot à l’hôtel.
Castle : [Lisant] « Vous m’aviez dit que ça marcherait. J’avais confiance en vous ». Apparemment Beau Randolph avait raison, Hamilton faisait des essais cliniques.
Beckett : Mais ça c’est mal passé on dirait !
Castle : Peut-être que le monstre de Frankenstein est revenu tué son créateur !
Ryan : On a pas réussi à identifier l’auteur du mot et les seuls empreintes trouvé dans la chambre sont celle d’Hamilton.
Castle : Et en ce qui concerne sa femme ?
Ryan : On lui a posé la question, ainsi qu’à ses confrères et à ses étudiants et personne ne savait pour les recherches secrètes.
Beckett : Quelqu’un était forcément au courant. Lance une enquête dans le voisinage dans le quartier. Il y a une forte population de sans-abris, c’est peut-être là qu’il a trouvé ces cobayes. [Ryan Part]
Castle : Je n’arrive pas à comprendre Hamilton, d’un point de vu romanesque, pourquoi aurait-il risqué de perdre son travail et sa réputation pour aller pratiquer des tests illégaux dans un hôtel minable. Il avait décidé de divulguer ses recherches alors c’était pas pour de l’argent. Pourquoi était-il pressé à ce point ?
Beckett : [Terminant de lire un sms] Lanie a les résultats ADN !
[A la morgue : Beckett, Lanie et Castle]
Beckett : Alors tu peux nous dire qui sont les cobayes du professeur Hamilton ?
Lanie : Les résultats préliminaires des tests ADN sur les aiguilles et la perceuse, montre que l’ADN retrouvé appartient à une seule personne, Lester Hamilton !
Castle : Donc en fait, Lester n’opérait personne, c’était lui qui se faisait opérer par quelqu’un d’autre !
Lanie : Et bien… [Essayant de prendre la parole]
Beckett : Puisqu’on lui a refusé les tests cliniques, il a pris les choses en mains et fait les tests sur lui-même.
Lanie : Je peux dire…
Castle : Mais alors qui pratiquait les opérations ?
Beckett : Et pour qu’elle raison il s’est fait tuer ?
Lanie : Est-ce que j’ai le droit d’en…
Castle : Peut-être que le traitement était un succès, Hamilton c’est rendu compte qu’il venait de faire une découverte révolutionnaire sur l’allongement de la vie…
Beckett : Oh mon Dieu !
Lanie : [Mettant en route la scie électrique] Silence ! Temps mort, Stop ! Arrêter de faire ce que vous faite tout le temps une petite seconde. Merci. Toutes vos petites théories sont très mignonne comme d’habitude, mais on a un légué problème ?
Beckett : Lequel ?
Lanie : L’implant du projet Ambroisie est censé être placer dans le bras du patient. J’ai vérifié ses bras et ensuite j’ai vérifié chaque centimètre du corps d’Hamilton et je n’ai trouvé aucune trace d’intrusion, ni aucune cicatrice.
Castle : Pourtant vous venez de dire que son ADN était sur les aiguilles.
Lanie : C’est exact et il y avait aussi de la matière cérébrale.
Castle : Alors les interventions qu’il a subit était dans sa tête ?
Beckett : La seule partie du corps d’Hamilton que tu n’as pas encore examiner.
Lanie : Rapporte-moi sa tête et je te dirais tout ce que tu veux savoir !
[Chez « Passage Way » : Weiss, Lanie et Beckett]
Weiss : On avait un accord !
Beckett : Oui mais c’était avant que la tête de monsieur Hamilton ne se relève être primordial pour notre affaire.
Weiss : S’il vous plait !
Beckett : Docteur Weiss, j’ai un mandat et vous gêner pas pour le lire.
Weiss : Je sais que c’est légal, mais penser aux dernières volontés de Lester.
Beckett : Malheureusement pour lui, l’enquête pour meurtre passe au premier plan. Alors maintenant ouvrez la porte.
Lanie : Je serais la moins invasive possible docteur Weiss.
Weiss : La moindre petite invasion détruit les parties de la mémoire, de la personnalité, des fonctions vitales. [Arrivant devant des caissons] Oh mon Dieu !
Beckett : Quoi ?
Weiss : Il a disparu ! Le caisson thermique devrait être juste là !
Lanie : J’espère que c’est une blague ?
Beckett : Vous êtes en train de dire que vous avez perdu la tête !
[Au poste : Ryan et Cynthia Hamilton]
Cynthia : [Hurlant] Expliquez-moi une chose, comment la tête de mon mari a pu disparaitre ?
Ryan : C’est ce que nous tentons de découvrir Madame Hamilton. Avez-vous une idée de la personne qui aurait pu l’opérer à l’hôtel Street Inn sur la 130ème rue ?
Cynthia : Ecouter, j’ai déjà dit au lieutenant Beckett que je n’en savait absolument rien et je dois retrouver sa tête dans les plus brefs délais, vous comprenez ? Je dois m’assurer que ces dernières volontés seront respectées.
Ryan : Je comprends tout à fait et je vous promets que nous mettons tout en œuvre pour la retrouver.
Cynthia : Et le docteur Weiss dans tout ça, c’est lui qui dirige la société, Vous lui avez parlé ?
Ryan : Le lieutenant Beckett est justement avec lui !
[Salle d’interrogatoire : Weiss et Beckett]
Weiss : Je m’inquiète pour la tête d’Hamilton autant que vous lieutenant. Il y a du avoir une effraction dans notre entrepôt.
Beckett : Une effraction, c’est ça votre explication ?
Weiss : C’est la première fois qu’une chose pareille arrive à l’un de nos clients, alors c’est la seule explication possible.
Beckett : Non, je vais vous la donner moi la seule explication possible docteur Weiss. Soit vous essayez de dissimuler des preuves, soit vous êtes un meurtrier, soit vous êtes les deux à la fois !
Weiss : Mais pourquoi j’irais tuer qui que ce soit. J’ai une famille !
Beckett : Vous auriez dû y penser avant de venir sur le lieu d’un crime pour récupérer le corps d’une victime de meurtre.
Weiss : Je vous ai déjà dit que c’était un cas exceptionnel. Et au bout du compte, tout le monde a eu ce qu’il voulait.
Beckett : Alors expliquer-moi pourquoi à chaque étape de cette enquête, vous vous êtes mis en travers de mon chemin ? Quand Hamilton se fait tuer, c’est vous qui récupéré le corps. Quand le procureur est sur le point d’ordonner la restitution de la dépouille, vous négocier afin de garder sa tête et quand j’arrive avec un mandat pour la récupérer, le caisson à disparue.
Weiss : Je ne suis coupable que d’avoir essayé de respecter le souhait de Lester Hamilton d’être cryo-conserver. Je ne sais rien à propos de son meurtre alors vérifié avec ma sécurité, il y a forcément eu effraction.
[Esposito frappe à la porte et fait un signe de tête à Beckett de Sortir]
[Dans les bureaux : Beckett, Esposito et Castle]
Beckett : Du nouveau ?
Esposito : Il y a bien eu effraction dans les locaux de « Passage Way » c’était au milieu de la nuit.
Beckett : Sérieusement et ils ont pris sa tête ?
Castle : On a la vidéo de surveillance. Installez-vous !
Esposito : 2h du matin la nuit dernière. [Mettant en route la vidéo]
Beckett : Le caisson thermique d’Hamilton ?
Esposito : Ouais !
Beckett : C’est qui celui-là ?
Castle : Le cher collègue et ami d’Hamilton ! [Esposito zoom]
Beckett : Le docteur Boyd !
[Appartement du Docteur Boyd : Beckett, Castle et Boyd]
Beckett : [Frappant à la porte] Police de New-York, Boyd ouvrez la porte ! [Un bruit de fenêtre cassé retenti]
Castle : A mon avis, il ne va pas ouvrir ! [Beckett défonce la porte à coup de pied] Il est sorti par la fenêtre pour prendre l’escalier de secours !
Beckett : Vous croyez ?
Castle : Ce que c’est existant ! [Beckett suit Boyd dans les escaliers] Il a la tête, il a la tête. Beckett il a la tête !
Beckett : C’est bon, j’ai vu. Docteur Boyd, arrêtez-vous !
[Boyd fait un faux mouvement et perd la tête qu’il fait tomber dans une poubelle en contre-bas]
Castle : Jolie plongeons la tête la première !
Boyd : Oh non ! [Se dépêchant de descendre] [Beckett lui saute dessus au bas des escaliers]
Castle : Je m’occupe de la tête ! [Sautant dans la poubelle]
Beckett : [A Boyd] Debout !
Castle : Je l’ai ! J’ai la tête d’Hamilton. [La secouant] Je crois qu’elle va bien !
Beckett : Vous êtes en état d’arrestation pour le meurtre de Lester Hamilton !
Boyd : Je ne l’ai pas tué, j’essayai seulement de lui sauver la vie !
[Au poste : Castle et Infirmier]
Infirmier : [Ouvrant le caisson de la tête] C’est bon il n’y a pas eu de dégât.
Castle : Oh quel soulagement !
Infirmier : Pourquoi quelqu’un irait voler une tête ?
[Salle d’interrogatoire : Boyd et Beckett]
Beckett : C’est fini docteur Boyd, on vous a pris en flagrant délit.
Boyd : Je ne l’ai pas tué !
Beckett : Alors pourquoi avoir volé sa tête ? Il vous manquait ? On est au courant pour votre chambre opératoire au Street Inn et on sait que vous avez pratiqué des interventions sur le cerveau d’Hamilton et on sait aussi que ça n’a strictement rien à voir avec l’allongement de la vie. Alors soit vous m’expliquer ce qui c’est passer, soit on récupère la tête et on trouve par nos propres moyen ?
Boyd : Il est venu me voir il y a 1 mois en me disant qu’il souffrait de terrible migraine. Je lui ai fait faire une IRM qui a montré un glyoblastome de stade 4.
Beckett : Une tumeur cérébrale !
Boyd : Inopérable et incurable. Il ne lui restait que quelque mois à vivre.
Beckett : Pourquoi c’est vous qu’il est venu voir ? Pourquoi il n’est pas allé à l’hôpital ?
Boyd : Parce qu’en tant que scientifique il connaissait les limites des traitements actuels et il était au courant de mes travaux concernant la thérapie génique par nano-particule.
Beckett : En clair.
Boyd : Le traitement ciblé des tumeurs. Je n’aurais pas le droit aux essais cliniques avant des années, mais c’était mon meilleur ami. Comment aurais-je pu lui dire non ?
Beckett : Donc vous avez ouvert boutique dans un hôtel pour rester discret.
Boyd : Si quelqu’un avait découvert, j’aurais perdu mon poste de titulaire, mon financement, ma réputation. On ne pouvait même pas prendre le risque d’utiliser des blocs opératoires existant. Lester a juré qu’il ne le dirait même pas à Cynthia.
Beckett : Et ensuite, il s’est servi de l’argent de Beau Randolph pour acheter ce dont vous aviez besoin.
Boyd : Oui. J’ai effectué 5 intervention aux cours du mois qui c’est écouler.
Beckett : Est-ce qu’il allait mieux ?
Boyd : Non. Quelques jours avant qu’il se fasse tuer, j’ai fait une IRM qui a montré que la tumeur cérébrale avait grossi. Le traitement avait échoué.
[Dans les bureaux : Castle et Beckett]
Castle : Une tumeur cérébrale, c’est pour ça qu’Hamilton avait divulgué son projet dans l’espoir que quelqu’un finisse ses recherches.
Beckett : J’ai quand même envoyé Esposito vérifié l’alibi de Boyd au cas où.
Castle : [Surprit] Alexis ?
[Dans la salle des familles : Alexis et Castle]
Castle : Qu’est-ce qui ne va pas ?
Alexis : Il y a rien qui va ! Je voudrais savoir comment tu fais ?
Castle : Comment je fais quoi ?
Alexis : Et bah, cette lettre que tu as encadrée dans ton bureau ?
Castle : Le refus de mon premier manuscrit !
Alexis : Oui. Comment t’as pu la garder tout ce temps ?
Castle : Parce qu’elle me stimule et j’en ai reçu 20 autres comme celle-là avant que Black Pawn n’accepte de publier « Sous une pluie de balle ». Cette lettre, me rappelle toutes les épreuves que j’ai traversé. Le refus n’est pas un échec !
Alexis : En tout cas c’est l’effet que ça fait !
Castle : Non l’échec c’est d’abandonner. Tout le monde a été rejeté un jour ou l’autre. Ceux qui comptent c’est la façon dont on surmonte ça.
Alexis : Depuis que je suis toute petite je fais absolument tout pour intégrer n’importe quelle université. Alors maintenant je vais faire quoi ?
Castle : Soit patiente, tu vas trouver !
[Au bureau de Beckett : Castle et Beckett]
Castle : Ffff !!
Beckett : Elle va bien ?
Castle : On allait bien nous à son âge ? Non, elle va en baver encore quelque temps.
Beckett : Pour l’instant c’est nous qui en bavons. L’alibi de Boyd tient la route. Il était à un petit déjeuner professionnel le matin ou Hamilton a été tué. On l’a choppé avec la tête de notre victime, c’est dingue !
Castle : 99 fois sur 100 quand on choppe un type avec la tête de quelqu’un d’autre, c’est qu’il l’a tué !
Beckett : Ouais, enfin bref, Boyd nous a fourni les IRM pratiqué sur Hamilton. Lanie a confirmé que la tumeur aurait ravagé son cerveau en quelque mois.
Castle : Alors on peut dire d’une certaine manière, il a eu de la chance.
Beckett : Comment ça ?
Castle : Et bien d’après le docteur Weiss, le but de la cryogénie est de préservé le cerveau, alors si Hamilton n’avait pas été tué, son cerveau aurait été détruit et du coup plus de cryo-conservation possible.
Beckett : Donc en fait, notre tueur a accidentellement sauvez la vie futur d’Hamilton ?
Castle : Sauf si …
Beckett : « Une vie côte à côte c’était pas suffisant ». Le voilà notre mobile !
Castle : C’était peut-être pas si accidentelle que ça ! [Ils se sourient]
[Salle d’interrogatoire : Cynthia Hamilton, ]
Beckett : Merci d’être venu madame Hamilton. Je crois savoir que vous avez déjà parlé au docteur Boyd ?
Cynthia : Oui, ça fait beaucoup en même temps.
Beckett : Oui !
Cynthia : En quoi puis-je vous aider ?
Beckett : Et bien nous espérons que vous pourrez éclaircir quelque point concernant des preuves qui viennent de faire leurs apparitions.
Cynthia : Quelles preuves ?
Castle : L’ordinateur de votre mari, celui détruit par l’étudiant. La scientifique a réussi à récupérer une liste des téléchargements récents, dont une demande de résiliation de contrat avec « Passage Way ». Vous savez pourquoi votre mari avait téléchargé ça ?
Cynthia : Non, c’est forcément une erreur.
Beckett : Nos techniciens nous ont assurés que la liste des téléchargements était authentique.
Castle : Si vous êtes vraiment sur que votre mari vous a jamais parler de ça. Non parce que voilà ce que je pense, il a décidé que de continuer ses recherches avant la destruction totale de son cerveau était plus important pour lui, que sa cryogénisation pour une vie futur, mais vous n’étiez pas d’accord madame Hamilton ?
Cynthia : Comment j’aurais pu ne pas être d’accord avec lui alors que je n’étais pas au courant de sa tumeur ?
Beckett : Je pense que si et que c’est pour ça que vous l’avez tué. Pour protéger son futur avant que son cerveau ne soit entièrement ravager.
Castle : Après lui avoir tiré dessus, vous avez pris sa mallette.
Cynthia : Alors là, c’est du délire. Tout ce que vous dite n’est que pur conjecture.
Beckett : Non détrompez-vous, vous vous êtes débarrasser de l’arme bien évidement, mais le juge nous a accorder un mandat donc nous avons trouvé la mallette cacher dans la cave de votre immeuble et il y avait des traces de sang de votre mari dessus.
Cynthia : C’est moi qui lui avais offert cette mallette. Le jour de nos fiançailles. Je pouvais pas la laisser comme ça, c’était trop dur. Depuis quelques semaines, je sentais que quelque chose n’allait pas, mais Lester disait que ce n’était que le stress et il y a quelques jours il a fait un malaise, il s’est évanoui juste avant de dormir. C’est là qu’il m’a dit la vérité. Mais il n’était pas dans son état normal. Il était trop préoccuper par ses recherches. Je devais protéger notre futur. Notre éternité, côte à côte. C’est ce que nous avions toujours rêvé !
[Devant le tableau blanc : Castle, Beckett et Weiss]
Castle : Dites-moi lieutenant, considérez-vous ce meurtre comme un crime passionnel ?
Beckett : Je dirais plutôt qu’il s’agit d’un crime d’amour !
Castle : Jolie ! Encore faudrait-il savoir si Cynthia Hamilton était folle d’amour ou folle allié ?
Beckett : Parfois la frontière entre les deux peut s’avérer très mince ! [Le voyant arriver] Docteur Weiss j’ai préparé les papiers de votre relaxe.
Weiss : Je vous remercie lieutenant. Castle.
Beckett : Alors vous n’avez qu’a signé au bas de cette page et toutes les charges retenus contre vous et les employer de « Passage Way » seront abandonner par le département.
Weiss : Je suis ravi d’en avoir fini avec cette histoire. [Un bip retenti] Excusez-moi c’est le signal d’une montre biométrique, un de nos client vient de mourir. Tient c’est étrange !
Castle : Qui a-t-il ?
Weiss : Le signal est en provenance de cet immeuble !
[En un regard Beckett et Castle fonce en courant jusqu’à la cellule de Cynthia Hamilton. La policière fait un signe négatif de vie. Beckett vient s’assoir au côté du corps]
Castle : La bague à son annulaire droit ! [Elle est ouverte]
Beckett : Une pilule de cyanure !
Weiss : Lieutenant Beckett, mes employer peuvent-ils venir récupérer son corps ?
Beckett : Oui, bien sûr !
[Entrepôt de « Passage Way » : Beckett et Castle]
[La dépouille de Cynthia est enfermée dans un caisson]
Castle : Ce ne serait pas incroyable si dans 100 ans ou peut-être mille ans, ils étaient à nouveau réunis ?
Beckett : Rien n’est impossible !
Castle : Vous le pensez vraiment ?
Beckett : C’est la devise de toutes les grandes histoires d’amour. Ce joué du destin !
Castle : Je l’espère pour eux ! [Ils se sourient]
Beckett : Moi aussi !