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Répliques Cultes VF - Saison 1

Martha : Chérie, sérieusement, personne ne fait ses devoirs pendant une fête!
Alexis : J'ai un examen la semaine prochaine !
Martha : Et alors, moi aussi, j'ai un examen du foie ! Pourtant je ne suis pas en train de réviser

Martha : Une seconde chéri, mon détecteur de cheveux gris s'est mis en alerte
Castle : Oh...
Martha : Bingo, pas d'alliance ! Poussez-vous les enfants, maman va à la pêche ! 

Castle : Quand j'avais ton âge moi... Nan, je peux pas te raconter ça, ça serait extrêmement déplacé. Même si justement c'est le but. T'as pas envie d'avoir plein d'histoires glauques que tu pourras raconter à tes enfants ?

Castle : Rien qu'une fois, je voudrais qu'on vienne me voir pour me dire un truc nouveau !
Beckett : Monsieur Castle ?
Castle [se retourne et sort son stylo] : Où voulez-vous que je signe ?
Beckett : Lieutenant Kate Beckett, de la police de New York. J'aurais quelques questions à propos d'un meurtre commis plus tôt dans la soirée.
Alexis [reprend le stylo à Castle] : Ca c'est nouveau !

Beckett : Je vois que vous avez aussi volé le cheval d'un policier !
Castle : Emprunté !
Beckett : Ah... Et vous étiez tout nu sur le cheval !
Castle : C'était le printemps.

Castle [après avoir demandé les photos des scènes de crime] : Ce ne sont pas les cadavres que j'ai demandé, ce sont seulement... les photos.

Beckett : [...] Rick, vous êtes là pour me pourrir la vie ?!
Castle : Si je suis là, c'est pour l'histoire !

Beckett : Bienvenue dans le monde réel, Monsieur la superstar.
Castle : Le monde réel ça n'a jamais été mon truc.

Esposito : Ce mec a le numéro du maire dans son portable ?! Les riches sont vraiment à part !
Beckett : Si tu le veux, je te le laisse !
Esposito : Une obsédée du contrôle comme vous, obligée de se taper un mec incontrôlable, je manquerais ça pour rien au monde !

Alexis : Si je dois encore payer ta caution, va falloir encore m'augmenter mon argent de poche. Beaucoup !

Beckett : Castle, est-ce que ça va ?
Castle [menacé par une arme: Oui, à part son haleine qui est vraiment épouvantable !

Beckett [A propos de Castle] : ... Ecoutez chef, on dirait un gamin de 9 ans dans un magasin de jouets, il est incapable de prendre quoi que ce soit au sérieux !

Policier : Monsieur Castle, notez que s'il vous arrive quoi que ce soit, alors que vous aidez le lieutenant Beckett, vous ne pourrez pas vous retourner contre la ville. Si on vous tire dessus, vous ne pourrez pas vous retourner contre la ville ! Si vous êtes tué...
Castle : ... Mon cadavre ne pourra pas se retourner contre la ville !

Ryan : Non, elle en a eu marre de poiroter, alors elle a ouvert un sèche linge pour enlever les affaires d'une autre personne, et elle a trouvé Mademoiselle "Jamais sans mes fringues" !
Esposito : Si c'est pas une parabole qui illustre "il ne faut jamais s'occuper des affaires des autres", alors je ne sais pas ce que c'est.

Esposito [A Ryan: Désolé Monsieur, si quelqu'un commence à farfouiller dans mes slips sans mon autorisation, je trouve pas ça très sain d'un point de vue hygiénique !
Beckett : Je croyais que tu portais pas de slips !

Castle [voyant Ryan, Esposito et Montgomery devant un ordinateur: Trois hommes agglutinés autour d'un écran, j'espère que c'est pas pour du porno ! Mais si c'est le cas, je veux voir !

Alexis : J'ai jamais eu de baby-sitter.
Castle : Ta mère et moi, on a préféré que la personne qui gâche ton éducation, ce soit moi. Seulement tu t'es débrouillée pour bien t'en sortir quand même.

Castle : Vous avez le droit de lui interdire de quitter la ville ?
Beckett : Euh non, mais il en sait rien.
Castle : Vous feriez croire n'importe quoi, c'est trop cool !

Beckett : Moi, aucune. J'ai jamais été mariée.
Castle : Sans blague !
Beckett : Ouais.
Castle : Ca vous irait comme un gant avec votre esprit de contradiction ! Vous pourriez essayer !

Castle : Que diriez-vous d'un strip poker ?
Beckett : Je préfère les romans policiers aux films d'horreur !

Peterson : Ce n'est pas du tout ce que vous imaginez.
Castle : Bien entendu !

Beckett : D'accord Castle, mais vous êtes là pour observer, pas pour venir mettre votre grain de sel !
Castle : C'est plus marrant avec le grain de sel mais, je suis d'accord.

Castle : Et voilà, vous devez être soulagée, on m'a ni tué ni tiré dessus !
Beckett : Effectivement, mais ce sera peut-être pour demain.

Castle : Tu lis le journal ? Mais tu es une ado, tu devrais passer tout ton temps sur ton téléphone portable à textoter ou devant ton ordinateur à chater. 
Alexis : Je suis une rebelle, de la vieille école.

Beckett : Pourquoi des funérailles sur l’eau ? 
Castle : Les Vikings croyaient que pour rejoindre le Valala, ils leur fallait un vaisseau. 
Beckett : Un Viking avec un flingue ? C’est ça votre théorie ? 
Castle : Non, si c’était un Viking, il y aurait aussi une femme en sacrifice. Sans oublier de l’alcool et un bon cheval ! 

Castle : Ho là, je me suis fait renvoyer au moins une fois de tous les établissements les plus prestigieux de la ville. L’ironie du sort, c’est que maintenant que je suis riche et célèbre ils ont en tous après mon nom et mon argent. 
Beckett : Votre vie doit être un clavaire ! 
Castle : Vous ne croyez pas si bien dire !

Castle : Vous savez qu’en Grec ancien tragédie signifie « Chant du bouc ». Je sais ça n’a aucun sens, pour moi non plus. Mais à mon avis dans la toute première tragédie grecque, ce bouc a du finir dans un bain de sang. 

Beckett [son téléphone sonne, elle décroche] : Beckett ? [Castle colle son oreille au téléphone de Beckett] [tire l’oreille de Castle et ne la lâche pas] Oui… D’accord… Oui, bien sûr…. J’arrive tout de suite. 
Castle [se frotte l’oreille] : Mettez le haut-parleur la prochaine fois ! 

Alexis [se réveille, remarque que Castle l’observe] : T’essaye encore d’imaginer une façon de tuer quelqu’un dans son sommeil ? 
Castle : Non, pas cette fois.

Montgomery : Vous plaisantez j’espère, j’ai déjà dit au patron qu’on avait bouclé le meurtrier. 
Castle : Oui, effectivement c’est un peu gênant. 
Montgomery : Même le maire m’a appelé pour me remercier. Au fait, il vient au match des Knicks. 
Castle : Génial ! 

Alexis : Mais je t’ai menti…Alors normalement, t’es censé me punir. 
Castle : Oui, oui, c’est vrai tu as raison…euh…Un pot de glace obligatoire au petit dej’; est-ce que c’est clair? 
Alexis : Je suis sérieuse, si tu ne me punis pas, c’est moi qui le fait! 
Castle : Je suis très sérieux pour la glace. 
Alexis : Comme tu veux, je suis privée de sortie pendant une semaine !
Castle : D’accord. Tu es dure mais juste. 

Alexis : Papa, tu devrais la soutenir! Elle essaie seulement de guider les gens! 
Castle : Oui, vers mon bar et mon frigo! 

Beckett : Oh mais oui j’y suis, vous vous cachez ! Votre livre sort aujourd’hui, et vous vous cachez.
Castle : Pour me cacher, je pourrais tirer une forteresse avec ma couverture et je descendrais un livre de scotch, mais il paraît que ça attaque le foie.

Castle : Tout artiste a sa muse !
Beckett : Traitez moi de muse à nouveau et moi je vous fais une grosse tête ! D’accord ?

Castle : Eh, je suis un plaisantin, pas un crétin !
Beckett [sourit: Je savais pas qu’il y avait une différence.

Beckett : Cette femme lieutenant, dans votre histoire, à quel point va-t-elle me ressembler ?
Castle : Eh bien, elle est pas trop maligne, mais assez garce.
Beckett : Très bien, c’est une réponse de plaisantin ou de crétin ?
Castle : Là je dirais de crétin. Non sincèrement, vous n’avez pas à vous inquiéter, elle sera vraiment, vraiment très maligne. Vraiment très habile, très envoutante, extrêmement compétente… et assez garce !
Beckett : Castle !

Beckett : Castle ! Qu’est-ce que vous faites ?
Castle : Faudra pas me détester après.
Beckett : C’est déjà le cas, sachez le.

Castle : C’est pas exactement une amie, c’est ma décoratrice d’intérieur, mais comme on a couché ensemble, je ne sais plus exactement ce qu’elle est.
Beckett : Mais enfin, à quoi vous pensiez ?!
Castle : Oui, je sais, on travaille ensemble on croît que tout ira bien, mais les choses deviennent bizarres à chaque fois, j’espère que vous vous en souviendrez.
Beckett [stupéfaite: Quoi ?! Je voulais parler des photos du corps que vous avez prises.

Castle [hurle depuis la salle d’observation] : Tu dormais, t’es minable ! T’es vraiment minable, minable, minable ! [On l’entend depuis la salle d’interrogatoire

Castle : Ah je dois reconnaître que le conseiller chaud lapin était vraiment très souple pour quelqu’un de son âge ! [Il lui montre une photo] Regardez, vous savez faire ça ?! [Beckett le regarde dépitée]

Interlocutrice : Liaisons VIP ?
Beckett : Castle, qu’est-ce que vous faites ?!
Castle : Salut, je m’appelle Richard, j’ai vraiment de gros moyens, je souhaiterais un rendez-vous très particulier avec Tiffany. [Beckett veut arrêter Castle, qui commence alors à courir dans tout le commissariat] Vous me rappelez ? Vous pouvez me joindre au 347-551-03-79, merci ! 

Lanie : C’est pas normal, prendre un verre avec moi après le boulot au lieu d’aller t’envoyer en l’air avec le bel écrivain…
Beckett : Oui, eh bien il est énervant, agaçant, narcissique, égocentrique, et réellement très…
Lanie : … marrant ! Allez crois moi jeune fille, il faut t’amuser ! Ca pourrait pas te faire de mal.
Beckett [son téléphone sonne, elle décroche: Beckett ?
Castle [depuis son canapé, affalé: Devinez qui a rendez-vous demain avec une prostituée ?! 

Alexis : J’ai eu Gina, elle a appelé pour pas que tu oublies la lecture préférée, librairie de Broadway, demain.
Castle : C’est gentil de sa part.
Alexis : Oui et si tu refuses d’y aller, elle va… [Elle prend un papier] Faire couler du miel sur tes yeux et lâcher des fourmis rouges !
Castle : C’est quoi le pire, se faire dévorer les yeux par des fourmis rouges ou lire à une foule une prose si mauvaise qu’elle m’a fait m’égosiller dans la neige ?

Alexis [lit l’article du Ledger] : Richard Castle nous rappelle ce qu’un bon roman populaire doit être réellement, il nous fait désirer un monde envahi d’imperfections pour qu’on puisse s'élever et même devenir le héros qu’on s’imagine être secrètement.
Castle : C’était un bon journal auparavant, et le voir en arriver là, c’est navrant.
Alexis : La ferme ! Je suis fière de toi.
Castle : Et bien ne l’oublies pas la prochaine fois que je me mettrais à chanter devant tes amis.

Beckett : [A Castle après la lecture] Je me suis dit que comme vous me perturbez dans mon boulot, je devais vous perturber dans le vôtre ! C’était pas trop mal, en fait moi j’ai trouvé ça… émouvant.
Castle : Vous n’essayez pas de vous moquer de moi ?!
Beckett [imite Castle: Parfait, se dit-elle, alors que le vent… rassemblait ses cheveux, personne ne va voir mes… larmes ! [Castle sourit] Comment le vent arrive-t-il à faire ça, ça m’intéresse ?
Castle : Oh, vous allez me dire comment faire mon travail ?
Beckett : C’est très agaçant, hein ? [Martha et Alexis les rejoignent]

Martha : Alors espérons que Nikki Hard fasse aussi bien !
Beckett : Nikki Hard ?
Martha : Son personnage fondé sur vous.
Beckett [en fixant Castle: Nikki… Hard ? Vous avez un instant à m’accorder ?
Castle : Mais oui bien sûr. [Alexis tente de les suivre, mais Martha la retient]
Beckett : C’est quoi ce nom débile ? Nikki Hard ?
Castle : Un nom de flic.
Beckett : Un nom de stripteaseuse !
Castle : Je vous avais dit qu’elle était assez garce !
Beckett : Changez-le Castle !

Beckett : [A un enquêteur scientifique] Faites un gros plan de son visage, on va regarder dans le fichier des personnes disparues. 
Castle : Comme dans les émissions scientifiques pour enfants, où on voit des ordinateurs capables de reconnaissances optiques ? 
Beckett : Oui, tout à fait. 
Castle : Oh ouais ! 
[Commissariat : Beckett, Ryan, Esposito et Castle]
Beckett [en posant une tonne de dossiers sur la table] : Bienvenue dans le service de recherches des personnes disparues grâce à des ordis capables de reconnaissances optiques ! 
Castle : C’est manuel ? Vos méthodes remontent à la préhistoire. 
Esposito : Peut-être que votre téléphone a un logiciel prévu pour ça ! [Castle rit faussement

Ryan : Vous avez déjà décongelé un corps, pour l’un de vos bouquins ? 
Castle : Non, mais j’ai cuisiné une dinde pour Thanksgiving. Elle pesait 12 kilos, il lui a fallu la nuit pour  décongeler. 
Beckett : On parle de quelqu’un, pas d’une dinde. 
Castle : J’illustrais mon propos.  

Castle : J’ai lu son dossier. Elle avait décroché puis s’était mariée avec Samuel Cavanagh. Elle travaillait dans un restaurant et lui dirigeait une banque. Ils avaient deux enfants. 
Beckett [en prenant le café de Castle] : Quand avez-vous lu son dossier ? 
Castle : Euh, ce n’est pas votre… Quand vous êtes allée au petit coin. 
Beckett : J’en ai eu que pour une minute.  

Ryan : J’y crois pas. 
Castle : Je peux vous convaincre en moins de 300 pages !
Beckett : Ce qu’on essaie de faire, c’est mener une enquête, pas écrire un bouquin. 
Castle : Je vois le titre d’ici : « Juste un frisson dans la nuit » 
Esposito : Ouh, ça c’est chouette ! 

Castle [ne sait où aller] : Les clochards ou les parents ? Les clochards ou les parents ? 
Esposito : Dans les deux cas, c’est pas la joie ! [Castle désigne finalement Beckett du doigt]  

Castle : Si jamais je disparais, assurez-vous que c’est pas ce type qui mènera l’enquête !     

Alexis [alors que son père a la tête dans le réfrigérateur]: On a la clim’, t’es au courant ? 

Castle [ferme le réfrigérateur] : Jamais je ne pourrais oublier tous ces jolis moments entre père et fille. 
Alexis : Et bien moi, j’espère les oublier, avec un bon psy ! 

Castle : Je préfère aller jeter un coup d’œil. [Castle ouvre la porte, en déguisement, en pointant son fusil-laser sur Beckett] Ah ! 
Beckett [bouche bée] : Bonsoir.   

Castle [en parlant à Beckett] : Bon, on est mariés. 
Beckett : On n’est pas mariés ! 
Castle : Relax, c’est pour l’enquête. 
Beckett : Même pas pour l’enquête. 
Castle : Ce serait un conte de fée. 
Beckett : Très bien, si on est mariés, je demande le divorce. 
Roger : Vous êtes comme ça tout le temps ? 
Beckett & Castle : Oui.    

Beckett : […] Voilà, toute cette histoire va donner un peu plus d’épaisseur à votre Nikki Hard. 
Castle : Faut voir. Flic le jour, et call girl la nuit, c’était pas une mauvaise idée. Mais, c’est vrai qu’un lourd passé ça peut plaire aussi. 
Beckett : N’allez surtout pas désorienter vos lecteurs à cause de moi, Castle. 
Castle : A très bientôt j’espère. 
Beckett : Bonne nuit, ça suffit. 
Castle : Pour un écrivain c’est banal de dire « bonne nuit », tandis que « à très bientôt j’espère » c’est plus prometteur. 
Beckett : Eh bien moi, je suis flic. Bonne nuit. [Beckett s’en va]
Castle : Bonne nuit, Kate. 

Meredith : C’est à se demander pourquoi on a divorcé. 
Castle : T’as raison c’est vrai. Si je me souviens bien, tu m’as trompé avec ton réalisateur, t’as quitté la vile pour Malibu et c’est toi qui a demandé le divorce. On aurait pu surmonter tout ça. 

Beckett : Qu’est-ce que vous en dites ? Castle ! 
Castle : Hm ? 
Beckett : Ca va ? 
Castle : J’ai couché avec mon ex-femme, ce matin. [Ryan et Esposito lèvent la tête, surpris] Ma première, ex-femme, Meredith, la mère d’Alexis. Et elle veut revenir vivre à New-York, vous savez ce que ça représente, pour moi ? Ca veut dire qu’elle va faire de ma vie un véritable enfer sur terre, ce sera le supplice de la brioche au beurre. 
Ryan : La brioche au beurre ? 
Castle : Oui, vous savez le plaisir coupable qu’on s’autorise une ou deux fois par an alors qu’on sait très bien que c’est pas bon pour nous. Et une brioche au beurre tous les jours… 

Beckett: Quelqu'un est mort ici. Un peu de respect.

Castle: Euh là je crois qu'il n'entend plus rien.

Beckett: Alors, n'oubliez pas pourquoi vous êtes là.

Castle: oui.

Beckett : Oui, vous avez une autre source et vous traitez votre ex-femme de brioche au beurre ! 
Castle : Holala, croyez-moi, si vous me trouvez envahissant et incontrôlable, dites-vous qu’elle est mille fois pire ! 

Meredith : Non, il est hors de question que j’attende en bas. Est-ce que c’est clair ? Vous savez qui paye votre salaire ? Moi et mes impôts. 
Beckett [en voyant la tête de Castle] : Non… 
Castle : Oh si… 
Meredith : Richard, on est là ! 
Esposito : C’est votre brioche au beurre ? 
Castle : J’en ai bien peur.

Meredith : […] Pas vrai chaton ? 
Beckett : Chaton ? [Ryan et Esposito commencent à rigoler]
Castle : J’ai déjà rêvé de ce moment-là, mais on était tout nu, et c’était beaucoup moins gênant. 

Ryan : Hm hm. Où est Castle ? 
Beckett : Il est rentré chez lui. 
Ryan [sourit] : La brioche au beurre ?
Beckett : Y a des chances, oui. 

Martha : (Parlant de Meredith) […] Comment as-tu pu épouser une fille comme elle ? 
Castle : J’en sais rien. Peut-être que c’est parce qu’elle ressemble à ma mère ? [Martha ne sais plus quoi dire et part]

Castle : Dites-moi tout ! 
Vendeur : Un jour, une gonzesse s’est arrêtée juste devant le magasin. Et elle a commencé à enlever son T-shirt. 
Beckett : Ecoutez, contentez-vous de nous montrer l’enregistrement des deux derniers jours, d’accord ? 
Castle : Elle a pas eu son goûter, c’est pour ça qu’elle est grincheuse. 
Beckett : La ferme ! Chaton ! 

Beckett [ouvre son coffre et aperçoit un sac] : Je peux savoir d’où ça vient, ça ? 
Castle : Oh, désolé c’est à moi. Je me suis dit qu’il valait mieux que je sois préparé. On ne sait jamais. [En sortant un gilet pare-balles avec l’inscription « WRITER »] Je me suis fait faire un modèle unique. Regardez ! 
Beckett : Ecrivain ? 
Castle : C’est cool hein ? 
Beckett : Non, pas du tout. C’est ridicule, vous n’avez pas besoin d’un gilet.  

Beckett : Vous avez pas relevé la plaque ? 
Castle : Non, il allait vite et j’avais un reflet dans les yeux. 

Castle : Est-ce que je peux l’enfoncer ? 
Beckett : Désolée, chaton. C’est la police ouvrez ! 
Diana : C’est bon j’arrive. [Elle ouvre la porte

Beckett : Si je reste cachée, je peux pas l’atteindre. 
Castle : Bah justement, lui non plus. 

Castle : D’accord, chaque fois que vous tirez, lui aussi il tire. Il est obligé de se découvrir. Je fais diversion et vous le descendez. 
Beckett : Comment vous comptez faire diversion ? 
Castle [une bouteille de champagne à la main] : Avec ça.  

Beckett : Ouais, vous m’avez peut-être sauvé la vie. 
Castle : Comment ça peut-être ? Y a pas l’ombre d’un doute, je vous l’ai sauvée et vous savez ce que ça veut dire ! Vous m’êtes redevable. 
Beckett : Vous voulez quoi en échange ? 
Castle : Je peux vous demander tout ce que je veux ! Et vous savez ce que je veux, n’est-ce pas lieutenant ? Vous savez très bien ce que je veux ! [Il s’approche de Beckett] Assez rigolé maintenant, il n’y a qu’une chose que je veux par-dessus tout. [En chuchotant à son oreille] Vous ne devez plus jamais m’appeler chaton ! [Il part, Beckett sourit

Alexis : Elever un parent, c’est déjà dur. Alors, je sais pas si j’aurais réussi à en élever deux ! 

Ryan : Cette fois c’est quand même nettement plus violent. [Il éternue de nouveau]
Castle : A vos souhaits 
Beckett : A tes souhaits. 
Castle : Prem’s ! 
Beckett : C’est quoi son problème ? 
Castle : Excusez-moi lieutenant mais comme j’ai dit prem’s avant vous, vous ne devez pas parler sans mon autorisation. [Ryan éternue à nouveau
Beckett : A tes souhaits. Prem’s inversé. 
Castle : Non, j’ai… Non, ça compte pas ! 
Beckett : Bouclez-là, je l’ai dit avant vous.

Castle : Non, ils ont utilisé un oreiller comme silencieux. [Beckett se racle la gorge] Oui, je sais d’accord. J’ai parlé sans autorisation, je vous payerai un verre. 

Castle : Ca ne peut pas être un hasard. Comment savent-ils ce qu’il y a dans le coffre ? Dans les coffres. On dit quoi ? Dans les coffres. Ça sonne pas bien. 
Esposito : Et vous êtes écrivain... 

Castle : Oh, vous êtes trop modeste Beckett ! Ryan et Esposito ne sont pas capables d'un tel niveau d'empathie.
Beckett : Ca c'est faux. Ils gardent ça pour leurs paris footballistiques !

Castle : Meredith est un peu comme une tante cinglée avec une carte de crédit. De nous deux, franchement, le plus responsable c'est moi. C'est triste hein ?
Beckett : Et bien je ne m'inquiète pas trop pour vous Castle, après tout seuls les bons meurent jeunes !

Beckett : Eh Freud, je sais ce que vous faites ! Vous essayez de me faire parler de ma mère pour avoir du croustillant et plus de piment pour votre fiction !
Castle : Piment ? Vous croyez que je veux du piment ? Je voudrais que vous sachiez que le grand guide des romans, pas un quelconque guide de petits bouquins à l'eau de rose hein, le Grand Guide des Romans...
Beckett : ... hm hm ?
Castle : A dit que Derrick Storm était la réponse essentielle...
Beckett : ... oui j'ai lu ce passage. Reconnaissez que le rédacteur a un peu exagéré à ce moment là ! Alors combien vous l'avez payé pour ça ?
Castle : Je lui ai offert un truc vraiment bien mais c'est pas le sujet. Et donc vous lisez le Grand Guide des Romans ?
Beckett : Oh, tant de mystères et de secrets chez Beckett ! Arriverez-vous à en percer la moitié ?!

Castle : Assez pour être notre coupable ?
Ryan : Pourquoi vous appelez ces types des coupables ?
Castle : Ce n'est pas ce que vous dites ?
Ryan : Ah, on a tout un tas de noms pour eux ! Pauvre mec, pochard, poivrot, camé...
Esposito : ... junkie, face de rat, tronche de cake...
Ryan : ... tordu, trou du c'...
Esposito : ... tête de noeud, taré...
Ryan : ... dingue, schyzo, cinglé...
Esposito : .... blanc-bec !
Ryan : Vieux steak !
Castle [en train de les noter] : Ca va ça va, du calme.
Beckett : Suspect ! On dit des suspects !
Montgomery : Je suis de la vieille école, je dis salopard.
Castle : Classique !

Beckett : Vous avez quelque chose à vous reprocher ?
Mitchell : Oui, j'ai pas couru assez vite quand vos petits copains sont arrivés.

Castle : Vous devez avoir des relations, des amis haut placés.
Mitchell : C'est qui la mégère qui se paye des manucures ? Un flic n'aurait pas une coiffure aussi naze !

Castle : [Au stand de tir] Surveillez bien ces silhouettes, elles sont un peu sournoises et perfides !
Beckett : S'il vous plaît, bouclez-la, j'essaie de me concentrer !
Castle : Quand je suis à bout, je n'ai que des balles anti-stress en mousse et des pornos.
Beckett : Castle...

Castle [hurle] : Ce ne serait pas plus stimulant si les cibles n'étaient pas aussi statiques ?
Beckett [s'arrête de tirer] : D'accord Castle. Montrez-moi vos talents !
Castle : Wouh ! [Beckett change la cible, Castle s'équipe] Wow !
Beckett : A vous. [Voyant comment Castle se tient] C'est pas un duel scaramouche ! Là, face à la cible. [Elle le prend par la taille pour le bouger, Castle est aux anges] Voilà, écartez encore les pieds. Très bien, maintenez votre poing droit dans votre paume gauche. [Il tire à côté]
Castle : Tiré trop tôt.
Beckett : Tant pis ! On peut très bien juste se faire un calin !
Castle : Oh oh oh, c'est très drôle ! [Elle sourit] Et avec un petit sourire, génial ! [Il tire dans la feuille, mais pas sur le corps]
Beckett : C'est... mieux.
Castle : Je voulais vous demander si vous pouviez me confier les photos de tous les biens qui ont été volés.
Beckett : Des photos des bijoux volés ? Pourquoi ?
Castle : Pour trouver quelque chose qui pourrait vous mettre sur une piste. [Il tire au niveau des parties intimes du corps] Oh, ça c'est douloureux !
Beckett [sourit] : Ecoutez-moi, vous en mettez une seule des 3 prochaines dans le rond central et je vous donne tous les dossiers !
Castle : C'est vrai ?
Beckett : Oui. [Castle tire alors sans hésiter 3 balles d'affilée, toutes dans le rond central. Beckett blêmit]
Castle : Vous êtes vraiment un bon professeur !

Alexis : Papa, c'était pas un rendez-vous, c'était un groupe de révisions.
Castle : Vous étiez combien dans ce groupe ?
Alexis [sourit] : Rien que nous deux.

Martha : Quoi, rien qu'un peu ? Tu lui as plié la totalité de sa vie, et ensuite ton père génial comme il est, l'a remercié en dernière page, après il a pu être identifié. 

Powell : [Sur la scène de crime, ils entendent un bruit dans la serrure] Chut.
Castle [se retourne, Powell a disparu] : Powell ? Powell !
Beckett [entre et Castle lève les mains] : Castle ?!
Castle : Salut ! Comment ça va ?

Beckett : La voilà. Anne Greene, la directrice.
Castle : Oh, elle peut venir à la maison quand elle veut.

Beckett : Madame Greene je suis le lieutenant Beckett et voici...
Anne : ... Ricky ?! Ricky Castle, j'ai entendu beaucoup de choses affreuses à votre propos de mon amie Cheney.

Anne : [Parlant à Castle et Beckett] Oh, vous deux vous êtes...
Castle : Pas encore.
Beckett : Non ! Ca ne risque pas d'arriver ! [Castle sourit] Ricky m'assiste, j'enquête en ce moment sur un homicide en fait. 

Castle : Oh, vous êtes légèrement stressée ! Je sais ce qu'il vous faut. Une soirée en ville !
Beckett : Une quoi au juste ? [Castle sort des tickets] C'est quoi ça ?
Castle : Le sésame pour entrer dans un autre monde.
Beckett : Castle.

Lanie [lorsque Beckett lui montre une robe] : Non non ! Celle là, tu peux la donner aux bonnes oeuvres. [Elle lui en montre une autre] Waouh, super brillant !
Beckett : La vendeuse a dit que le fluo, c'est tendance !
Lanie : Oui, elle tenait à toucher sa commission. [Beckett en montre une 3ème, Lanie lui fait signe que non]
Beckett : Trop entraîneuse ? [Lanie hoche la tête] Oh... Tu sais ce qu'il essaie de faire ?! Ce qu'il veut c'est m'humilier à mort ! [La sonnette retentit] Va ouvrir s'il te plaît.
Lanie : Très bien, mais faut pas en profiter pour mettre ta vieille robe de bal. [Beckett pousse un cri de désespoir]

Lanie : Ah, voyons ça. [Elle ouvre la carte accrochée au carton] "Bi, bidiba, bidibouh"
Beckett : Cendrillon ! Ca vient de lui !
Lanie : Oh je t'en prie, c'est qu'une robe ! Bon, ouvre moi cette boîte en vitesse !
Beckett : Oh, je savais qu'il était arrogant, mais ça, oui ça franchement, c'est vraiment... [Elle ouvre la boîte] Oh...

Martha : […] Où allez-vous tous les deux ce soir ?
Beckett [alors que Castle s'agite dans tous les sens pour lui faire comprendre qu'elle doit se taire] : Euh... on doit aller... au Waldorf. [Castle est dépité]

Esposito : Ces mecs donnent dans la fraude fiscale, c'est évident, pas dans les bijoux volés.
Ryan : Ouais, et ben... [en voyant Beckett et Castle arriver] les apparences sont parfois trompeuses. [Alors qu'ils passent devant eux] Très classe !
Esposito : La robe est pas trop serrée, ça va ?
Beckett : Je te la prêterai Esposito, mais faudra pas l'agrandir comme l'autre !

Maire : Ricky ! Ricky ! Pourquoi vous ne m'aviez pas dit que vous veniez à cette soirée, je serais passé vous prendre !
Castle : Oh, mais ce n'était pas prévu. Monsieur le maire, je vous présente le lieutenant Kate Beckett, Kate Beckett vous connaissez le maire.
Maire : Alors voici le lieutenant Beckett.
Beckett : C'est un honneur, monsieur le maire.
Maire : Oh je vous en prie, appelez-moi Bob ! Rick, elle est encore plus jolie que vous le disiez. Excusez-moi une minute [Il s'en va]
Beckett : Vous avez parlé de moi à "Bob" ?!
Castle : On joue aux cartes ensemble. En plus, c'est vous le sujet de mon prochain roman ! Je vais vous chercher à boire.
Beckett : Oui, cocktail maison. Des litres de cocktail [Il s'apprête à y aller] Non, je suis en service donc de l'eau.
Castle : Oui ! Bien sûr. [Au serveur] Pourrais-je avoir s'il vous plaît 2 cocktails maison sans glace mais avec 2 belles olives ?

Ruthie : […] Vous avez déjà un gros poisson au bout de votre ligne. Accrochez-vous Katie, il parait qu'il est difficile !
Beckett : Qui, Castle ?
Ruthie : Bien sûr, ici des tas de filles ont essayé de l'attraper. Riche et irrésistible, on le surnomme La Baleine Blanche. [Beckett est bouche bée, puis sourit]

Beckett : [Castle la prend par le bras pour l'emmener danser] Castle, qu'est-ce que vous faites ?
Castle : Désolé je ne connais pas d'autres façons de parler sans qu'on puisse nous entendre.
Beckett : Mais oui c'est ça !

Castle [observe Rachel] : Pourtant, vous devriez y regarder à 2 fois. [Alors que Beckett est dos à Rachel] 2, 3 et on renverse ! [Castle renverse Beckett, mais alors qu'il aperçoit Powell, il oublie de la relever]
Beckett : Castle, aidez-moi un peu !

Castle [à Powell] : Qu'est-ce que vous avez fait ?
Powell : La vengeance, c'est pas mal !
Martha : Merci pour cet accueil chaleureux. Le premier objet mis en vente est un exemplaire dédicacé de "Tombe la neige", écrit... et bien par mon fils ! Il est là, lève la main chéri que tout le monde te voit ! Il est beau non ? Mon fils encore célibataire ! Et en prime, le gagnant des enchères aura droit à une soirée de rêve en sa compagnie ! [Beckett est très amusée, contrairement à Castle] Voilà mesdames, je ne peux pas faire mieux. Pour le reste, à vous de jouer ! Très bien, je peux avoir un prix de départ ?
Femme : 2500 !
Martha : 2500 pour cette magnifique femme en bleu, merci beaucoup. Qui a dit 3000 ici ? 3000 là ? Soyez pas timide ! [Un homme se lève] Nous avons un enchérisseur ? Oh, c'est mignon ! Aucun problème, nous avons les idées larges !
Femme : 4000 !
Martha : Bon, on arrive à 4000. Allez mesdames, relevez le défi, c'est l'homme le plus intelligent...
Powell : Maintenant, nous sommes quittes.
Castle [à Beckett] : Ecoutez, j'ai les moyens, allez-y, vous payez... et je vous rembourse après !
Beckett [le sourire aux lèvres] : Non, ça c'est hors de question !

Beckett [sort son badge] : Paul Reynolds, vous êtes en état d'arrestation pour vol et pour complicité de meurtre.
Ryan : En route !
Castle : Où était votre plaque ?
Beckett : Top secret !

Beckett [dans la voiture] : Castle, en tant qu'amie je vous demande de ne pas quitter cette voiture, parce que votre jeu de flic d'opérette...
Castle : ... risque de me faire tuer, oui je sais.
Beckett : Ou de les faire tuer plutôt, et je ne peux pas avoir ça sur la conscience. C'est clair ?
Castle : Et si je veux faire pipi ? [Elle lui donne un gobelet et sort]

Castle [se met au volant et s'empare de la radio] : Ici le lieutenant Castle, à toutes les unités, annulez les renforts ce n'est pas utile. Ce salopard est à moi !

[Castle chante à tue tête lorsque l'homme s'écrase sur le parebrise]
Homme : Merde ! [Il commence à regarder méchamment Castle, celui-ci actionne alors les essuis glace. Il le menace alors d'une arme] Sors de la voiture, allez !
Castle : Désolé, elle m'a dit que je devais rester dans...
Homme : ... sors tout de suite !
Castle : D'accord, d'accord d'accord, je sors oui, pas de problème ! [Il lui met un violent coup de portière dans la tête, et les deux hommes se battent alors au sol. Beckett écrase la main du suspect lorsqu'il tente de récupérer son arme]

Castle : Je vous jure que j'ai essayé de rester dans la voiture. Il m'a frappé au visage !
Beckett : Oui j'ai vu ça !

Castle : Ce n'est pas le Texas Hold' Em le jeu préféré de ma mère. C'est le strip poker, elle dit que ça rend les choses beaucoup plus piquantes.
Martha : Ce que j'adore dans le strip poker, c'est que même quand vous perdez, vous gagnez ! [Beckett, Ryan et Esposito sourient]

Beckett : Et vous Castle, vous avez déjà payé la relance de Ryan alors ça vous dit un peu d'action ? Enfin sauf si vous avez peur...
Castle : Action, c'est mon deuxième prénom.
Martha : Ne vous en faites pas chérie, c'est du bluff, il n'arrête pas de cligner des yeux, ce qui veut dire qu'il a une main pourrie.
[…] Un peu après :
Martha : Il a arrêté de cligner des yeux, et maintenant il tape ses cartes, ça veut dire qu'il est sûrement au max.
Castle : Ne me dites pas que vous avez peur d'un peu d'action lieutenant ?! [Ils se regardent pendant plusieurs secondes]
Beckett : Tapis.

Castle [revient] : Oula oula, quelqu'un a parlé de meurtrier ? Génial, je vais chercher ma veste !
Esposito : Vous avez vu comment il est excité ?
Beckett : Ouais, on dirait un gosse le matin de Noël !
Ryan : Avec un cadavre sous le sapin !

Beckett : Et ce soir, vous n'avez vu personne de bizarre entrer ou sortir ? [Une travestie entre]
Travestie : Salut Bill !
Réceptionniste : Salut Jasmine, ça roule ?
Castle : Je crois qu'on vient d'avoir un petit échantillon de la clientèle.

Ryan : Caste avait peut-être raison, c'est peut-être une histoire de sexe.
Esposito : Mais non, c'était une mère de famille.
Castle : Venez devant l'école de ma fille après les cours, vous en aurez 2 pour le prix d'une.

Beckett : Vous savez, je me sens vraiment stupide là. Pourquoi est-ce que je m'entête à chercher des indices alors qu'il suffit d'inventer une bonne petite histoire ? Alors vous allez sûrement pouvoir m'aider, ce petit ami imaginaire qui est aussi un assassin, il a peut-être une adresse imaginaire ?

Beckett [s'approche soudain de son visage] : Vous me devez une revanche Castle ! [Ils sortent de l'ascenseur]
Castle : Très bien d'accord, vous voulez jouer, et bien on va jouer ! Pourquoi pas demain soir ?
[…]
Beckett : Votre fine équipe de Gotham City...
Castle : Ouais, le capitaine, le maire et le juge Markway. Votre patron, le patron de votre patron, et celui qui signe vos mandats. Mais ça va peut-être vous rendre nerveuse et je ne voudrais pas vous humilier, mais je ne voudrais pas non plus jouer les protecteurs.

Lee : Ecoutez, si vous ne me dites pas immédiatement qui vous êtes, je vous préviens j'appelle la police !
Beckett [arrive et montre sa plaque] : Je crois qu'on m'a demandé. Je suis le lieutenant Beckett, nous aurions des questions à vous poser à propos d'Allison Goldman.

Beckett : Vous savez, j'adorerais pouvoir le faire, mais le truc c'est que j'ai toute une cour d'écrivains qui me suit partout et qui n'arrête pas de me demander des services ! Alors, je vous remercie encore pour votre coopération, et... j'ai été ravie de vous rencontrer [Elle quitte la pièce]

Castle [depuis la salle d'observation] : Lee Wax. [Il se met à frapper sur la vitre et à hurler] Beckett, c'est Lee Wax ! Beckett, c'est Lee Wax ! Lee... [Beckett lui fait signe de se taire, et tente de garder son sérieux]

Castle : S'il me prenait l'envie d'écrire mes mémoires, je vous ordonne de m'en empêcher.
Beckett : D'accord. [Castle la regarde fixement] Pourquoi ?
Castle : Parce que, quand on écrit ses mémoires, il faut être sincère, et ça n'a jamais vraiment été mon truc. J'aurais tendance à me mettre sur un pied d'estrale.
Beckett : Il vous faudra beaucoup d'imagination alors.

Beckett : Il va aussi falloir penser à ajouter des jetons dans le pot Castle, parce qu'on dirait qu'il ne reste plus que vous et moi.
Castle : Très bien lieutenant Beckett, tapis. Oh, ne me dites pas que vous avez peur d'un petit peu d'action ?
Markway : Rendez-nous service lieutenant, mettez-lui une bonne déculotée !
Castle : Moi je suis partant, mais je sais qu'elle n'osera jamais.
Montgomery : Beckett, rendez-moi fier !
Markway : On s'en fout de la fierté, faites le pleurer comme une fillette !

Castle : Oui ! [En ramassant les jetons] Allez les enfants, venez voir papa ! Oh oui venez voir papa ! Oh t'es mignon toi, et toi aussi t'es mignon, et toi t'es un grand...

Beckett : Lititz, en Pennsylvanie.
Castle : Euh, si on doit prendre la route, je dois d'abord aller au petit coin.

Castle : La prochaine fois, j'irai plutôt au salon de massage sur la deuxième avenue. Je rigole. Et puis qui a besoin d'une fin heureuse quand il a une histoire avec des personnes qui se font passer pour mortes vivant toutes sous de fausses identités, planifiant de faux suicides et des meurtres pour se venger.

Castle : Wow, vous voyez vraiment toujours tout en noir, vous. Vous êtes une pessismiste née. Alors justement, voilà qui devrait vous remonter un peu le moral. [Il sort des billets] Ce sont vos gains !
[…]
Castle : Maintenant on est quittes. [Il sort un jeu de cartes] Alors que diriez-vous de régler nos comptes ? Tête à tête, face à face. Le vainqueur garde tout ! D'homme à femme.
Beckett : Je suis pas sûre de comprendre.
Castle : Moi non plus, ça fait rien.
Beckett [s'approche du visage de Castle] : Je relève le défi.
Castle : Aucune pitié.
Beckett : Vous allez pleurer comme une fillette.
Castle : Oh non, c'est vous qui allez chialer !

Castle : Peu importe, du moment que je ne vous surprend pas à tricher.
Beckett : Et vous, y a quoi sous vos manches ?
Castle : Vous voulez dire à part les muscles saillants de mes bras ?


Beckett : On est dimanche, vous ne devriez pas vous précipiter chez vous après une nuit agitée ?
Castle : Si j'avais été dans les bras d'une autre, vous seriez jalouse ?
Beckett : Dans vos rêves, peut-être.
Castle : Dans mes rêves, vous n'êtes pas jalouse, vous me rejoignez moi et une charmante... [Beckett lui met le beignet dans la bouche pour qu'il se taise]

Castle : C'est pas parce que quelqu'un est mort qu'il faut ronchonner comme un vieux tromblon !
Beckett : Vous voulez voir ce que ça donne quand je ronchonne vraiment ? C'est quoi cette couverture pour votre livre ?
Castle : Mon dernier roman ? Mais on ne peut l'avoir que... [Beckett avance, gênée] Vous vous êtes inscrite sur mon site, c'est pas vrai ! Attendez, vous êtes "Castle Mon Amour 1212" ? "Castle Pour Toujours 45" ? [Ils entrent dans l'immeuble]

Castle : Et moi, pourquoi je suis là ?
Montgomery : Parce que j'aime ennuyer le FBI, et parce que vous voyez un peu plus loin que le bout de votre nez.

 [Ascenseur du commissariat : Beckett et Castle]
Beckett [après hésitation] : 6 mois.
Castle [sourit] : Quoi 6 mois ?
Beckett : Notre histoire a duré 6 mois.
Castle : Je ne vous avais rien demandé.
Beckett : Oui, je sais, mais, vous l'avez pensé très fort.
Castle : Des fois, j'ai l'impression d'être un jedi ! [Ils sortent de l'ascenseur]

Castle [s'exclame en voyant la cravate bleue de Ryan] : Wow ! Pardon, c'est votre cravate, elle m'a pris par surprise ! [Beckett et Esposito rigolent]

Sorenson : Peut-être, mais moi je ne suis pas un de ses admirateurs. Il ne vient pas avec nous. [Beckett semble furieuse]
Castle : Ca va, c'est pas grave ! Ah au fait, juste pour info, elle m'admire tant que ça ?
Ryan : Venez Castle, on va vous faire une petite place pour voir le spectacle. Vous allez voir les fédéraux en action !

Sorenson : Vos livres ne font pas de vous un criminologue.
Castle : Et moi j'ai pas besoin de regarder la météo pour voir que le ciel est bleu !
Beckett : Oh, ça suffit vous deux, pourquoi ne pas baisser vos pantalons et faire la comparaison, qu'on en finisse !
Castle : Moi, je suis partant !

Castle : [à Martha] Tu ne sais pas qui est mon père, tu ne sais pas comment ton ex-mari t'a volé tout ton argent, et tu conseilles les gens pour qu'ils réussissent leur vie.

 [Alexis arrive, Castle la prend dans ses bras]
Alexis : Et tout ça pour quoi ?
Castle : Parce qu'on est des petits pois. Grand mère t'expliquera.

Beckett : Will, ce n'est... [Il l'embrasse tendrement]
Castle [arrive et les interrompt brusquement] : Je croyais que les flics et les fédéraux ne pouvaient pas se voir, c'est vrai qu'on appelle New-York la ville qui ne dort jamais, mais maintenant je sais pourquoi !

Ryan [dans la voiture de Juan, s'exclame] : Ah, non mais je rêve, quand tu penses que c'est un pro du lavage, sa propre voiture est une poubelle !

Beckett [pendant que Castle se fait équiper par la technicienne du FBI: Je ne vous demande pas si vous avez bien réfléchi avant de vous lancer dans cette aventure, je sais que dans ces cas là vous êtes trop content pour réfléchir une seconde !
Castle [à l'agent du FBI: Vous avez les mains froides !
Beckett : N'oubliez pas de rester vigilant et concentré, ces gens sont capables de tout.
Castle : Vigilant et concentré, d'accord. [Il pousse un cri lorsque la technicienne repose ses mains] Peut-être que si vous les posiez l'une contre l'autre... [A Beckett] Attendez, vigilant et quoi déjà ? [Beckett le fixe] Je plaisante !

Castle : Je me trompe où vous avez vraiment peur pour moi ?
Beckett : Ratez cette mission et je vous tue !
Castle : Je me disais aussi.

[Dans la rue]
Castle [en marchant avec le sac] : Ca y est, cible en vue à 10 heures, à vous ! [Personne ne répond dans l'oreillette] Vous me recevez ?
Beckett [depuis la voiture de Sorenson] : Non seulement on vous reçoit mais on vous voit, alors vous la fermez et vous vous concentrez.
Castle : C'est compris. Reçu 5 sur 5.
Sorenson : Quel numéro... S'il savait à quel point tu aimes ses bouquins...
Beckett : Il est pas question qu'il le sache.
Sorenson : Tu lui as dit que t'étais prête à attendre des heures pour un exemplaire en édition limitée ? Et que ses livres t'avaient aidée à surmonter le décès de ta mère ?

Beckett :  [Elle reçoit un SMS] "Vous vous embrassez ?" ?!
Sorenson : Dis lui d'arrêter de faire l'imbécile !

Castle : Ah encore un, voilà ce que ça dit : "Traversez la rue, et dirigez vous vers la 47ème". A gauche ou à droite ?
Beckett & Sorenson : A gauche !
Castle : D'accord. Mais la vôtre ou la mienne ?
Beckett & Sorenson : La vôtre !

Alexis : Et toi, qu'est-ce que tu fais debout ?
Castle : Je cherche un petit lapin blanc.
Alexis : Celui de Lewis Carroll ou de Matrix ?
Castle : Euh, j'en sais trop rien.
Alexis : Le lieutenant Beckett t'avait pas interdit de prendre des photos des scènes de crime ?
Castle : Ah ouais, elle me l'a interdit ? Tu vois toutes les peluches de la petite ?

Castle : Comment je me rappellerais pas Monkey Bonkey, le vieux singe qu'on a lavé tellement de fois qu'il ressemblait à une serpillère à force ?
Alexis : Je vois pas de quoi tu veux parler.
Castle : Oh, alors tu me donnes la permission de le jeter si jamais...
Alexis [lui pince l'oreille] : Alors là, t'as pas intérêt, je te préviens !

[En pleine nuit, pendant que Beckett dort, Castle fouille la chambre de la petite avec une lampe de poche]
Beckett [se réveille] : Castle ?
Castle : Dormez, c'est rien.

Castle : {Parlant de Sorenson] C'est un type bien. Mais, ça n'aurait pas fonctionné.
Beckett : Sans blague ?
Castle : C'est sûr. Bel homme, la machoire carrée, droit dans ses bottes.
Beckett : Et c'est pas bien tout ça ?
Castle : C'est vous en masculin ! Le Yin a besoin du Yang, pas d'un autre Yin ! Yin-Yang, c'est l'harmonie; yin-yin c'est... le nom d'un panda !

Castle : Un rendez-vous ? Avec qui, je le connais ?
Beckett : On appelle ça la vie privée, parce que ça ne regarde que moi. Il se trouve que moi, je n'étale pas ma vie dans la presse à scandale.
Castle : J'aurais jamais cru que vous feriez autant de mystère.
Beckett : C'est ma ressemblance avec Nikki Hard qui vous ennuie ? [Elle s'en va le sourire aux lèvres]

 

[Bureau de Castle : Castle et le Dr Clark Murray]
Murray : Une femme poignardée ? Ce n'est pas un peu banal pour toi ? Généralement, tu préfères savoir ce qui se passe quand on met une tête dans un micro-ondes.

Castle : Faut-il toujours que tu m’espionnes Mère ?
Martha : Oh non je n’espionnais pas. Je passais juste devant ton bureau et j’habite ici moi aussi.

Castle : Si jamais je dis oui, peux-tu me promettre de ne surtout pas rentrer de bonne heure et de bien t’amuser là bas ?!
Alexis : Oui ! 
Castle : Oui mais pas trop quand même !
Alexis : On s’est seulement tenu la main.
Castle : D'accord, bon épargne moi les détails !

Beckett : Je ne vais pas faire une enquête sur le copain de votre fille !
Castle : Oh, s'il vous plaît, c'est un garçon timide, très calme, et il vit avec ses parents. C'est le profil type du tueur en série non ? [Ils arrivent vers Ryan et Esposito]

Castle : Il avait peut-être certaines activités que sa fiancée ne connaissait pas. Il arrondissait peut-être ses fins de mois en utilisant ses talents de chirurgien pour prélever des organes aux touristes et les vendre au marché noir... Oh, c'est bon ça, je vais le noter ! [Esposito et Beckett sont dépités]
Beckett : Au lieu d'imaginer des petites histoires, on va établir une chronologie.

Castle : Dites, j'ai une question, je peux ?
Beckett : Depuis quand vous demandez la permission avant d'en poser une ?

Beckett : C'est certainement ici. [Castle voit une femme à la poitrine imposante passer et la suit du regard] Hm hm !
Castle : Oh...
Beckett : Pourquoi une paire de seins produit un tel effet ?
Castle : Oh c'est biologique, ça on y peut rien !
Beckett : Mais ce n'est pas gênant qu'ils soient en fin de compte pas vrais ?
Castle : Le Père Noël non plus n'est pas vrai, mais on aime bien ouvrir ses petits cadeaux.

Montgomery [observe la photo d’une femme ayant eu recourt à la chirurgie accrochée: Elle devrait déjà être arrêtée pour violation des lois de la nature !

Castle : Personnalité instable + chirurgie esthétique, c'est bien mieux que le trafic d'organes !

Montgomery : Alors, où était-elle ?
Beckett [gênée] : Elle était... à l'hôpital.
Montgomery : Pour se faire opérer ?
Beckett : Oui.
Montgomery : Elle est déjà refaite de partout ! [Beckett se râcle la gorge] Oh non ?
Beckett : Oh si.
Montgomery : Sans blague. Mais qu'est-ce qu'ils peuvent bien lui faire ?
Beckett : Eh bien apparemment beaucoup de choses.

Martha : Oh, grande nouvelle, elle a déjà des complexes mon chéri ! C'est dans la nature des femmes, chaque femme au monde a une partie de son corps qu'elle déteste plus que tout le reste. Ses mains sont trop petites, ses pieds sont trop plats, ses cheveux sont trop raides, trop frisés, ses oreilles sont décollées... [En se regardant dans la glace] Ses fesses sont trop plates, son nez est trop gros ! Et tu vois, rien de ce que vous direz ne pourra changer cet état de fait. Ce que les hommes ne comprennent pas, c'est que la bonne tenue, les bonnes chaussures, le bon maquillage, c'est magique et ça cache les défauts ! On pense tout à part. Ca nous rend vraiment belles à nos yeux, c'est également ce qui nous rend belles aux yeux des autres !

Castle : Ah, alors là vous avez fait une petite erreur ! Vous voulez trouver la moindre trace d'un patient hospitalisé, vous allez voir en premier ceux qui détiennent les infos, le service qui est incontournable. La comptabilité ! Quelqu'un a forcément payé.

Castle : Vous savez, cette sorte de bizutage traditionnel qui aura lieu lors du petit moment où on va se retrouver en tête à tête, tous les deux, juste avant que ma fille ne descende le grand escalier ?
Ryan : En attendant ma cavalière, j'en menais pas large devant son père !
Castle : Qu'a-t-il fait ?
Ryan : Fouillé mes poches pour trouver des capotes. Il m'a montré sa collection d'armes, je tremblais tellement que j'avais du mal à lui mettre sa fleur.
Castle : Et qu'a fait le votre ?
Beckett : Ca... j'en sais rien du tout, j'étais dans ma chambre.
Castle : Comment était le garçon quand vous êtes apparue ?
Beckett : A vrai dire, maintenant que vous me le dites, il avait l'air... terrifié ! J'ai toujours pensé qu'il avait peur de moi.

Ryan : S'adresser à dure à cuire ? Bonne chance !
Castle : C'est qui dure à cuire ?
Esposito : L'assistante du procureur, Candace Robinson, avec elle les mafieux pleurent.

 [Dans un bar : Castle et Sal]
Castle [se fait plaquer par le garde du corps contre une table] : Non, non, doucement je suis un ami ! Je suis un ami !
Garde du corps : Sal ?
Sal : Allez sors moi ce mec ! Et descends-le! 
[] 
Castle : Je trouve pas ça drôle !
Sal : C'est vrai c'est vrai, c'était pas drôle. C'était super hilarant ! [Il l'embrasse sur le front] Richard Castle, le maître du macabre ! Vas-y dis moi tout, qu'est-ce qui t'amène, hein ?

Castle : Qu'est-ce qui vous fait croire que Dure à cuire va coopérer avec vous maintenant ?
Beckett : Vous avez vos sources, j'ai les miennes !
Castle : Ce n'est pas votre ex petit ami, monsieur FBI ?! Grand, maussade et plein de jugements.
Beckett : Eh bien si, en fait, c'est lui, ça pose un problème ?
Castle : Ah non, pas pour moi, mais là encore, ce n'est pas avec moi qu'il aimerait se remettre en ménage.

 Castle [la sonnette retentit, il apparaît avec une tête décapitée dans la main et une blouse avec du faux sang] : Ca y est, sois pas nerveux !
Alexis [alors qu'il s'apprête à aller ouvrir] : Papa, non ! Pas de tête coupée !
Castle : Mais c'est la règle mon ange !

Castle : Oh non non non, pas si vite, attendez il faut que je sache s'il a déjà commis un meurtre !
Alexis : Non, je t'assure. Mais... moi je pourrais !
Castle : D'accord allez-y, faites surtout pas ce que je ferais.

Castle : Bonne soirée, au revoir ! [La porte se referme] Ma petite fille a grandi, c'est incroyable.
Martha : Oui, eh ben c'est pas encore ton cas ! Une tête coupée Richard...

Beckett (à Dure à cuire) : La police de New York vous remercie de votre collaboration, madame... (ironique)

Sorenson : [Parlant de Castle] Tu veux que je surveille le mariole ?
Beckett : Ca ira, le mariole vient avec moi.

Castle : Comment était Owen ? T'inquiète pas, j'ai fermé les yeux pour le baiser.

Castle : Dans quelques temps tu vas partir à l'université, tu vas te marier, avoir des enfants, et... je pourrai te voir que pendant les vacances. Une aventurière me volera toute ma fortune, et là j'emménagerai chez toi.
Alexis : Waouh, j'ai l'impression d'avoir perdu 30 ans de ma vie.

Castle (à l'hôpital, à Beckett): La plupart des gens abandonnent. Pas vous. Vous, vous continuez.

C'est pour ça que vous être extraordinaire.

Castle: Il y a une nouvelle tendance, sur le net, ça s'apelle le sommeil, vous devriez essayez!

Beckett: Chut!

Sorenson [Castle frappe et se montre] : Le mariole écrivain ! Pourquoi il est encore ici ? Vous n'avez pas fini votre bouquin ?
Castle : Dernier chapitre.

Sorenson: Attention Kate il est dingue de toi!

Beckett: C'est l'effet des médicaments, il sait plus trop ce qu'il dit.

Ecrit par nanienoc 

Ci-dessous , vous pourrez retrouver le bêtisier et les meilleurs passages de la saison 1. 

Ecrit par  

Nikki Heat ?
Nikki Heat ?
Ajoutée le 04.09.2017 par billy 
Stand de tire
Stand de tire
Ajoutée le 04.09.2017 par billy 
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choup37, 19.04.2024 à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

CastleBeck, Avant-hier à 11:48

Il y a quelques thèmes et bannières toujours en attente de clics dans les préférences . Merci pour les quartiers concernés.

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