410 Détache-moi
[Sous-sol : Castle et Beckett]
[Beckett dors dans les bras de Castle]
[Beckett se réveille en sursaut en comprenant que quelque chose cloche et observe Castle]
Castle : [Somnolant] Non te lève pas, reste au lit !
Beckett : Castle !
Castle : Oh Kate ! Salut!
Beckett : Castle…
Castle : Quoi ?
Beckett : C’est vous qui avez fait ça ?
Castle : Quoi ?
Beckett : Arrêter de dire quoi et réveiller vous !
Castle : Je sais pas ce que vous… Oh on est menotté l’un à l’autre…C’est coquin !
Beckett : Castle c’est pas marrant.
Castle : J’ai pas dit marrant, j’ai dit coquin. Et non je n’y suis pour rien.
Beckett : Vous croyez que c’est moi qui ai fait ça ?
Castle : On dirait des menottes de police.
Beckett : Oui mais quelqu’un d’autre nous a attaché. [Se relevant avec difficulté] Vous connaissez cet endroit ?
Castle : Non, mais si j’écrivais une histoire ce serait surement là que… de mauvaise chose arriverait.
Beckett : Ma montre a disparue…
Castle : La mienne également, ainsi que mon portefeuille…
Beckett : Tout comme ma plaque et mon arme…
Castle : Et mon téléphone. Je venais de renouveler mon forfait…
Beckett : Vous pouvez arrêter de plaisanté ?
Castle : Vous ai-je reproché un jour vos automatismes ?
Beckett : Qu’elle est la dernière chose dont vous vous souvenez ?
Castle : C’est… [Réfléchissant] Et bien c’est assez flou.
Beckett : Oui, pour moi aussi. On a dû être drogué !
Castle : Oui, c’est ce que je pensais et pas pour planer.
Beckett : Très bien… [Se retournant] Relever mon pull.
Castle : [Surpris] La drogue doit surement encore agir sur vous, mais d’accord.
Beckett : C’est pas ce que vous croyez, regarder le bas de mon dos, je sens un point douloureux.
Castle : [Regardant son dos] Il y a une marque de piqure.
Beckett : On a été drogué !
Castle : [Caressant la piqure et son dos] On dirait une aiguille lancé par un pygmée.
Beckett : Vous pouvez rabaisser mon pull !
Castle : Oui, désolé !
Beckett : Merci ! [Se remettant en face de lui] Très bien Castle, concentrez-vous et réfléchissez. Qu’elle est la dernière chose dont vous vous souvenez à propos de ce matin ?
Castle : J’étais avec vous. On était dans un endroit vraiment très glauque. Un hôtel qui loue des chambres à l’heure.
Beckett : Maintenant arrêté, ça suffit.
Castle : Non, c’est bien là que nous étions. Vous m’avez appelé et demander de vous retrouver là-bas.
Beckett : Ah c’est exact.
Castle : Ouais…
Beckett : Et puis je vous ai fait monter dans la chambre et ensuite, on a… [Réfléchissant inquiète]
Castle : Ensuite on a…
Beckett : [Soulager] Ah un type mort. On est monté, il y avait un mort.
Castle : Exact ! Un type mort…
[Flashback]
[Chambre d’hôtel : Castle, Beckett, Lanie et Esposito]
Castle : Vous savez ce que j’aime dans mon travail avec vous ? Ces endroit des plus charmant où vous m’emmener tout le temps.
Beckett : Je suis pas compliqué Castle, je vais là où il y a des corps. Pour les auteurs de roman policier, les hôtels miteux ne sont pas un grand classique ?
Castle : Oh si et pour être franc se sont de véritable calendrier de l’avant en matière de grivoiserie. Chaque porte abrite toujours, une magnifique histoire de désespoir ou de dépravation…
Beckett : Ou de mort ! [Arrivant dans la chambre et surprend Esposito et Lanie]
Lanie : Il faut que tu arrêtes de vouloir tout contrôler…
Esposito : Quoi ? Mais c’est pas du tout ce que je fais…
Lanie : Tu t’entends même pas parler…
Esposito : Je veux pas du tout, tout contrôler. On a jamais empêché…
Beckett : [Toquant à la porte] Désolé, on dérange peut-être ?
Lanie : Non, [Lançant un regard noir à Esposito] la victime est un homme blanc d’une trentaine d’année.
Esposito : La femme de ménage l’a trouvé en venant faire la chambre.
Beckett : Cause de la mort ?
Lanie : J’en suis pas encore totalement sûr, mais il y a certain signe d’asphyxie et de cyanose tout autour du visage.
Beckett : Il a été étouffé ?
Lanie : Peut-être et il y a aussi ça.
Beckett : Une marque de piqure.
Castle : Donc il a pu faire une overdose, tomber la tête la première et s’étouffer.
Esposito : Oh non, c’est vraiment un meurtre.
Beckett : Comment tu le sais ?
Lanie : Quelqu’un c’est attaqué à ses doigts et a brulé ses empreintes.
Beckett : Pour ne pas qu’on découvre son identité.
Esposito : Ils se sont plutôt bien débrouiller, son portefeuille à disparue. On a fouillé la chambre deux fois, mais on a rien trouvé indiquant qui il est.
Beckett : Il a payé la chambre en liquide ?
Esposito : Oui et il s’est enregistré en tant que Jack Sparrow.
Castle : Et il y a quand même une possibilité que ce soit son vrai nom.
Esposito : [Moqueur] Bien sûr, oui. [Lanie lui sourit en se moquant] On va vérifier, juste au cas où. Selon le réceptionniste il semblait nerveux en entrant. Il regardait tout le temps derrière lui.
Beckett : Il a eu des visiteurs ?
Esposito : Il n’en sait rien, le bâtiment est loin d’être bien gardé.
Castle : J’ai vu une caméra en arrivant.
Esposito : Totalement bidon.
Lanie : [Murmurant] Oh c’est pas la seule.
Esposito : C’est une fausse, qui sert à faire peur au dealeur.
Beckett : [Gêner] D’accord. On se donne pas la peine d’effacer l’identité de quelqu’un, sauf si on a de très bonne raison de le faire. Lanie qu’elles sont les chances de reconstituer les empreintes ?
Lanie : Ca dépend à quelle point les doigts son brûler, mais laisse-moi l’emmener à la morgue.
Beckett : D’accord. [A Esposito] Pendant ce temps-là, dit a Ryan d’entré sa photo dans le fichier des personnes disparus pour voir si quelqu’un correspond ou pas !
Esposito : J’y vais. [Jetant un regard noir à Lanie en partant]
[Fin du Flashback]
[Sous-sol : Beckett et Castle]
Beckett : Un inconnu dans un hôtel miteux avec des empreintes brûlés. Comment est-on passé de là-bas à ici ? [Essayant de se lever mais retombe sur le matelas]
Castle : Oh… oh là, oh là. Doucement, doucement. Je déteste dire des évidences mais on est inséparable tous les deux.
Beckett : Bon, debout allez !
Castle : Vous êtes toujours comme ça le matin. [Se levant] Et bien, c’est… c’est assez gênant !
Beckett : Ouais.
Castle : Ils auraient pu éviter de nous attacher par la même main.
Beckett : Une minute, Ryan a comparé notre gars aux personnes disparus. Il n’était pas dans le fichier et après ?
Castle : Après… Ryan m’a demandé… si le fait de passé Thanksgiving chez sa famille signifiait qu’il serait obligé de passer Noël chez la famille de Jenny…
Beckett : Castle je parle seulement de notre enquête.
Castle : Si vous voulez que je retrouve le fils, je dois reprendre dans l’ordre.
Beckett : D’accord très bien. Hum… empreinte brûler, suffocation… et marque de piqure.
Castle : La morgue. On est allé à la morgue !
[Flashback]
[Morgue : Lanie, Castle et Beckett]
Lanie : Je vous l’ai dit, ça ne vous regarde pas du tout.
Castle : Je sais que ça ne me regarde pas bien sûr et c’est pour ça que je veux savoir.
Beckett : [Arrivant] Savoir quoi ?
Castle : Pourquoi Esposito et elle se disputaient.
Beckett : Ça ne vous regarde pas Castle.
Castle : C’est justement là l’intérêt.
Beckett : Où on en est ?
Lanie : Toujours pas d’identification, mais il a des callosités indiquant qu’il avait surement un travail pour lequel il utilisait ses mains.
Beckett : Bon et pour les empreintes ?
Lanie : La peau est trop endommager, mais j’arriverai peut-être à faire… macérer la peau et récupérer une partie de la couche interne de l’épiderme.
Castle : Vous pouvez faire ça ?
Lanie : Oui. Oui je peux le faire, mais ça va prendre quelques jours. T’as bien fait de venir parce que j’ai trouvé un truc, c’était au fond de la poche de son pantalon. C’est la raison pour laquelle notre tueur la manqué.
Beckett : [Lisant le papier donner par Lanie] 147 ouest, 97ème rue. 16h précise !
[Devant le tableau : Ryan, Beckett et Castle]
Ryan : C’est l’adresse du Canbury café. Qui est tout près de Broadway.
Beckett : A 16h, il devait y voir une personne.
Castle : Ou l’avait déjà vu.
Beckett : Va là-bas avec Esposito et montrez cette photo pour voir si quelqu’un se souvient de lui. Ça nous aidera peut-être à l’identifié.
Ryan : D’accord ! [S’en allant]
Beckett : Qui avait-il de si spéciale à propos de notre victime pour que le tueur est voulu effacer son identité ? [Castle s’apprête à parler] Ne dire pas espion ! [Castle essaie à nouveau] Ou mafia !
Castle : La mafia qui tue un espion.
Beckett : Ces folles théories ne nous aiderons pas. Pas tant qu’on ne sera pas qui est ce type.
Castle : [Observant un papier] Beckett.
Beckett : Quoi ?
Castle : Ceci est un code barre postale, la victime a écrit ça au dos d’une enveloppe.
Beckett : Un code barre postale ?
Castle : Oui toute ces petites barres qu’on voit sur les étiquettes et les enveloppes. C’est un moyen d’identifié précisément une adresse, mais seulement avec une machine qui peut le faire. Si on arrive à la décoder, on sera très exactement ou notre victime se trouvait en écrivant ça.
[Fin du Flashback]
[Sous-sol : Beckett et Castle]
Beckett : Ensuite on a appelé le bureau de poste. Et on a eu cette adresse.
Castle et Beckett : [En même temps] La maison dans le Queens !
[Flashback]
[Maison du Queens : Castle et Beckett]
Castle : Vous savez pourquoi Lanie et Esposito se disputaient ?
Beckett : Oh, pour tout. Ils veulent tous les deux être ensemble, mais aucun des deux n’est prêt à l’admettre au final.
Castle : Oh, pourquoi les gens s’infligent-il ça ?
Beckett : Peut-être qu’ils n’en sont pas conscient.
Castle : Comment ne pas l’être ? C’est tellement évident. [Arrivant devant le porche] C’est cette maison ?
Beckett : D’après d’adresse, oui.
Castle : On dirait bien qu’il n’y a personne.
[Beckett sonne. Regarde par la fenêtre et toc à la porte qui s’ouvre toute seule]
Beckett : Il y a quelqu’un ? Police. Il y a quelqu’un ? [Ils entrent] Et oh ? [S’avançant dans la maison] Il y a quelqu’un ?
Castle : [Lisant le courrier] Bill et Nora Ranford. Peut-être que Bill est notre inconnu.
Beckett [Entendant un brut et dégainant son arme] Je suis de la police, identifier vous tout de suite.
Femme : Aidez-moi !
[Castle et Beckett vont vers le fond de la maison et trouve une femme dans une cage]
Beckett : Madame. Madame, vous allez bien ?
[Beckett essaie d’ouvrir la porte de la cage et Castle observe la vielle femme qui lui sourit. Ils perdent connaissance]
[Fin du Flashback]
[Sous-sol : Castle et Beckett]
Castle : Une vieille femme dans une cage.
Beckett : Oui c’est la dernière chose dont je me souvienne.
Castle : Moi aussi. Qu’est-ce qui se passe ?
[Générique]
[Salle de repos : Ryan, Esposito et Gates]
Ryan : Mais je vais toujours passer les fêtes de Noël avec ma famille.
Esposito : Ouais mais c’est comme ça. T’as voulu te passer la corde au cou mon pote.
Ryan : Ouais mais je croyais pas qu’il faudrait descendre par la route en Floride, pour passer les fêtes avec sa grand-mère.
Esposito : Par la route ? Pas en avion ?
Ryan : Pendant les vacances ? Tu plaisante. En plus Jenny dit qu’une petite virer nous donnera de bon moment à partager.
Esposito : Ca, c’est pas une petite viré. C’est un… un test de relation amoureuse.
Ryan : Un test de relation amoureuse. On se mari dans un mois. [Suivant Esposito jusqu’à leur bureau]
Esposito : On verra ce qui se passera après le test. C’est le test voyage pré mariage. Coincer ensemble pendant des heures, comme ça elle pourra te confronter au moindre petit doute qu’elle pourrait avoir sur votre avenir ensemble. Et toi, tu n’auras nulle part ou te cacher.
Gates : [Arrivant] Messieurs, l’un d’entre vous a vu Beckett ?
Esposito : Elle doit surement suivre une piste.
Ryan : Euh oui.
Gates : Ne croyez pas que j’ignore que vous vous couvrez les uns les autres.
Esposito : Euh… qu’on fait quoi ?
Gates : Des progrès sur notre inconnu ?
Esposito : Oui il était hier après-midi au Canbury café et il n’y était pas tout seul.
Ryan : La serveuse l’a tout de suite reconnu. Elle dit qu’il s’est assis dans un box et a parlé à un gars, cheveux long avec une barde et qu’il avait l’air nerveux.
Esposito : Elle est avec un dessinateur pour faire le portrait-robot du type que la victime a rencontré là-bas et ensuite on diffusera.
Gates : Très bien, alors tenez-moi au courant. [S’en allant dans son bureau]
Ryan : Crois-moi, Jenny m’aime, elle me testerait pas comme ça.
Esposito : C’est vrai. Juste une chose, fait gaffe si elle veut te faire faire du canoë, d’accord.
Ryan : Du canoë ? Le canoë s’est un test ?
Esposito : C’est une question de pouvoir, de direction. Comme un mariage. Si le canoë va tout droit, ça lui montre que vous pouvez faire des compromis, bosser ensemble, trouver un rythme et avancer dans la même direction. Mais s’il commence à faire des cercles, votre relation en fera autant.
[Sous-sol : Beckett et Castle]
Beckett : [Tournant en rond] Vous voulez bien aller dans le même sens que moi ?
Castle : Et si c’était plutôt le contraire. Pourquoi devez-vous toujours diriger ?
Beckett : Comment ça se fait que vous me marchiez toujours sur les pieds ?
Castle : Depuis quand est-ce que je… bon d’accord, attendez une seconde, j’ai une question. Pourquoi devez-vous toujours être la première ? La première à sortir de l’ascenseur, la première à franchir une porte ?
Beckett : Je suis flic, ne l’oublier pas. Je me balade avec une arme. La première à franchir une porte, c’est mon travail justement.
Castle : Et euh… pour l’ascenseur hein. Que pensez-vous de ça ? Ça vous ferez mal de laisser quelqu’un vous ouvrir la porte, de temps en temps.
Beckett : Vous réalisez que si quelqu’un m’ouvrait la porte, je serais obligé de la franchir en premier également, n’est-ce pas ?
Castle : Oh, oui c’est vrai, vous devez aussi être la plus intelligente. Tout est compétition avec vous.
Beckett : Ah non, c’est faux. Vous êtes toujours comme ça le matin ?
Castle : J’en discuterais bien, mais après je devrais vous laissez gagner.
Beckett : Bon, très bien allez-y diriger !
Castle : Ahhh ! Ou vouliez-vous aller ?
Beckett : Je crois qu’il y a un interrupteur par-là, ou vous voulez peut-être rester dans le noir ?
Castle : [Allumant la lumière] J’aimais mieux être dans le noir.
Beckett : C’est une porte en acier. On peut pas sortir par là.
Castle : Et ces murs sont en parpaing. D’après vous, il y a quoi dans ce maxi congélateur ? Vous pensez que c’est la vieille femme ? On est peut-être dans la tanière d’un psychopathe et on devra s’entretuer comme dans Saw.
Beckett : Castle, arrêté de délier, ça ne nous aide pas.
Castle : Oh voyons, une vieille femme dans une cage. Nous deux menotté dans un endroit lugubre. A quoi devrais-je penser ?
Beckett : Penser plutôt à un moment de sortir d’ici avant que nos kidnappeurs reviennent.
Castle : On a été inconscient combien de temps ?
Beckett : Au moins deux heures.
Castle : Comment le savez-vous ?
Beckett : Parce que j’ai faim.
Castle : Oh… j’ai du bœuf séché. [Elle lui sourit] Quoi ?
Beckett : Tenez ma main. [Il l’interroge du regard] Pour que les menottes ne nous fassent pas mal !
Castle : On pourrait essayer de les enlever. Vous avez une pince à cheveux ?
Beckett : Ou vous vous croyez, dans les années 40 ? Ce sont mes menottes de police, vous les ouvriez pas avec une pince à cheveux. Faut être réaliste, on est coincé.
Castle : Quelqu’un va voir qu’on a disparu ?
Beckett : Martha et Alexis remarquerons si vous ne rentrez pas ?
Castle : En fait, ma mère emmène Alexis faire le tour des universités ce week-end. Esposito et Ryan ?
Beckett : Ils vont surement le remarquer, mais ça ne veut pas dire qu’il nous retrouverons ici. [Observant le plafond] C’est quoi ça ?
Castle : Une trappe !
Beckett : Si on peut l’atteindre, on pourra peut-être sortir.
Castle : Oui, mais elle est trop haute.
Beckett : Pas si on grimpe sur ce truc-là. [Pointant le congélateur]
[Bureau des gars : Esposito et Ryan]
Esposito : C’était Lanie, le rapport préliminaire d’autopsie montre que notre victime a été étouffée sur place.
Ryan : C’est assez étrange qu’un type si balaise n’est pas lutté.
Esposito : Il pouvait pas, la toxicologie montre que son organisme contenait tellement de sédatif que ça aurait pu sonner un éléphant. Ça donne quoi avec le portrait-robot ?
Ryan : Ba… [Lui montrant] Une équipe consulte les fichiers et une autre est partie faire l’enquête de voisinage. [Regardant tous les deux le bureau de Beckett vide] Toujours pas là hein ?
Esposito : Non, ça fait des heures. Chaque fois que j’appelle, je tombe directement sur la messagerie.
Ryan : Tu crois vraiment qu’ils suivent une autre piste ?
Esposito : Mais laquelle ? Il y a aucun élément nouveau au tableau. Le central pourra peut-être nous aider. Essai de voir s’ils peuvent trouvés le transpondeur de la bagnole de Beckett. Je veux savoir où ils sont.
[Sous-sol : Beckett et Castle]
[Beckett et Castle grognent en essayant de déplacer le congélateur]
Beckett : On arrive à rien comme ça.
Castle : Non, essayons autrement. [Castle se place derrière Beckett] Prête ?
Beckett : Vous feriez mieux de ne pas appréciez ça Castle !
Castle : Vous le saurez dans une minute ! Un, deux, trois !
Beckett : Poussez ! [Essayant encore de la déplacer mais il ne bouge pas d’un millimètre] D’accord !
Castle : Quoi qu’il y ait là-dedans c’est beaucoup plus lourd qu’une vieille dame.
Beckett : On dirait que ce truc est plein de pierre.
Castle : Pourquoi pas le vidé ?
Beckett : C’est une excellente idée Castle, sauf que c’est fermé et que je suis un peu à cour d’objet tranchant.
Castle : Oui, mais c’est un cadenas à code.
Beckett : Et alors ?
Castle : Alors quand j’écrivais « Trouble faite », j’ai étudié avec l’un des meilleurs perceurs de coffre en activité. Je peux l’ouvrir mais cela dit je ne sais pas si c’est vraiment ce qu’on veut.
Beckett : Aller ouvrez le Castle avant que nos ravisseurs ne reviennent !
[Castle colle l’oreille au cadenas]
[Sur un parking : Ryan et Esposito]
Ryan : Le transpondeur indique que la voiture de Beckett est juste là. [Les gars sortent de la voiture] C’est bien sa voiture. On dirait qu’elle a été abandonnée là.
Esposito : Ouais, signale-le ! [Observant les alentour et trouvant une caméra]
[Salle vidéo : Esposito, Ryan et Gates]
Esposito : [Regardant la vidéo de la caméra de surveillance du parking] D’après le time code, ça a été enregistré il y a 5 heures.
Ryan : Voilà la voiture de Beckett. Mais ce n’est ni Castle, ni Beckett.
Esposito : Et il n’est pas seul. Quelqu’un est venu le chercher.
Gates : On sait qui ils sont ?
Esposito : Aucun indice.
Gates : On peut voir le numéro de la plaque ?
Ryan : [Agrandissant la vidéo] Non c’est trop loin.
Esposito : On a aussi tracé les portables de Castle et Beckett, sans résultat.
Gates : Mais dans quoi est-ce que Castle l’a encore entrainé ? Je veux que la scientifique passe cette voiture au peigne fin, pour récupérer tous les indices. Ils travaillaient sur cet inconnu avec vous alors où ont-ils pu aller ?
Ryan : On a pas arrêter de chercher, mais on sait toujours pas.
Esposito : Et on a rien sur le gars aux cheveux long du café.
Gates : Remuer ciel et terre pour connaitre le nom de la victime et trouver à quoi il était mêlé. Si Beckett et Castle sont encore dans la nature, ils leurs restes peu de temps, croyez-moi !
[Sous-sol : Beckett et Castle]
[Castle fait tourner le cadenas avec l’oreille collé dessus pendant que Beckett attend le bras tendu]
Beckett : Oh pour l’amour du ciel Castle, combien de temps vous allez encore bidouiller ce truc ?
Castle : Oh mais j’y étais presque !
Beckett : Oui c’était le déjà le cas, les cent dernière fois.
Castle : Oh vous avez si peu confiance. Vous feriez une épouvantable siamoise.
Beckett : Je peux reprendre ma main ? [Se frottant le poignet] Vous avez une histoire qui explique tout ça ? La vieille femme dans la cage, l’inconnu à l’identité effacer, nous menotté ensemble et encore en vie.
Castle : Je ne crois pas que ce soit une histoire que vous voudriez entendre.
Beckett : Pourquoi ?
Castle : Avec tous ces éléments, je n’imagine pas une version qui finisse bien. Ni façon conte de fée d’ailleurs.
Beckett : Oui, c’est bien ce que je craignais.
Castle : La bonne nouvelle c’est que, on a disparu depuis assez longtemps pour qu’il soit à notre recherche maintenant.
Beckett : [Tendant sa main] La 101ème fois est la bonne !
[En se souriant Castle réessaie d’ouvrir le cadenas]
[A la morgue : Esposito, Lanie et Ryan]
Esposito : Allez Lanie, on a surement autre chose sur ce gars, d’après son autopsie.
Lanie : Il était dans le 1er stade d’une maladie cardiaque, il avait une dégénérescence de la hanche et une petite scoliose qui était probablement dû à une station assise prolongé et la dernière chose qu’il a ingéré c’est un sandwich au pastrami. Rien de tout ça ne vous donnera son identité.
Ryan : Ces mains avaient des callosités suggérant un travail manuel et pourtant il passait trop de temps assis.
Lanie : Peut-être qu’il conduisait un chariot élévateur, j’en sais rien.
Esposito : On a besoin d’un élément concret maintenant.
Lanie : Dans ce cas, je ne peux rien pour vous.
Esposito : Lanie, on doit les retrouver, on n’a aucune piste. Ils sont peut-être vraiment en danger.
Lanie : Tu ne crois pas que j’aimerais vous aider. Ce sont aussi mes amis !
Ryan : [Faisant signe d’un temps mort à Esposito] Alors Beckett a dit qu’avec du temps tu pourrais peut-être avoir une empreinte ?
Lanie : Oui dans au moins 2jours pourquoi ?
Ryan : Et si j’avais tu le faisais maintenant ?
Lanie : Ça pourrait endommager l’empreinte définitivement.
Ryan : Pourrait ! Donc il est possible que ce ne soit pas le cas, pas vrai ?
Esposito : On va pas rester sans rien faire.
[Sous-sol : Castle et Beckett]
[Castle tourne les crans du cadenas et entend un clic. Il pense avoir réussi et tire dessus mais rien. Déçu il tire un grand coup et le cadenas s’ouvre]
Castle : J’ai réussi !
Beckett : Vous avez réussi !
Castle : {Riant] Ah, ah !
Beckett : [Se levant] Ca ne doit pas être aussi mauvais, c’est pas comme si on avait encore jamais vu de mort.
Castle : C’est vrai ! [Ils ouvrent ensemble le battant du congélateur] Ce n’est pas un mort !
Beckett : Non. C’est pire que ça !
[Le congélateur est rempli de chaine en acier, de couteau et d’objet de tranchant ensanglanté.]
Castle : Des menottes et des instruments de torture, couvert de sang.
Beckett : Finalement peut-être que votre théorie du psychopathe sadique n’est pas tellement farfelu Castle.
Castle : Mais est-ce que ça doit me faire plaisir ou m’horrifier ?
Beckett : Ça devait vous motivé !
Castle : Oui bien sûr ! Allez sortons d’ici ! [Ils commencent à vider le congel]
[La morgue : Lanie, Esposito et Ryan]
[Lanie est en train de manipuler l’empreinte sous le microscope et Esposito vient se mettre juste derrière elle]
Lanie : Javier…
Esposito : Quoi ?
Lanie : Je peux sentir ton impatience dans mon dos et me mettre la pression, n’est jamais une bonne idée.
Esposito : Là tu parles bien de l’empreinte ?
[Elle lui lance un regard noir]
Lanie : [Déchirant l’empreinte] Et merde !
Esposito : Quoi ?
Lanie : Ça s’est déchiré. La peau ne devait pas encore être assez souple. J’y peux rien.
Ryan : Y a rien d’utilisable ?
Lanie : Je vais peut-être en sauver un peu dans le milieu, pourquoi ?
[Salle vidéo : Ryan, Esposito et Gates]
Ryan : [Utilisant l’écran] Voilà ce qu’on a fait. On a finalement réussi à reconstituer une empreinte partielle avec tous les bouts d’empreinte que Lanie a récupérée.
Esposito : Notre victime, c’est Hank Spooner, un chauffeur routier venant de San Antonio et il bossait avec son propre camion.
Gates : Que venait-il faire à New-York ?
Esposito : Bien d’après ses proches, il a eu un contrat il y a une semaine pour une cargaison de Del Rio au Texas à livrer dans le Queens. Ils étaient sans nouvelle de lui depuis 2 jours.
[Un homme marche vers la salle vidéo]
Gates : Quelle était cette cargaison ?
Ryan : Spooner a parlé d’un appel de dernière minute, c’est tout. Provenant d’un client spécial qui payait vraiment bien.
Esposito : Ces proches ont aussi dit que c’était inhabituel qu’il aille dans un motel.
Ryan : Apparemment Spooner ne dormait jamais en ville. Il trouvait plus prudent et moins cher de dormir dans son camion.
Gates : On doit trouver ce véhicule. [L’homme prend le portrait-robot de sur le tableau blanc] Lancer un avis de recherche sur tous les parkings pour poids lourd, avec un peu de chance ça pourra nous dire pourquoi quelqu’un voulait que Spooner meurt.
L’homme : [Entrant] J’ai peut-être la réponse à cette question ! Je crois que vous me rechercher ? Chuck Martinez des stups, salut !
[Bureau de Gates : Martinez, Gates, Esposito et Ryan]
Gates : Comment saviez-vous qu’on vous cherchait, agent Martinez ?
Martinez : On s’intéressait de près à Spooner. On surveillait son dossier alors j’ai été informé quand vous avez entré ses empreintes.
Esposito : Pourquoi l’avez-vous rencontré hier ?
Gates : Votre suspect est mort agent Martinez et deux de mes hommes ont disparus. On n’a pas le temps pour des querelles entre service. Répondez à mes questions ! Pourquoi surveillez-vous Spooner ?
Martinez : Très bien. Une demi-douzaine de fois par an, Spooner acceptait un contrat pour aller du Texas à New-York, mais il s’arrêtait toujours à Del Rio, une petite ville à la frontière Mexicaine.
Esposito : Vous croyez qu’il passait de la drogue du Mexique ?
Martinez : Les cartels sont très actifs dans ces villes et extrêmement brutaux.
Ryan : Si vous saviez qu’il était impliqué pourquoi ne pas l’avoir arrêté ?
Martinez : Tous les signes était là d’accord, on avait contre lui qu’une activité suspecte. Nous on veut pas coincé le passeur, nous on veut les mecs pour lesquels il bosse.
Gates : Comment vous êtes-vous retrouver dans ce café ?
Martinez : On devait faire pression sur lui, alors on a monté une arnaque. On prétendait être les trafiquants voulant l’engager pour livrer de la marchandise. Seulement Spooner a démasqué mon gars, mais au lieu de s’enfuir Spooner a voulu nous rencontrer. Et il avait peur. Il voulait arrêter, il avait peur de ce que ces types pourraient lui faire si jamais il les plantait. Alors il a accepté de tout nous dire si on garantissait sa sécurité. J’ai raconté ça à mes supérieurs, ils étaient d’accord.
Gates : Mais là il était déjà mort.
Martinez : Oui !
[Un agent frappe à la porte en montrant un dossier]
Gates : Excusez-moi !
Martinez : Où étaient vos collègues quand ils ont disparus ?
Ryan : On n’en sait rien. On sait juste qu’il menait l’enquête.
Esposito : Et Spooner ne vous a rien dit à propos de toute cette opération ?
Martinez : Il m’a seulement dit « C’est pas du tout ce que vous croyez ».
Gates : [Revenant] Son camion a été repéré sur un parking pour poids lourd au nord de la ville. Allons-y messieurs!
[Parking poids lourd : Policier, Esposito et Ryan]
[Un hélicoptère éclair le camion]
Policier : D’après le registre du parking le camion est garé là depuis 3 jours. Personne n’a vu le chauffeur depuis 2 jours. Faut que vous jetiez un coup d’œil à l’intérieur.
[La porte du camion s’ouvre et on voit une caisse troué au beau milieu. Ils entrent dans le camion et observe la caisse]
Esposito : Des poils, ça peut-être des trous d’aération.
Ryan : Hey, venez voir ça ! [Trouvant une mare de sang]
22.40
[Sous-sol : Castle et Beckett]
Castle : [Debout sur le congélateur] Toujours trop haut.
Beckett : Pas si je monte sur vos épaules. Quoi ? C’est pas la 1ère fois !
Castle : Ouais, vous dites ça comme si c’était plaisant, on n’était pas menotté en le faisant.
Beckett : Qui n’a pas confiance maintenant ? Castle on ne sait pas quand ils vont revenir, ni même s’ils vont revenir un moment.
Castle : La dernière fois vous étiez en basket.
Beckett : Très bien ! [Essayant d’enlever ces chaussures à talon] J’ai besoin de votre aide.
Castle : Relever mon pull. Enlever mes bottes. Dans des circonstances normales j’apprécierais ou ça nous mènerait.
Beckett : Vous pourrez fantasmer après être sortie de cette pièce.
Castle : Juste pour info c’est moins bien si j’ai votre permission. Comment faite vous pour courir avec ça ?
Beckett : Tirez et taisez-vous !
[Parking de camion : Gates , Martinez, Esposito et Ryan]
Gates : Agent Martinez êtes-vous sûr que ces gars faisait du trafic de drogue ?
Martinez : Si j’avais la réponse je vous l’a donnerai.
Esposito : Capitaine !
Gates : Qu’avez-vous trouvé ?
Esposito : Des récépissés.
Ryan : Spooner a livré un magasin de meuble au sud de Manhattan il y a 2 jours.
Gates : Allez voir !
Esposito : D’accord ! [Les gars partent]
Gates : Contacter vos supérieurs, dites leurs que je veux tous les dossiers sur cette enquête. La vie de deux de mes hommes en dépend.
[Sous-sol : Beckett et Castle]
Beckett : Prêt ?
Castle : Prêt !
Beckett : Un, deux, trois ! [Essayant de monter sur ses épaules] Oh !
Castle : Oh là, oh là ! [Elle essaye mais n’arrive pas à se tourner] Redressez-vous !
Beckett : Castle, vous pouvez me reposer ?
Castle : [S’exécutant] Ouais d’accord, doucement ! Si jamais on sort d’ici je crois qu’on devrait songer à entrer dans un cirque.
Beckett : Laissez-moi essayer par derrière !
Castle : D’accord ça me va ! [Beckett se positionne dans son dos] Allez !
Beckett : Prêt ?
Castle : Prêt !
Beckett : Un, deux, trois ! [Montant sur ses épaules en une fois]
Castle : Ouaa, c’est bien. On y est !
Beckett : Oh… je vais essayer d’ouvrir la trappe. Prêt ?
Castle : Prêt ! [Beckett se relève en s’étirant] Ce n’est pas aussi amusant que je l’avais imaginé. [Beckett touche presque la trappe] J’en ai un petit peu marre que vous me piétiner comme ça.
Beckett : [Soulevant la trappe d’un centimètre] C’est ouvert ! Je crois que je peux arriver à monter.
[Un homme chauve soulève la trappe. Beckett crie et perde l’équilibre ce qui les fait tomber tous les deux sur le matelas en contrebas]
Beckett : Hey, laissez-nous sortir d’ici !
Castle : Pourquoi vous nous retenez prisonnier ?
[L’homme fait un rictus, referme la trappe et la verrouille]
[Au poste : Ryan, Esposito et Gates]
Ryan : Capitaine. On a vu le gérant du magasin de meuble qui confirme qui Spooner est bien passé il y a deux jours et qu’il lui a seulement livré, deux tables basse posé à l’arrière du camion.
Gates : Et vous pensez que c’est vrai ?
Ryan : C’est un bon père de famille et il a pas de casier.
Esposito : Et quelque chose est arrivé pendant la livraison. Un truc bizarre. Pendant qu’il faisait le déchargement, un paquet qui était en hauteur est tombé sur lui.
Ryan : Et ce paquet devait être vide, vu qu’il a rebondi en lui arrivant sur l’épaule. Quand il a plaisanté avec Spooner en lui demandant s’il transportait du coton ou de l’air. Spooner est resté un peu vague et a dit que c’était seulement des paquets vides pour combler l’espace.
Esposito : Le gérant trouvait pas ça important, mais il a entendu du bruit de derrière les paquets. Ça ressemblait à une respiration.
Gates : Donc Spooner décide de faire des boulots totalement légaux pour pouvoir justifier ces différents déplacements et monte un mur de paquet vide devant la vraie cargaison qu’il transporte. [Les gars acquiescent] Le gérant a une idée de l’endroit où Spooner devait aller ?
Ryan : Non !
Gates : Beckett et Castle était sur une piste, mais où sont-ils allés tous les deux ?
Esposito : Et bien la seule chose qu’on avait à ce moment-là, c’était cette adresse. [Prenant l’enveloppe déchirée sur le tableau et la donnant à Gates]
Ryan : Et on l’a déjà vérifié.
Gates : Ils ont surement vu ou entendu une chose qui vous a échappé. Très bien je veux que vous… [Sur le point de remettre l’enveloppe sur le tableau mais Ryan lui attrape le poignet]
[Ryan lui arrache des mains et lui montre le code postal]
[Maison du Queens : SWAT, Esposito et Ryan]
[Le SWAT défonce la porte]
SWAT : Allez ! Allez ! Allez !
Esposito : Police, Police !
Ryan : Police !
SWAT : Il y a quelqu’un ? Montrez-vous !
SWAT2 : De l’autre côté ! RAS !
Esposito : Rien dans cette pièce.
Ryan : RAS.
SWAT : RAS.
Esposito : La maison est vide. Ils sont venus ici d’après toi ?
Ryan : S’il était bien là, ils n’y sont plus.
SWAT : Lieutenant venez voir, il y a une sorte de trappe.
SWAT2 : Etablissez un périmètre de sécurité. C’est armé !
[Ils ouvrent la trappe, mais ne trouve rien]
[Sous-sol : Castle et Beckett]
[Castle tente de casser les menottes mais le couteau se casse]
Castle : Ca ne donne rien !
Beckett : Ces menottes sont en acier, sans la clé on ne les enlèvera pas.
Castle : On peut se détacher autrement. Ce ne sont pas les menottes qu’on va couper.
Beckett : Vous… pensez à…
Castle : Mad Max ou 127 heures.
Beckett : Vous proposez qu’on coupe votre main ?
Castle : Quoi ? Mais non, la mienne. Non, non, seulement la vôtre.
Beckett : Ma main ? Pourquoi la mienne Castle ?
Castle : Ba elle est plus petite.
Beckett : [Entendant des bruits de pas] Ils arrivent !
[Ils récupèrent des couteaux et se rapproche de la porte]
Homme : Dit lui que c’est un bon prix et que si elle lui plait j’en ai deux autres qui me sont tombé du ciel et que je peux lui vendre pas cher. Je dois m’en débarrasser rapidement.
[Un homme parle]
Beckett : Ca ressemble à de l’arabe. [On entend encore de l’arabe] Ils vont dans l’autre pièce ! [Ecoutant au mur] Il y a une autre personne là-dedans. Ils retiennent quelqu’un d’autre !
Castle : La vieille femme ?
Beckett : Non. C’est plutôt une fille…
Castle : Qu’il s’apprête à vendre. Du trafic d’être humain, voilà ce que c’est. Ils enlèvent des tas de gens pour les vendre. C’est pour ça qu’on est encore en vie, ils ne vont pas nous tué, ils vont nous vendre. [Beckett lève les yeux au ciel] Quoi ? J’écris tout le temps des best-sellers. Je me demande combien je peux valoir.
Beckett : Essayons de ne pas le découvrir !
Castle : Ouais, essayons !
[Maison du Queens : Ryan et Esposito]
Ryan : Quelque chose ?
Esposito : D’après les marques de découpe on dirait que cette trappe vient d’être installée.
Ryan : On sait pourquoi ?
Esposito : Non. La scientifique va chercher des empreintes et des indices. Qu’on dit les voisins ?
Ryan : Euh… Que la banque a exproprié les précédents occupant, Bill et Nora Ranford il y a 6mois environs, mais qu’il y une quinzaine de jours des gens ont emménagés.
Esposito : On sait qui, ils sont ?
Ryan : Hum, hum. Ils ont fait profil bas. Mais les voisins disent qu’il y avait deux types, des frères. Ils ne savent absolument rien sur eux, à part qu’ils avaient un pick-up noir.
Esposito : Deux mecs dans un pick-up noir ! Alors Beckett et Castle étaient ici.
Ryan : En plus de ça, il y a deux nuit, le gars d’en face était chez lui tranquille quand il a entendu du bruit au milieu de la nuit. Alors il est allé à la fenêtre et il a vu un semi-remorque garer.
Esposito : Spooner était là aussi.
Ryan : Ouais. Quoi qu’il se soit passé, c’était dans cette maison !
Esposito : Faut qu’on appelle le cadastre, qu’on est les noms des proprios. Je veux savoir qui sont ces gars !
[Sous-sol : Beckett et Castle]
Beckett : [Tapant au mur] Hé, oh, vous nous entendez ? [Frappant le mur] J’entends une personne respirer.
Castle : Peut-être qu’elle est sous sédatif ?
Beckett : Hé, oh, vous nous entendez ? [En tapant sur le mur, une brique se casse] Ce mur est fait d’enduit et de carreau.
Castle : Et alors ?
Beckett : Alors tous les autres sont en parpaing. Si on creuse on pourra peut-être faire une brèche pour aider cette fille.
Castle : Comment le fait de sortir d’une prison pour aller dans une autre va pouvoir nous aider ?
Beckett : Je vais vous poser une question. Si c’était Alexis de l’autre côté, que feriez-vous ?
[Ils commencent à creuser le mur]
[Bureau des gars : Esposito et Ryan]
Esposito : [Au téléphone] Ouais, très bien… appeler moi aussitôt … merci ! [Raccrochant]
Ryan : [Arrivant] La scientifique ?
Esposito : Ouais. Aucune empreinte dans la maison. Elle a été briquée entièrement. Qu’est-ce que tu as appris de ton côté ?
Ryan : Oh et bien la maison a été saisi, il y a 5 mois. Elle appartient toujours à la National banque. Nos types devaient la squatter.
Esposito : T’as dit la National Banque ?
Ryan : Oui pourquoi ?
Esposito : Les dossiers que l’agent Martinez a envoyés. [Attrapant un dossier et le lisant] Ouais. Spooner a fait une livraison à Brooklyn, il y a deux mois tout juste. Deux jours plus tard, les fédéraux ont fait une descente dans cette maison, mais il y avait plus personne. Ils ont pu accéder au sous-sol par une trappe ressèment découper.
Ryan : Ca me rappel un truc.
Esposito : Les habitants avaient fait l’objet procédure d’expropriation par la National Banque.
Ryan : Nos types doivent visés des maisons abandonnées pour mener leurs opérations à bien.
Esposito : Trouve une liste des maisons dont la National Banque est propriétaire à New-York. En cherchant en priorité celle avec un sous-sol. S’ils ont accès aux fichiers des saisis, c’est peut-être comme ça qu’ils trouvent des lieux tranquilles.
[Sous-Sol : Castle et Beckett]
[Beckett et Castle fond un trou dans le mur avec un couteau]
Castle : Voilà, ça devrait aller. Reculer !
Beckett : D’accord !
Castle : Bon. Prête ?
Beckett : Prête !
Castle : Allez ! [Beckett défonce le mur à coup de pied soutenu par Castle qui la tient] Décalez-vous un peu !
Beckett : D’accord !
[Castle se met à côté d’elle]
Castle : Très bien. Ensemble ! Prête ?
Beckett : Oui !
Castle : Allez ! [Haletant tous les deux en défonçant les briques du mur, à grand coup de pied] J’ai toujours aimé vos jambes, maintenant en plus, je les respecte.
Beckett : Oh les vôtres sont pas mal non plus. Pour le prochain pique-nique de la police faisons la course à trois jambes ensembles.
Castle : Ça marche, très bien !
Beckett : [Se relevant et allant face au trou] Hé, oh… vous nous entendez ?
Castle : Vous voulez surement y aller en premier ?
Beckett : Non allez-y !
Castle : Oh, c’est pas de refus.
Beckett : Je vous en prie.
[Castle casse des morceaux de bois et met la tête dans le trou]
Castle : Hé, oh… vous m’entendez ? On vient vous… [S’arrêtant en entendant un grognement. Un tigre arrive sur lui et il se recule rapidement. Beckett cris]
Beckett : [Criant] Un tigre !
Castle : Oui un tigre. Il a bien faillit m’arracher le visage.
Beckett : Alors ça explique la cage et les chaines et les couteaux de boucher pour couper la viande.
Castle : Un tigre. C’est cet animal qu’ils voulaient vendre.
Beckett : C’est illégal. Les tigres sont une espèce protégée. On a mis le nez dans leur opération.
Castle : Mettre le nez dans leur opération n’est pas notre problème pour l’instant. C’est que ce tigre mette son museau ici, notre problème.
Beckett : Ne vous en faites pas. Il ne peut pas traverser ce mur.
[Le tigre arrache des morceaux de mur]
Castle : [Hurlant] Bas les pattes ! Recule !
Beckett : C’est juste mon imagination ou on dira qu’il a faim ?
Castle : Ouais on dirait bien.
Beckett : Qu’est-ce que vous faite ?
Castle : Je veux seulement nous donner un peu de répit. [Balançant la viande sécher récupérer dans sa poche dans l’autre pièce]
Beckett : Non, non, n’approchez pas, Castle !
Castle : Voilà, il va aller le manger.
Beckett : Oui et quand il en aura fini avec ça. Il en voudra plus. [Le tigre casse une autre partie du mur] [Criant] Il arrive !
[Poste : Esposito]
Esposito : La National Banque a saisi une centaine de propriété dans les différents quartiers de New-York. Mais comme nos types on certain besoin, toute celle qui n’ont pas de sous-sol ont été éliminé.
[Sous-sol : Beckett]
Beckett : [Prenant un couteau dans le congélateur] Venez Castle, on doit boucher ce trou ! Poussez ! [Bougeant difficilement le congélateur contre le mur] Encore !
[Au poste : Ryan et Esposito]
Ryan : Les deux autres maisons qu’ils ont utilisées ont d’autre chose en commun. Accès d’autoroute à proximité, de longue et large allés ou un camion peut passer et elles étaient situées en plein milieu d’un terrain vague ou autour de maison vide pour ne pas être espionné par leurs voisins.
Esposito : Si on croise toutes les infos qu’on a ici, ça nous laisse 11 lieux possibles dans ce secteur.
[Au sous-sol : Castle et Beckett]
Castle : [Voyant le tigre presque arriver à son but] Beckett !
Beckett : On fait quoi maintenant ?
[Au poste : Gates]
Gates : On réparti cette liste. On envoi des équipes dans les 11 propriétés et on ramène Beckett et Castle en vie.
[Au sous-sol : Castle et Beckett]
Castle : On va dans le congélateur !
Beckett : Si, il se referme, on va suffoquer !
Castle : Vous préférez être dévoré ?
Beckett : J’attendais l’option numéro 3 !
[Le tigre grignote encore le mur]
Castle : Venez derrière moi ! Bon il faut essayer de… J’ai un plan !
[Dans un bâtiment abandonné : Esposito et Ryan]
Esposito : 817 Fincher Drive. Des bâtiments industriels saisi y a 8 mois.
Ryan : Ça a l’air vide comme les 3 derniers endroits.
Esposito : On va faire le tour pour voir s’il y a quelque chose derrière.
Ryan : Ouais.
[Sous-sol : Beckett et Castle]
[Le tigre fait plus de dégât sur le mur. Beckett monte sur le congélateur mis à la vertical et aide Castle à monter à son tour, juste au moment où le tigre les rejoint]
Beckett : C’est ça votre plan ? Vous savez à quelle hauteur les tigres peuvent sauter ? [Le tigre se jette sur eux pour essayer de les attraper] Très haut !
Castle : Mais on est toujours en vie, n’est-ce pas ?
[Dans un bâtiment abandonné : Ryan et Esposito]
Ryan : [Regardant par la fenêtre] Esposito vient voir !
[Ils entrent dans le bâtiment et trouve un pick-up noir]
Esposito : Il faut appeler des renforts.
[Sous-sol : Castle et Beckett]
[Le tigre nargue Beckett et Castle, il essaie de les attraper en se léchant les babines]
Castle : Vous vous rappeler que j’ai parlé d’entrée dans un cirque ?
Beckett : Hum, hum !
Castle : Et bien ça me dit plus rien ! [Le tigre se jette sur le côté du congélateur qui tangue] OH, ohhhh !!
Beckett : Il joue avec nous. Il va nous faire tomber. Qu’est-ce qu’on va faire ?
Castle : On a plus qu’une chose à faire ! On va crier comme des petites filles !
Beckett et Castle : [Ensemble] Au secours !
[Sous-sol : Castle, Beckett / Dans un bâtiment abandonné : Ryan, Esposito, Ruth, Jack, Bobby et la police]
Castle : [Au loin] Au secours !
Beckett : [Au loin] Au secours !
Castle : Sortez-nous de là !
Ryan : [Les entendant] Une minute ! Ecoute ! T’entends ?
Castle : Aidez-nous !
Esposito : Ouais.
Castle : On est en bas !
[Les gars se précipitent dans la direction des cris]
Beckett : Au secours ! Venez nous sortir de là ! Au secours, aidez-nous !
[Esposito ouvre la trappe]
Esposito : Beckett, Castle !
Beckett : [Soulager] Esposito !
Esposito : C’est un tigre?
Castle : Oui. Oui c’est un tigre. Et ce serait bien de nous sortir de là !
Ryan : Euh… d’accord accrocher vous, on en a pas pour longtemps !
[Une femme pointe son fusil et l’arme, les gars l’entendent et se tourne vers elle arme au point. Esposito lâche la trappe qui se referme]
Ruth : C’est bon lâcher vos flingues ou je vous fais exploser la cervelle.
Castle : Aidez-nous ! [Le tigre est de plus en plus agiter]
Beckett : Les gars ouvrez la trappe !
Castle : Les gars !
Beckett : Ryan, Esposito, aidez-nous !
Castle : Ouvert cette trappe !
Beckett : Au secours ! [Le tigre grogne]
Beckett : Qu’est-ce que vous faite ?
Castle : Hey, les gars !
Ryan : Posez tout de suite votre arme !
Esposito : Peu importe sur lequel vous tirerez en premier, on est deux et l’autre vous tuera aussitôt.
Ruth : Je vais peut-être descendre le beau gosse en 1er. [Les gars se jettent un coup d’œil] C’est une chance que j’ai pas à choisir.
Jack : [Arrivant de derrière un poteau, armer] Lâcher tous les deux vos flingues !
Ryan : Après toi !
Bobby : [Armer] Descendons les m’man. Laissons le tigre s’occuper des autres comme prévu.
Castle : Sortez nous de là !
Beckett : Ouvrez cette trappe.
Castle : La situation est extrêmement pierreuse. Au secours !
Beckett : Faite nous sortir !
[La vieille femme essaie de partir]
Esposito : Si vos fils tirent, croyez-moi là je n’hésiterais pas à vous mettre une balle dans la tête. A vous de choisir ?
Beckett : Sortez nous de là !
Ruth : Vous les New-Yorkais a côté des flics du Texas vous ne fait pas le poids. Seulement je sais que vos petits copains vont bientôt débarquer dans le coin. Alors je vais vous dire ce qui va se passer. Mes gamins et moi ont va sortir d’ici. Soit vous vous faite tuer en essayant de nous en empêcher, soit vous nous laisser faire et vous allez sauver vos amis. A vous de choisir ?
[La vieille femme recule et Esposito continu de la braqué]
Castle : [A Beckett en voyant le tigre se préparer a attaqué] Je suis vraiment désolé. Je sais pas quoi faire d’autre !
[Les hommes se préparent à partir]
Ryan : Javier ?
Castle : Kate !
Beckett : Non, Castle, j’ai pas… survécu à une balle dans le cœur pour finir en chair à pâté pour tigre.
[Le tigre se prépare et saute sur le congélateur qui tombe. Castle et Beckett hurle]
Esposito : Laisse-les partir ! [Abaissant son arme] Vient allons-y !
[La vieille femme part]
[Esposito amène une poulie pendant que Ryan ouvre la trappe et ne trouve que le tigre]
Esposito : Oh non, il les a dévorés !
Beckett : Il nous a pas dévorés !
[Ryan se penche dans la trappe et les voie accrocher à des tuyaux]
Castle : Mais il le fera, si vous ne vous dépêcher pas !
Ryan : Accrochez-vous bien tous les deux !
[Esposito leur lance la chaine de la poulie]
[Les phares du pick-up s’allument et au moment où la voiture sort du bâtiment, les lumières de la police s’allument]
Policier : Police, arrêter le véhicule !
Policier1 : Mettez les mains en l’air et sortez du véhicule tout de suite !
Policier2 : Mains en l’air, Sortez du véhicule !
[Dans un bâtiment abandonné : Ryan, Beckett, Castle, Esposito et Gates]
Ryan : [Leur enlevant les menottes] Menotter ensemble tout ce temps ? Ça me surprend que vous ne vous soyez pas entretuer !
Beckett : Bah, c’était limite par moment !
Castle : Jusqu’à ce qu’on trouve notre rythme ! [Se souriant]
Ryan : On ira en avion en Floride ! [Esposito acquiesce] [Castle et Beckett sont surpris]
Beckett : Quoi ?
Ryan : Euh. Non rien !
Gates : Je pense que c’est à vous ! [Lui remettant une boite avec sa plaque et toutes leurs affaires] Ca aussi ! [Lui donnant son arme]
Beckett : Merci. Comment avez-vous… [Esposito dépose les menottes sur le dessus des affaires avec un rictus. Castle sourit] [Gêner] retrouvé notre trace ?
Esposito : On a suivi vos petits cailloux, ça nous a conduits ici !
Gates : Et heureusement pour nous tous, certain de mes lieutenants me tienne informer de leurs fait et geste. A cause de vous deux, j’instaure une nouvelle politique dans notre service. Personne ne va nulle part, sans mettre au courant ses collègues. [Partant]
Ryan : Merci, c’est vraiment génial.
Esposito : Au moins on n’aura pas à vous chercher partout la prochaine fois qu’on vous sauvera la vie. Vous m’avez manqué, hein !
Beckett : Vraiment ? Prouve-le !
Esposito : Et je vais le prouver…
Ryan : Et au fait…
Beckett : Esposito !
Esposito : Quoi ?
Ryan : Il était sympa ce tigre ?
[Bureau de Gates : Martinez, Gates, Castle et Beckett]
Martinez : Elle s’appelle Ruth Spurloch. Et il s’avère qu’elle et ces fils étaient vraiment d’important fournisseur de Tigre pour des clients fortunés à travers le monde.
Castle : Difficile de croire qu’on tue pour ça.
Martinez : Le commerce d’animaux protéger représente des millions de dollar. Le Texas qui n’a quasiment aucune réglementation est l’un des rares endroits au monde, ou l’élevage et la vente de tigre sont autorisés. Ruth et ses fils se faisaient des millions avec leur ferme d’élevage.
Gates : Spooner assurait le transport de Del Rio jusqu’à New-York.
Beckett : Ensuite les clients fortunés les récupéraient et se les faisaient expédier en avion privée.
Martinez : Oui sauf qu’en dehors du Texas le commerces des espèces en voie de disparition est un crime puni par la loi. Donc Ruth ne voulait pas que Spooner vende la mèche.
Beckett : Voilà pourquoi quand on est allé chez eux, elle a joué la victime pour qu’il puisse nous tombé dessus.
Castle : Oui et nous endormir avec des calmants pour animaux. Ce que je n’ai pas trouvé excessivement bon. Je… je sens encore le gout dans ma bouche.
Martinez : Oui. Bon. Je vais transmettre le dossier au FBI et au service des Douanes. Vous pourrez vous arrangez avec eux pour l’accusation de meurtre.
Gates : Merci agent Martinez. Je vous raccompagne !
[Ils sortent tous du bureau]
[Bureau du poste : Esposito, Ryan, Castle et Beckett]
Esposito : Hey, les poils trouver dans le camion appartenait à un tigre et le sang venait de viande animale.
Ryan : Les trappes servaient à jeter la viande au tigre ou à leur injecter des sédatifs.
Castle : Que va-t-il lui arrive à ce tigre ?
Esposito : On va le tuer !
Beckett : Il va être transférer dans un sanctuaire.
Esposito : Ou bien ça !
Beckett : Dans un zoo certainement. Pourquoi vous voulez lui rendre visite ?
Castle : Non. Non, non, c’est bon !
Beckett : Il est tard, allez-vous reposer !
Esposito : Vous aussi !
Ryan : Ouais !
[Ryan et Esposito partent]
Beckett : C’est surement la fois la plus bizarre ou j’ai frôlé la mort.
Castle : Oui moi aussi. Mais je vais vous dire après cette expérience, si je devais être casé avec quelqu’un se serrait avec vous !
Beckett : Caser ?
Castle : Caser ? Non ! J’ai pas dit « caser ». J’ai dit coincé ! [L’aidant à mettre sa veste] Attacher en fait, pas caser. Attacher à quelqu’un et coincer dans une dans une pièce !
Beckett : Ca va Castle, j’ai compris ce que vous vouliez dire et pour info, si jamais je devais encore passer une nuit attacher à quelqu’un avec des menottes. Ça me gênerait pas non plus que ce soit vous !
Castle : C’est vrai ?
Beckett : Mais la prochaine fois… autant qu’il y ai pas de tigre ! [Partant]
Castle : La prochaine fois ?
[Beckett se retourne comme si de rien était et part vers les ascenseurs] [Castle sourit heureux]