Saison 5 - France 2

Bon :  que peut signifier au juste  cette longue "diatribe"  ? c'est sur, chacun ses goûts..  il y a la "race"  des mécontents perpétuel ..  moi  c'est simplement différent ! en tout cas pour la série "Castle" , ils sont tous très attachant, plein de talent , que ce soit  dans l'humour  ou dans le drame !  dans l'action  ou dans  l'émotion, que ce soit Castle et Backett ( ou  Nathan et Stana ! avec leur "osmose" tellement  présente )  et comme dans toute chose il y a  des  moments très  bien et d'autres  un peu moins ,ce mélange ne me dérange  pas , et ceci depuis  5 ans bientôt..  et ,personnellement  j'espère  juste que cela continue encore pour  de nombreuse  saisons ,,et si on regarde régulièrement  les audiences ,je ne suis pas la seule!!

Pour se sortir d'une mauvaise passe après 2 épisodes particulièrement décevants, "Castle" a décidé de ressortir une carte qui sert souvent positivement la série : la mère de Beckett. Mais cette affaire étant close, l'épisode s'attarde donc sur Bracken, le sénateur responsable du meurtre, que Beckett avait violemment confronté dans le season premiere. J'avoue que j'étais très impatient de revoir Jack Coleman dans les parages, et le résultat est plutôt réussi.

La petite originalité de l'instant, c'est que Beckett va rapidement se rendre compte qu'au lieu de coincer Bracken, elle va devoir... le protéger d'une menace. Un choix scénaristique intéressant qui permet notamment à Beckett de multiplier les hésitations, mais aussi - et surtout - les confrontations avec son pire ennemi. Les différents échanges entre Stana Katic et Jack Coleman sont brillants, je dirais même que c'est le meilleur atout de l'épisode. Les 2 acteurs parviennent à diversifier leur jeu de façon collatérale et donc efficace, entre la haine qui sort de leurs personnages et les émotions diverses de l'un et de l'autre.

L'autre moment sympathique, c'est la discussion entre Castle, qui joue le rôle de protecteur et de pédale de frein pour sa compagne, et Bracken, qui donne notamment très envie d'en voir davantage. Car évidemment, Bracken sort libre de cette histoire, et après avoir été sauvé par Kate, s'emploie à la provoquer de nouveau. Nul doute, donc, que l'intrigue va revenir sur le tapis prochainement, et le suspense est relativement bien maîtrisé.

Toutefois, en dehors de ces nombreux points positifs, "Castle" ne fait pas forcément preuve de la réussite qualitative absolue qui peut parfois la caractériser. En effet, en dehors de l'importance du retour de Bracken, le scénario de l'enquête et son déroulement sont marqués par quelques temps morts assez regrettables, et un second degré qui n'est quasiment pas exploité. Par ailleurs, malgré son jeu toujours aussi convaincant, Stana Katic n'a pas eu l'occasion de laisser transparaître l'intensité de sa quête, ce qui avait notamment été le cas dans le 5.01. Il y a donc encore un travail de fond à produire sur ce plan pour la prochaine utilisation de l'intrigue.

En bref : Le retour de Bracken permet à "Castle" de repartir du bon pied, même si quelques défauts subsistent.
Note : 7/10

lors de mon ressenti lors de la difusion US, j'avais dit que Castle remontait en puissance après les 2 grosses déceptions précédentes, et même le 510 m'avait laissé un peu sur ma faim, donc pour ton analyse, d'accord avec toi.

D'accord avec toi  tibo , d'ailleurs les audiences nous montrent que "  Castle " repart bien , quant aux défauts il est bien rare qu'il n'y en ait pas  un petit  quelque part!c'est pas bien grave! Effectivement j'ai pensé  rapidement que Bracken va ressurgir un ce ces jours..  mais lequel  apportera  "l'aide"  en question  à  l'autre ?  finalement  le titre français  n'est pas si mal en l'occurrence..

ATTENTION : Critique publiée dans l'ordre chronologique de la saison, mais épisode encore non diffusé sur France2.

"Castle" nous avait déjà habitué à s'inspirer ouvertement des phénomènes télévisuels en saison 4, avec des allusions à "Dancing With the Stars", "The Walking Dead" ou encore "Once Upon A Time", et remet le couvert ici avec une moquerie ouverte des reality shows, qui envahissent le petit écran. La série crée donc sa propre parodie des "Real Housewives" (avec une ouverture d'épisode complètement fun et décalée), en se plongeant dans les coulisses du show alors qu'une des participantes est retrouvée poignardée.

Comme d'habitude avec ce genre d'épisode, le divertissement prime et c'est réussi. La série parvient à jouer avec tous les guests de façon très habile, en créant des rebondissements à la fois ridicules et surréalistes, qui servent aussi bien la parodie que l'enquête en cours. Même si certaines ficelles apparaissent, l'ensemble du scénario est maîtrisé et finement écrit. Le développement de l'affaire va donc à toute vitesse, et un peu comme le message que fait passer "Castle" à propos des reality shows, on est scotchés devant notre écran, hypnotisés par ce qu'il s'y passe.

Un message qui est d'ailleurs le théâtre d'une des meilleures répliques de l'histoire de la série à mes yeux : "I can't feel my butt" ("Je ne sens plus mes fesses"). J'ai explosé de rire en entendant Nathan Fillion dire ça. Plus généralement, la série s'amuse du thème qu'elle traite pour mettre quelques uns de ses personnages face à cette addiction, et après Beckett et sa passion pour les soaps (3.18), ce sont ici Gates puis Castle qui deviennent accros à ce genre de programme. Là encore, je trouve "Castle" extrêmement intelligente, car elle égratigne ce type de succès quantitatif avec beaucoup d'auto-dérision.

Mais la meilleure partie de l'épisode, c'est évidemment la Saint-Valentin qui approche, et qui permet la mise en place de 2 running gags jouissifs. Alors que Ryan arrive sans arrêt en retard au bureau à cause de Jenny qui l'épuise au lit pour faire un bébé, Castle cherche un moyen de surprendre Beckett et place son cadeau dans la veste... de Gates. Le face à face entre Castle et Gates en fin d'épisode était un peu (trop) attendu, mais il n'en est pas moins exquis. "Castle" prouve ici qu'elle est peut-être bien plus forte que certaines séries qui se veulent être des comédies. Enfin, la série n'en oublie pas une jolie scène en fin d'épisode lorsque Beckett offre un tiroir à Castle. J'aurais aimé creuser davantage, mais l'instant était vraiment mignon.

En bref : Un épisode divertissant mené tambour battant.
Note : 7.5/10

Depuis quelques temps, "Castle" devenait la série de Stana Katic, en raison de son jeu particulièrement éblouissant, plus que celle de Nathan Fillion. Cet épisode permet à ce dernier de reprendre le dessus et de s'imposer à nouveau comme le véritable héros de la série. J'ai trouvé la prestation de l'acteur assez fabuleuse, d'autant que ce n'était pas gagné d'avance lorsque l'on sait que Castle est aux yeux de tous un pitre plus qu'un homme aux émotions fortes. "La cible", première partie du double épisode annuel de la série, s'emploie à rectifier cette image.

En effet, alors que l'équipe enquête sur l'enlèvement de la jeune fille d'un dignitaire arabe, faisant au passage un mort (Farouk, assigné à sa protection), Beckett et Castle découvrent qu'Alexis est l'une de ses amis, et qu'elle a également disparu. Plus que le simple scénario de l'intrigue, toutefois rondement mené et aux twists plutôt intéressants, c'est surtout les émotions de Castle qui permettent à l'épisode de décoller. Deux passages m'ont particulièrement marqué : celui où Castle torture un suspect, et celui où il perd complètement son sang froid lorsqu'il voit la camionnette pleine de sang.

Je pense que "La cible" aurait dû davantage diversifier son style, notamment parce que la série a toujours les capacités de développer des scènes plus légères malgré sa trame dramatique, mais la partie action/thriller est maîtrisée de bout en bout, et la réalisation soignée. Le jeu des contrastes est en effet subtile et sert totalement l'intrigue, un excellent point. Du côté du traditionnel guest, il se nomme cette année Dylan Walsh, qui fait un petit coucou aux américains entre 2 saisons de la très moyenne "Unforgettable". Ses apparitions sont beaucoup moins nombreuses que les autres invités des années précédentes, mais au fond, ce n'est pas plus mal que la série se concentre sur Castle.

Quant au cliffhanger de l'épisode, je l'ai trouvé extrêmement surprenant, à condition ne pas avoir été spoilé sur le tournage à Paris, naturellement. Le fait qu'Alexis soit en danger et loin de Castle & Beckett me plaît, d'autant plus que celle-ci prenait une place très secondaire depuis le début de la saison. Il est donc très intéressant de la voir à nouveau sur le devant de la scène, et j'avoue être curieux de la façon dont la suite va être développée. En tout cas, pour le moment, la mise en place des évènements est réussie.

En bref : Porté par un Nathan Fillion au top, cet épisode permet à "Castle" de renouer avec l'excellence.
Note : 9/10

Est ce que l'episode 15/16 a été véritablement tournée a paris ?

Je ne crois pas. Je pense que ça a été tournée à Los Angeles comme d'habitude. Je ne veux pas me lancer mais je crois que sur le twitter du site ils en parlent...  

Certaines scènes ont réellement été tournées à Paris, très peu mais quelque-unes et certains acteurs avaient fait le déplacement dont Molly.

sur le télé loisir, il est ecrit ue seul les techniciens se sont déplacés sur Paris et qu'ensuite les acteurs ont tous tournés a LA devant un écran vert.

Molly était à Paris, il y a même des photos d'elle sur les Champs-Elysées qui ont été prises à l'époque. Pour ne pas spoiler ceux qui n'ont pas vu l'épisode de demain, je ne peux pas en dire plus ce soir. 

Bonsoir Cathy

C'est possible, je te dis simplement ce qu'il y a d'écrit sur le télé loisir

Bon, maintenant que "la Chasse" a été diffusée, je peux compléter les infos d'hier. Molly et la doublure de Nathan (l'acteur que l'on voit mieux dans le 5x05) ont vraiment tourné à Paris et des techiniciens français ont participé au tournage des scènes enregistrées. Quand à Nathan, il n'a fait que tourner devant un écran vert.

Juste Molly et la doublure de Nathan... Et quelques techniciens !!!

La première partie de ce double épisode annuel nous laissait un suspense de taille : après avoir été kidnappée avec une amie, Alexis a été emmenée... à Paris. Evidemment, comme tout bon français, j'attendais la suite avec à la fois beaucoup d'impatience et d'appréhension. Clairement, "La chasse" ("Hunt") possède une grosse faiblesse : ses décors. Il serait grand temps que ABC arrête de nous infliger des horreurs pareilles (et le network nous a déjà fait le coup ailleurs, coucou "OUAT"...), car franchement, c'est insupportable de voir des images aussi hideuses.

Passé ce problème, et les quelques clichés sur les prénoms de l'hexagone (Gaston, franchement ?), cet épisode est une pure merveille, notamment car il se différencie grandement de tout ce que "Castle" a pu nous offrir jusqu'ici. S'inspirant ouvertement de "Taken", la série se passe de Liam Neeson au profit de Nathan Fillion, et même si la comparaison n'est pas forcément à l'avantage de ce dernier, l'acteur mène néanmoins l'épisode à la baguette avec une très bonne prestation, une nouvelle fois (même si la scène la plus intense est portée par Stana Katic, et son magnifique "honey" en salle d'interrogatoire).

Castle se rend donc à Paris pour tenter de retrouver sa fille, et en fonçant tête baissée jusqu'à la forêt de Fontainebleau, finit par croiser la route de... son père. Le véritable évènement se trouve donc là : Castle rencontre pour la première fois son père, un agent de la CIA qui se fait appeler Jackson Hunt, et qui est finalement le responsable de l'enlèvement de sa petite fille, causé par un ennemi à lui pour se venger. Globalement, le développement de l'intrigue et la gestion des twists sont maîtrisés, sans temps mort, et les révélations font mouche. "Castle" parvient ainsi à surprendre, et dans le monde du thriller, c'est une excellente chose.

Pour le reste, "La chasse" délivre également, outre toute la tension qui règne autour du sort réservé à Alexis, une ou 2 scènes très cocasses (je citais l'interrogatoire de Beckett juste avant, ce passage m'a réellement marqué et constitue l'une des meilleures scènes de Stana Katic), et de nombreux moments bien plus touchants, tels que les échanges entre Castle et son père, les retrouvailles avec Alexis ou encore l'instant final, lorsque "Casino Royale" arrive par colis. Un symbole qui laisse penser que Hunt pourrait prochainement refaire une petite visite dans la série, et ça me met en joie.

En bref : En dépit de décors désastreux, le double épisode annuel se conclut magistralement, avec une avancée majeure sur la vie du héros parfaitement orchestrée.
Note : 9/10

Un grand plaisir de voir ce magnifique épisode avec mes parents, il faut dire que c'est grace a eux que j'ai découver cette magnifique série dont je suis fan maintenant.

Note 9,5/10

Très bon épisode même si les francais sont barbus et vivent dans des caves. On a l'impression qu'ils ont voulu faire un hommage à Jeunet (Delicatessen Amélie Poulain) en plus de Taken ...

La rencontre avec le père est top... La conversation à Fontainebleau avec Hunt: je trouve çà incroyablement bien vu. Ca fonctionne vraiment très bien: Hunt lui parle comme à un enfant. 'Ne boude pas pour ton portable" "Va ramasser ton sac"

Après j'ai été un peu deçu du peu de Beckett dans cet épisode ... (même si la scène d'interrogatoire m'a skotchée aussi ...).

Vivement qu'on puisse retrouver James Brolin (Hunt) dans la série ....

un réel plaisir de voir la suite  de l'épisode de la semaine dernière,et j'adore par dessus tout la reprise d'épisodes des saisons antérieures-(saisons 4 et 2 pour ce soir-)la découverte par Kate de l'assassin de sa mère est très émouvante et le soutien de Castle, sans faille, la rassure -Je pense que déjà elle comprend qu'elle a besoin de lui à ses côtés...

Tu as raison moi aussi j'ai aime!

bon, je vais ajouter une note quelque peu dissonnante à ce concert de louanges...

J'avais émis des critiques sur cette saison qui me semblait ne pas savoir où elle allait avec des scénarios de plus en plus minces et une relation Castle-Beckett pas exploitée comme elle aurait pu l'être (malgré les 2 bons premiers épisodes sur ce point spécifique).

La1ère partie de cet épisode m'avait redonné espoir avec une intensité dramatique retrouvée.

La 2nde partie gâche tout et me replonge dans mes doutes.

Quelle catastrophe ! Cela a été dit; les décors sont... justes risibles comme les personnages français (un sosie de Van Gogh qd mme! et seul mon grand oncle s'appelait Gaston).

Mais le pire est peut-être le scénario. Pouquoi aller inventer cette rocambolesque histoire de père espion ?  On est plus dans le rocambolesque mais dans un mauvais soap. C'est quoi la prochaine étape : la grand-mère reine d'Angleterre ? Un cousin Pape ?

Et pour en revenir à Taken et Liam Nelson, cet épisode met clairement Nathan en difficulté en soulignant son manque d'épaisseur dramatique, peu aidé par ce scénario tellement mince et alambiqué par rapport au film !!

Il y a tellement à exploiter sur la relation intime, les à-côtés avec Javier et Ryan ou Lannie...

Et rendez-nous l'humour de Castle, son côté décalé, ses répliques débiles, ses hypothèses farfelues, ses délires...

Je me  suis repassé cet am dans le Strasbourg-Nantes des épisodes de la saison 4... Quelle différence de style !! Ces épisodes ont plus de profondeur et de corps.

Les épisodes qui passent en 2nde partie de soirée me procurent souvent plus de plaisir que la dernière saison. Un comble pour certains que je revois pour la 3ème fois.

Et à titre perso, pas assez de Stana dans ces épisodes mais là je suis totalement subjectif (faut dire qu'en revoyant les 4 derniers épisodes de la saison 4, j'ai replongé dans ma Stanic addiction...) :=))

t'inquiètes tout arrive  !!! puisque maintenant on reproche à Marlowe de mettre Stana plus en avant que Nathan (dans la saison 6) !!!!!! tu vas te régaler ,moi aussi je l'adore ,elle est sublime cette nana !

Ouais... mais l'un sans l'autre n'est rien. Je trouve que les moues de Beckett sont le parfait répondant à la folie de Castle.

C'est cet antagonisme apparent d'où naît une complicité et un piquant particulier dans les répliques qui est intéressant...

tout à fait ,c'est l'osmose des 2 qui fait  que toutes les mimiques,les regards complices, les attentions de l'un envers l'autre  nous ravissent dans cette série !!!  donc aux producteurs de gérer le temps de présence dans les épisodes,mais je reste persuadée que même si la série s'appelle "Castle",Stana Katic doit rester très présente .

Un écrivain suivant sa muse, c'est le ferment de la série donc la focale est forcément principalement braquée sur Castle et Beckett.

Afin de rebondir après l'excellent double épisode de la saison, "Castle" s'est lancée dans une intrigue assez rocambolesque, et représentative de l'ampleur de l'imagination des scénaristes. La série s'emploie donc à développer une affaire inspirée du thriller, avec des scènes sombres et un copycat de serial killer, de quoi, en théorie, réussir à captiver le téléspectateur. Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'ouverture est convaincante, avec cette jeune femme qui meurt en regardant un petit film. L'originalité est là, et le ton est donné.

Problème : le reste ne suit pas. J'ai été assez déçu de cet épisode, principalement parce que tout le potentiel de l'intrigue n'est pas exploité à sa juste mesure, et que "Castle" reste trop superficielle, ce qui n'est pas franchement dans ses habitudes pour des scénarios de ce genre. "Morts de peur" pâtit notamment d'un sérieux manque de peps durant toute la première partie, et il faut attendre les 10 dernières minutes pour voir l'action débarquer et l'épisode décoller.

D'ailleurs, le final de l'épisode, qui enchaîne les scènes de nuit, en forêt et en lieux confinés, est de bonne facture et permet de sauver l'ensemble. Du côté des points positifs, il faut aussi noter que la série parvient à utiliser son héros sur le plan humoristique de belle manière, avec quelques répliques plus ou moins attendues sur l'incongruité de la situation. "Castle" prouve qu'elle a de la ressource avec ce genre de passages, qui ne lassent pas, et que les scénaristes ont toujours des idées, mais doit faire attention à ne pas devenir une série policière traditionnelle pour laquelle le remplissage est monnaie courante avant le dénouement.

Enfin, au rayon des personnages, il ne se passe pas grand chose, même si la petite scène finale avec Castle et Beckett est sympathique. "Morts de peur" aurait pu être le théâtre de quelques passages touchants et d'une mise en danger intéressante de ses héros, mais finalement, la série se contente du minimum, et cela se ressent forcément. Si l'on comprend que Castle s'inquiète pour la vie de Beckett, entre autres, tout ceci est malheureusement mal mené, et l'intérêt pour le ressenti du personnage se perd.

En bref : Originalité et intrigue décalée au sommaire de cet épisode... à l'exécution en partie ratée.
Note : 5.5/10

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